Les routiers sont sympas

En mars, je suis parti en déplacement en province pour mon boulot. Pour éviter les soirées ennuyeuses à l’hôtel, je me mets en quête de trouver un lieu de drague pas trop éloigné de mon hôtel.

Après quelques recherches sur internet, je me suis fixé sur un parking à environ une cinquantaine de kilomètres, ou normalement il se passe une certaine activité nocturne.

C’est décidé, j’irai demain soir.

Ma journée de travail terminée, je repasse à l’hôtel prendre une douche, bien me laver le cul pour être prêt au cas où se présenterait une occasion.

Je mets un string, des bas résilles, une petite robe, des escarpins, un jogging et un manteau, je prends une serviette et me voilà partie toute excitée en direction de ce lieu.

Après quelques kilomètres je vire mon jogging, ajuste une perruque, je mets un coup de rouge à lèvres mais je garde mon manteau sur ma robe car les soirées de mars sont encore fraiches, bien qu’il fasse beau et chaud en journée.

Une petite heure plus tard aux environs de 21h, j’arrive sur ce parking.

Trois camions étaient garés, très peu de voitures étaient là, quelques appels de phare, bref tout ce que l’on peut trouver sur un parking à cette heure-ci.

Je me gare pas loin des toilettes et prends mes marques et mes repérages de ce lieu.

Je sors de la voiture en direction des toilettes pour aller uriner et me faire voir de ceux qui viennent là pour ça, puis revient vers ma voiture.

Je décide alors d’aller me placer en face d’un camion ou j’ai remarqué que le chauffeur m’a regardé aller aux toilettes.

Le chauffeur a les pieds sur le tableau de bord et là, bien en face je le fixe bien. Il écarte les jambes pour me regarder et me fait signe de m’approcher de sa fenêtre en voiture.

  • Lui : Bonsoir, tu cherches quoi à me regarder !!
  • Moi : Bonsoir, je cherche quelque chose à me mettre dans la bouche.
  • Lui : OK, tu montes dans la cabine.

Il n’est pas très grand, type arabe, la trentaine.

  • Lui : Tu t’appelles comment ?
  • Moi : « La lope » et toi
  • Lui : Karim… et alors t’aimes quoi ?
  • Moi : Sucer, lécher, et plus
  • Lui : En fait t’es une chienne
  • Moi : Oui, une chienne chaude

Dans la cabine, il fait chaud, je retire mon manteau. Il ferme les rideaux et se colle à moi, sa bouche se pose sur la mienne et sa langue force ma bouche. Il a une haleine de tabac et de bière, ce mélange m’excite énormément. Je déboutonne son pantalon, et sort une bite de bonne taille déjà en érection. Il m’embrasse toujours mais je senti dans mes mains déjà le volume de cette bite dure et chaude, je veux la voir… à défaut je commence à le masturber pendant que ses mains se posent sur ma poitrine et vinrent titiller mes tétons, ce qui m’excite de plus en plus. Ne tenant plus, ma bouche stoppe ce baisé pour aller s’occuper plus bas de sa bite. Je la sens encore gonfler. Lui, me pince les tétons, je commence à gémir. Il s’est occupé de mes tétons pendant un petit moment avant de commencer à fouiller sous mon string avec sa main.

J’ai sa bite dans ma bouche, il ne bouge pas. Je commence à enrouler ma langue sur son gland en le tétant. C’est lui qui maintenant pousse des soupirs de plaisir. Je recule ma tête pour ressortir une partie de sa bite avant de la ravaler. Une de mes mains caresse ses couilles. Il se laisse faire un moment, me laissant seul rythmer ma fellation sur sa queue. Mais au bout d’un moment, il prend ma tête à deux mains et commence à baiser ma bouche. Ses va et viens deviennent de plus en plus puissant, son gland vient cogner ma gorge, me donnant des haut le cœur. Ma salive coule sur sa bite, je manque d’air, mais pourtant j’aime que Karim baise ma bouche, comme il en a envie.

  • Lui : Tu veux que je t’encule ?
  • Moi : Oui et comment !!

On se mets dans la couchette, moi en levrette en tendant bien mes fesses, il enlève son pantalon et son caleçon. Il écarte mon string, écarte mes fesses, puis crache sur mon anus.

Je sent bientôt son gland se frotter dans ma raie, sur mon anus. Il le pose dessus et force un peu, il dérape, mais bientôt il trouve l’entrée et se fraye un passage.

  • Moi : Doucement tu es gros.
  • Lui : Pousse salope ça va passer.

Un nouveau coup de rein de sa part et j’engloutis une partie de sa bite, il me prend par les hanches et ressort sa bite avant de l’enfoncer entièrement jusqu’aux couilles. Je serre les poings.

Il commence à faire des aller-retour dans mon cul, je le sens bien, il me fait du bien, je gémis.

  • Lui : Alors, la lope elle est bonne ma queue dans ton cul, ça te fait du bien ?
  • Moi : Oui elle est bonne je la sens bien elle est dure, elle tape au fond.
  • Lui : Tu es une grosse lope, tu vas avoir ce que tu es venue chercher
  • Lui : Tu le veux mon jus ?
  • Moi : Oui
  • Lui : Je vais t’engrosser, je vais te féconder …

Ses mots m’excitent… je me fais enculer par un inconnu dans son camion.

Karim se déchaine dans mon cul, je reçois des claques de plus en plus forte sur mes fesses alors que son plaisir monte dans ses reins. Je sens qu’il va jouir, sa bite me défonce en vibrant. Il donne un dernier coup de rein et reste au fond de mon cul ou je le sens jouir, son foutre brulant m’inonde le rectum.

Alors qu’il sort de moi il tourne ma tête vers sa queue ramollie.

  • Lui : Putain mec tu m’as bien vidé avec ton cul, c’était bon.
  • Lui : Lèche… salope… nettoie ma bite qui sort de ton cul.

J’ouvre la bouche et sort ma langue pour nettoyer son gland recouvert de son foutre, je le prends en bouche pour sucer et avaler.

Je reprends mes esprits, lui aussi et on se dit en revoir.

Je réajuste mon string, mes bas et ma robe, et sort de sa cabine et me dirige vers les toilettes.

Sur le coup, il faut que je me fasse jouir. J’ai passé plus d’une heure avec ce baiseur,  j’ai les fesses endolories et je sens le foutre perler sur mon string.

Arrivé aux toilettes, je m’enferme dans une cabine, je m’accroupis; j’ai l’anus, très sensible, j’ai l’impression qu’il est ouvert et ressorti, j’y passe mes doigts, j’enfonce un doigt, ma bite se raidi. J’en ai encore envie, les cuisses écartées, les doigts de la main droite sur mon anus et ma bite dans la main gauche, je m’enfile deux doigts bien profonds alors que ma main branle ma bite raide. Je ressors mes doigts souillés de foutre de mon cul pour les lécher et les sucer avant de me les renfiler. Je jouis rapidement en poussant un râle de plaisir. J’envoie deux grosses giclées de foutre sur la porte.

Je me remets debout et sort. Je ne suis pas seul, un gars m’a vu me diriger vers les toilettes et m’a suivi et entendu me faire du bien dans la cabine.

Il était grand, mince, la cinquantaine et avait déjà sa bite dans la main encore molle.

  • Lui : Tu veux la sucer ?
  • Moi : Oh que oui…

On se renferme dans les toilettes et je m’accroupis devant lui.

Je lui prends sa bite entre mes lèvres, et je me mets tantôt à le pomper, tantôt à lui lécher les couilles en redescendant vers ses fesses et je reviens sur son gland avec ma langue. Au bout d’un moment il prit ma tête et commence à bourrer ma bouche comme Karim tout à l’heure.

A ce moment-là je ne suis plus qu’un vide couilles. Il enfonce de plus en plus profond sa bite bien dure. Il n’hésite pas à me donner des coups de rein pour que je sente bien ses couilles sur mon visage. Son jus arrivait. Il se retire de ma bouche et jute de bons petit jets qui souillent ma figure et ma robe. Je continue à le branler tout en le regardant. Il est content d’avoir pu vider ses couilles sur la lope.

Je me remets debout, et m’essuie avec un kleenex.

  • Lui : J’aurais bien aimé te baiser, j’ai attendu une heure que tu en termine avec le routier là-bas.

En regardant sa queue ramollie,

  • Moi : Une autre fois, alors…
  • Lui : Je veux te pisser sur ta raie, retourne-toi

Je me retourne, je lève bien ma robe, et écarte bien mon string pour lui tendre mes fesses.

Il colle sa bite sur mon anus et se mets à m’arroser. La sensation de la pisse chaude qui coule sur mes fesses, qui asperge ma raie, qui dégouline sur mes bas me fait remonter mon excitation.

Après en avoir fini, je suis trempé par la pisse.

Il me lèche le cul pour me sécher, à l’occasion, il a dû récupérer un peu de foutre de Karim le routier. Pendant ce temps, je me branle et je joui à nouveau.

Il a ouvert les toilettes, on se dit au revoir, on part chacun de notre côté… Je commence à avoir froid.

Arrivé à la voiture je mets la serviette sous mon siège pour ne pas salir la voiture de location, et je repars souillé en direction de mon hôtel prendre une douche bien chaude.

Un vrai régal cette sortie, c’est à recommencer lors d’un prochain déplacement.