L’addiction au sperme dans l’anus ou l’Orgasme avec un grand O

L’idée d’avoir l’anus qui déborde de sperme chaud tient surtout du fantasme. Quand on a du sperme dans l’anus, on ne ressent pas grand-chose de plus qu’une sodomie sans éjaculation, car la quantité éjaculée par l’homme est souvent faible par rapport au volume que peut contenir le rectum. Seule exception, si on a affaire à un gros juteur, et encore.

On peut rarement sentir une sensation de chaleur et d’humidité, mais on ressent souvent le moment où le partenaire éjacule, quand son sexe se contracte et pulse pour éjaculer.

La sensation est plus intellectuelle que physique.

Dans tous les cas, s’il continue à vous faire l’amour, vous vous rendrez compte que les va-et-vient sont plus faciles, ça passe comme dans du beurre, vos fesses sont extra lubrifiées et c’est 100% naturel.

Pour certaines salopes, quand leur cul est « dosé », « gavé » ou « rempli » de sperme, c’est une apothéose sexuelle. D’abord elles ont un peu de leur partenaire en eux. C’est addictif, très sexy et excitant mentalement.

Ensuite vient le fantasme de « féminisation » : les salopes se font « engrosser », « féconder » ou « gaver » par leur partenaire, évidemment un mâle alpha, alors qu’elles représentent le côté féminin, sissy cochonne, salope. Le sperme est alors le Graal ultime.

Après avoir fait l’amour, plusieurs options sont possibles ; L’expulsion du sperme de votre anus, ce qui permet d’ouvrir sur une multitude de jeux sexuels ou bien garder au chaud le sperme bien au fond de l’anus.

On peut également se faire baiser et remplir de sperme à la chaine avec un autre partenaire et continuer ainsi tant qu’on a des partenaires, certains partenaires étant encore plus excités à l’idée de patauger dans la jute d’autres partenaires.

Attention toutefois quand aux activités effectuées après avoir fait l’amour à la chaine avec plusieurs partenaires car il est probable que du sperme coule entre vos cuisses. Je vous donne mon astuce personnelle, c’est de placer un rosebud ou un plug anal après l’acte afin de garder toutes les semences en vous.

Au-delà du plaisir physique procuré, le fantasme de féminisation de la salope que vous êtes déjà ou que vous serez un jour est bien illustré par les images suivantes. Je vous invite également à lire les textes sur ces images.

 

Une soirée bien arrosée

Que ce soit sous les douches dans un sauna, dans les chiottes devant la cuvette, dans la salle de bains ou en extérieur dans des sous-bois, je kiffe les jeux uro. C’est assez paradoxal car je déteste les gens sales et les mauvaises odeurs.

Plusieurs expressions dans les pratiques urophiles me sont familières « douche dorée », « golden shower », « champagne », « pluie dorée », etc.

De temps en temps lors de mes sorties nocturnes sur des aires de repos, lorsque l’envie d’exhib me prends, je fais pipi debout dans ma petite culotte et laisse couler la pisse chaude le long de mes jambes, trempant ma petite culotte. Et c’est ainsi que je déambule devant les voyeurs qui pensent à juste titre qu’il y a possibilité de se faire vider les couilles.

D’ailleurs en parlant de ce kiff, lors d’une sortie sur une aire de repos, à la tombée de la nuit, la chaleur était encore bien présente. Je suis sortie de ma voiture pour me montrer, vêtue d’une petite robe perchée sur mes talons et déambulant avec quelques aller-retours devant les voitures arrêtés sur le parking, j’ôtais ma petite culotte en dentelle déjà trempée et c’est les fesses nues sous ma robe que je rejoignis ma voiture.

Un homme est sorti d’un utilitaire garé à côté et s’est approché de ma vitre ouverte, j’avais les jambes écartées sur mon siège, nue sous ma robe, et tenant encore ma culotte à la main. Je lui ai fait un sourire de coquine voir même de salope. Il voulait ma culotte. Il la renifla, la frotta contre sa bite déjà bien gonflée et me dit qu’il aimerait me pisser dessus.

C’était osé et direct mais j’étais chaude comme de la braise et une bonne lance permettrait surement d’éteindre ce feu que j’avais en moi.

Je décidais de le suivre quelques mètres dans le sous-bois derrière le parking.

Il m’embrassa tendrement en me caressant les fesses. Il bandait bien et je m’agenouillai devant lui et ouvrit grand la bouche pour recevoir le nectar. Il s’empara de moi, prit ma tête et butta de va et vient au fond de ma gorge tout en pissant. J’étouffais presque, j’écopais, ça débordait. Son urine était acre, et je l’ai laissé vider sa vessie au fond de ma gorge.  Il se finit en crachant tout son sperme sur moi en faciale. Je me redressais, et lécha tout le sperme qu’il m’avait donné. Il m’embrassa encore avec la langue pendant qu’un autre homme ayant assisté à la scène me dit :

« Tu aimes ça, chienne !!! Mets-toi à 4 pattes »

Je m’exécutai et relevai ma robe pour laisser apparaitre ma chatte anale, puis, je senti un liquide chaud couler entre mes fesses, hummm j’aime ça.

Il pissa doucement sur ma raie, puis se mit devant moi pour se finir dans ma bouche grande ouverte. J’avalais tout ce champagne amer et chaud.

Après avoir terminé de pisser, il s’en va, je me relève, retourne vers ma voiture avec ma robe bien humide.

Tournante dans une cave

Je tiens à vous préciser que cette aventure ne m’est pas arrivée, mais j’aimerais un jour y être le personnage principal.

J’ai un maître régulier, Karim, chez qui je viens me faire casser le cul régulièrement. Il a une belle bite poilue que j’adore sucer en gorge profonde. Il s’assoit au bord du canapé les couilles pendantes et moi je suis à quatre pattes devant lui, bouche ouverte pour le sucer comme une pute. Son kif est de fumer son bedo et de se branler la queue avec ma tête de salope en m’attrapant les cheveux, mais il faut que je sois bien à quatre pattes devant lui avec le cul bien cambré, et en même temps qu’il fait ça il adore me parler comme à une pute en m’insultant.

Un jour il m’a demandé qu’il aimerait me partager à plusieurs pour me faire défoncer le cul. Je lui ai répondu que j’adorerais ça. Il m’a dit qu’il avait des potes qui seraient intéressés pour défoncer une chienne dans un endroit glauque, genre cave, parking, box, cage d’escalier ou local à poubelles.

Avec Karim, on s’est accordé sur un scénario et le jour J, je me suis maquillée et habillée en salope sous un grand manteau, et me voilà partie chez Karim. Arrivé chez lui, il me débarrassa de mon manteau. Il était super excité, il ne put s’empêcher de me mettre sa grosse queue dans mon cul tout doucement en me disant :

« Tu vas bien te faire défoncer !

Ça va trop m’exciter de te voir sucer et te faire enculer par mes potes. Par contre je te préviens c’est du nokapote mes copains ! Ils sont comme moi, ils aiment remplir un cul où se vider les couilles dans une bouche de pute ! Alors ne me déçoit pas une fois qu’on sera en bas.

Ok ?

Tu suces et tu donnes ton cul et tu fermes ta gueule ! »

Après avoir bu un verre de whisky on est descendu discrètement par la cage d’escalier pour rejoindre une cave. On a passé plusieurs portes, c’était un vrai labyrinthe. Karim m’avait dit qu’il y aurait 5 potes à lui ; des blacks et arabes. Au fur et à mesure qu’on avançait dans le couloir j’entendais des mecs parler. On est entré dans une cave sombre, éclairée d’une simple lampe led. Il y avait trois ou quatre chaises et un matelas. Il y avait de la fumée et ça sentait le bedo. Ils se sont tous mis à gueuler :

« Ah la salope la voilà ! »

Il n’y avait pas 5 mecs mais 8 !

A peine arrivée, un black et un arabe m’ont présenté leur engin à sucer. Un des deux mecs m’a appuyé sur les épaules pour me mettre à genoux, et ils m’ont mis leurs bites dans la bouche, et là, les fessées, les insultes, les commentaires ont lancés les festivités. Je sentais des mains sur mes fesses, des doigts dans ma fente, je ne voyais même pas qui je suçais. Je me suis mise à quatre pattes sur le matelas et je me suis retrouvée direct avec une bite dans le cul. Elle n’avait pas l’air d’être épaisse mais ça m’a permis d’être un peu plus ouverte. Ils tournaient dans mes fesses au fur et à mesure. Dès qu’un mec était prêt à m’enfiler, il écartait mes fesses, crachait de la salive sur mon trou et direct dans le cul jusqu’au couilles. A chaque coup de bite ma tête s’enfonçait sur la bite qui était dans ma bouche. Il y en a qui ont craché très vite sur ma gueule ou dans mon cul, mais après une courte pause ou je sniffais un peu de poppers, ils revenaient à la charge pour se faire sucer et pour me défoncer le cul encore une fois. Ils m’insultaient, ils rigolaient, ils buvaient, fumaient, faisaient tourner leur chienne ! Ils filmaient avec leur smartphone. J’entendais la porte de la cave s’ouvrir et se refermer assez souvent. En réalité je compris rapidement qu’ils envoyaient des SMS et des photos à d’autres potes, ce qui fait que d’autres mecs se succédaient par petits groupes pour se vider les couilles eux aussi. Ça a duré trois heures comme ça.

Karim a bien géré cette soirée, il m’a dit qu’une vingtaine de mecs se sont vidé les couilles.

J’ai pris un maximum de plaisir avec ces bites, et tout ce foutre reçu. J’ai eu beaucoup de mal à remonter chez Karim, j’étais dégoulinante de foutre, j’en avais les jambes coupées.

Salope à pisse et à jus

Un jour je suis contactée par un homme qui me dit être fan des jeux humides. Il me dit aimer pisser sur une bonne salope mais son kiff est de pisser dans une bonne salope, ce qui m’excite au plus haut point.

Après quelques échanges avec lui, remarquant qu’il était bien pervers et vicieux et surtout qu’il avait l’air fiable, nous convenons d’un rendez-vous chez lui à l’heure de l’apéro.

Pour cette soirée arrosée chez Denis, je me suis préparée comme ceci : Un string et un soutien-gorge rouge avec une paire de bas auto-fixant couleur chair. Tout ça sous une petite robe tube noire avec une large ceinture à la taille, perruque blonde et mes sandales beige clair à hauts talons.

Je reçois un SMS : « Alors tu arrives, salope ? »

Je réponds : « je pars »

J’enfile un manteau, et après une petite heure de trajet, j’arrive devant chez Denis ; Il habite dans un joli pavillon en banlieue parisienne. Je me gare, je sonne et Denis m’ouvre la porte.

Perchée sur mes hauts talons, j’apparais bien offerte à son regard. Denis me fait la bise et m’annonce que je vais avoir une surprise.

Humm, j’adore les surprises.

Denis m’invite à le suivre au salon. Un de ses potes est là, une pinte de bière posée devant lui sur la table du salon. Dans ma tête je me réjouis déjà, deux mecs pervers pour moi seule ce soir.

Denis m’invite à me mettre à l’aise, prends mon manteau et me propose un apéritif.

Je me retrouve assise à côté de son pote à siroter mon apéritif, et Denis assis sur un fauteuil à notre droite, lui aussi une pinte de bière devant lui.

J’en profite pour vérifier, en passant une main entre les jambes du pote de Denis, si je lui fais de l’effet et je crois que oui. Il sorti sa queue de son pantalon et m’attrapa la tête pour que je commence à le sucer. Son membre grossit très vite et quel plaisir de sentir cette queue m’envahir la bouche.

Denis ne resta pas insensible à ce spectacle.

Je me mis à genoux toujours en train de sucer son pote pendant qu’il remontait ma robe. Il enlève le Rosebud XL de mon cul et le remplace par sa queue déjà très dure. J’étais bien prise des deux côtés. Après quelques va et vient en douceur pour bien m’ouvrir la chatte anale, Denis retire sa queue et la remplace par un gros plug avec une ouverture centrale pour garder ma chatte bien dilatée. Je sens au moins 3 ou 4 doigts tester mon trou ainsi mis à sa disposition.

Le pote de Denis ôte ma bouche goulue de son membre pour ne pas exploser tout de suite. Nous continuons notre apéritif et Denis retire ma robe. Je me retrouve ainsi uniquement en sous-vêtements.

J’étais déjà bien excitée et, ils m’ont attirée vers le fond de la salle de bain. Je me retrouve à 4 pattes dans une grande douche à l’italienne qui laisse beaucoup de place pour des jeux humides.

« Tu aimes la queue salope ? Tu sais que tu es là pour qu’on te remplisse à la pisse et au jus »

Denis remplace son pote dans ma bouche et commence quelques va et vient. J’ai déjà la bouche pleine et il continue à s’enfoncer au fond de ma gorge, me faisant déglutir et baver de plus en plus. J’évite un haut le cœur, crache de la bave gluante qui contribue à les exciter encore plus tous les deux.

« Montre un peu ton cul !!! »

Denis enfonce un entonnoir dans le trou central du plug anal. Il demande à son pote s’il veut commencer à me remplir à la pisse. Celui-ci propose à Denis de démarrer pendant que je me fais baiser la bouche par lui.

Denis lâche deux ou trois petits jets chauds et je sens que l’entonnoir commence à faire son travail, la pisse s’écoule à l’intérieur de mon cul.

« Humm, j’adore ça. »

Denis invite son pote à pisser à son tour en lui disant qu’il veut garder sa pisse pour me gaver ma gueule de pute.

Son pote ne se fait pas prier et commence à remplir l’entonnoir, il laisse le temps que toute sa pisse s’écoule à l’intérieur de ma chatte anale puis recommence. Je sens que mon cul se remplit avec toute la pisse qui y entre.

Une fois fini, il retire l’entonnoir et le plug tunnel et je serre fortement les fesses pour retenir le maximum de pisse à l’intérieur.

Je suis complètement excitée par cette situation, moi en levrette sur le carrelage de la douche remplie de pisse avec ces deux mecs pervers qui veulent me gaver. Je me suis assise dans la douche, j’en veux encore plus, et je supplie Denis de me remplir la gorge de pisse. Il ne se fait pas prier et lâche quelques jets de pisse bien contrôlés pour que je puisse tout avaler. Il laisse la place à son pote qui dirige sa queue vers ma bouche de salope et lâche aussi un grand jet de pisse. Je n’arrive pas à tout avaler, ça coule sur mes sous-vêtements. Sa pisse a une odeur plus forte, ça m’excite encore plus.

A tour de rôle, ils me pissent à volonté dans la bouche ou dans la gorge. J’évite plusieurs fois d’avaler de travers et je me sens mentalement comme une pute souillée à la pisse, remplie des deux côtés par leur pisse chaude.

Une fois qu’ils ont bien vidé leur vessie, le pote de Denis me dit de me mettre à 4 pattes et qu’il va me laisser me vider le cul dans un saladier. Je sens plusieurs jets chauds sortir de mon cul et s’écraser au fond du saladier. Ensuite Denis prend le saladier et me le vide sur le visage. J’ouvre grand la bouche et lape pour en boire le maximum.

Mes deux amants étaient très excités par cette situation. Ils commencent ainsi à tour de rôle à enfoncer leur queue dans ma gorge puis se masturbent chacun juste devant ma bouche grande ouverte et langue tirée. Je vois leur queue grossir à nouveau et leur gland se gonfler de sang. Denis vient le premier et lâche son jus avec deux petits jets qui atterrissent directement dans ma bouche avant de finir de frotter et nettoyer son gland sur mon visage. Son pote vient terminer par une belle éjac faciale avec un jus plus abondant et épais.

Après, j’attends dans un coin de la salle de bain couverte de pisse et de jus que mes deux amants prennent leur douche.

Avant mon tour pour la douche, ils avaient encore envie de pisser. Normal avec les bières bues tout à l’heure. Je me suis mise accroupie dans la douche et chacun à leur tour ils m’ont encore pissé dans la bouche.

Cette soirée s’est poursuivie en continuant de leur faire plaisir avec ma bouche et ma chatte au fil de leur envies pendant le repas.

Après cette soirée je suis repartie uniquement vêtue de ma robe tube avec mes affaires souillées dans un sac. Pendant le trajet, en me remémorant cette soirée, mon bas ventre me chauffait encore et ma chatte mouillait. Je fais donc un petit détour par un parking de drague connu de la région.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs

Après la fermeture du Ciné-Nord en 2013 et du Beverley en 2019, l’Atlas est le dernier cinéma porno de Paris. Après cette pandémie, j’espère qu’il pourra ré-ouvrir car ses séances de l’après-midi y voient des hommes, la plupart maghrébins ou blacks qui viennent trouver ici un lieu de rencontres et de partage de plaisirs.

Ces dernières années les lieux de rencontres extérieurs pour travesties comme les bois de Boulogne et de Vincennes ou autres bois en banlieue parisienne deviennent de plus en plus risqués et désertés, alors que ce cinéma reste à mes yeux le seul endroit de débauche ou les travesties peuvent encore se lâcher sans retenue.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs.

Je prends une chambre au « GOLDHOTEL » boulevard de Clichy, ce qui à un double intérêt. Je peux aller à l’Atlas à 500 m directement vêtue en fille, et je peux ramener un ou plusieurs mecs dans ma chambre en sortant de l’Atlas. De plus il y a un parking souterrain à 500 m de là pour garer la voiture.

Samedi, début d’après-midi, je suis prête, maquillage léger et parfumée. Je porte une petite robe noire, moulante, ras du cou, dos nu, bas résille et talons pas trop hauts (sinon c’est trop casse gueule une fois à l’intérieur du ciné). Je prends ma pochette avec mon rouge à lèvres, des lingettes, du parfum, une fiole de poppers et 10€ pour l’entrée.

C’est toute excitée que je pénètre dans l’Atlas, et une fois en salle, je range mon petit string dans ma pochette pour que ma chatte anale soit en accès direct à toutes les queues.

Je commence à déambuler devant les hommes qui restent debout, appuyés au mur pour surveiller les rencontres et mater les caresses qui s’y échangent entre spectateurs. Je les frôle en suscitant leurs caresses au passage et les inciter à me suivre dans le halo que dégage mon parfum féminin.

Lorsque j’atteins les toilettes, j’aime m’adosser à la céramique sale. Je sniffe profondément du poppers, l’effet est presque instantané et une très forte chaleur envahie mon corps. Un homme ou deux, parfois trois, blacks et maghrébins m’y rejoignent. Je les regarde en passant ma langue sur mes lèvres écarlates, puis je remonte lentement ma robe noire, offrant ainsi à leurs regards avides mon clito de trav.

Je me retourne face au mur pour qu’ils découvrent entièrement mes fesses, comme une offrande pour leurs mains agiles qui s’empressent de se poser sur mon corps ainsi exposé et offert. Des doigts se glissent alors entre mes lobes fessiers en s’immisçant au cœur de mon intimité. Les doigts s’agitent, tournent et distendent doucement mes sphincters, tandis que d’autres mains se sont glissées vers ma poitrine, titillant mes seins, pinçant et étirant mes tétons, en faisant monter lentement mon excitation. Je commence à gémir doucement, une main se pose sur mon cou et attire mon visage vers celui d’un beau magrébin qui pose ses lèvres sur les miennes en glissant sa langue agile au fond de ma bouche, s’entortillant autour de la mienne dans un baiser torride. J’écarte au maximum mes cuisses, dégageant ainsi mon anus pour l’offrir à la première bite qui me pénètrera. Je sens des mains se poser sur mes hanches, et le gland humide d’une bite que je sens bien dressée, se présenter alors à l’entrée de mon trou d’amour. Je me penche un peu plus en arrière et m’empale alors sur le sexe qui glisse en moi avec force en me faisant pousser un petit cri de plaisir, que la bouche de l’homme qui m’enlace fait aussitôt taire. L’homme qui m’a pénétrée se met alors à me limer d’abord lentement, puis il accélère ses mouvements m’arrachant des petits râles de plaisir, tandis que le second m’embrasse à pleine bouche et que les doigts du troisième tordent violemment mes tétons. Je m’arc-boute contre le mur carrelé, mes mains posées à plat devant moi, et je m’abandonne à l’excitation qui est en train de me submerger, mes petits râles deviennent une longue plainte lorsque les doigts de celui qui m’encule se posent sur mon petit clito tout flasque en le caressant jusqu’à mon râle de plaisir accompagnant un filet de mon liquide séminal, et alors que je sens le foutre de l’homme couler de mes fesses sur mes cuisses et mes bas.

Je reprends petit à petit mes esprits. Je me retourne vers eux, mon enculeur avec la bite encore humide et dressée, et les deux autres la bite sortie, et se caressant face à moi. Je me baisse vers le plus proche et enfourne entre mes lèvres sa belle bite décalottée épaisse et longue ; j’ai failli m’étouffer. Il pose se mains sur ma tête pour imprimer le rythme de la fellation qui l’amène très vite à la jouissance, projetant de longs jets de foutre tiède au fond de ma bouche, son foutre est un peu amer, mais j’adore. Je me tourne alors vers le troisième au moment où sa bite caressée projette tout son foutre sur mon visage.

Je me relève, le visage souillé, les fesses humides et ma bouche encore pleine de sperme, je redescends ma jupe, réajuste mon top, je leur murmure « Merci ! » en leur lançant un baiser, puis je me faufile hors des toilettes pour rejoindre la salle du haut et peut-être en exciter d’autres tout aussi bien montés et désireux de profiter de mes orifices intimes encore tout humides. Je m’assois au dernier rang, contre le mur et déjà un beau black tenant son long sexe à la main vient s’asseoir à côté de moi. Je glisse ma main pour le caresser tandis que lui glisse son bras autour de mes épaules et posant sa main sur mon cou m’oblige à me pencher vers son superbe engin. J’ai beau écarter mes lèvres, j’en reste au gland qui emplit ma bouche. Lui, appuie sur ma tête pour que j’enfonce ma bouche sur son pieu dressé, mais son gland bute sur mon palais et je manque de déglutir, tandis que ma langue est coincée par son gland qui ramone l’intérieur de mes joues. Quelques allers et retours de mes lèvres sur le haut de sa hampe suffisent pour que je sente son foutre exploser dans ma bouche et ma gorge. Dégageant alors mes lèvres de son sexe, je reçois ses dernières éjaculations en plein visage. J’avale avec délice son nectar et pose mes lèvres encore souillées de son sperme sur les siennes. Il me glisse sa langue dans ma bouche et répond à mon baiser.

Puis il se lève et se penchant vers moi et me dit « Merci ma salope, c’était super. Tu as aimé ? »

Je lui réponds « J’ai adoré, mec »

Un black qui venait d’assister à cette pipe royale s’approche et s’assoie à côté de moi. Il me tire vers lui pour que je m’empale sur sa grosse queue. Je commence à aller et venir sur ce pieux jusqu’à ce qu’il me plaque contre lui et m’inonde le cul de sa semence, se lève et se tire sans un mot.

Peu de temps après, un homme blanc plus âgé vient s’assoir à coté de moi. Il me dit « Je t’ai vu dans les chiottes petite pute, ta chatte c’est un autoroute »

Je lui réponds « c’est à cause de vous, c’est de votre faute »

Il m’agenouille sur un fauteuil à côté de lui, robe relevée, fesses bien en face de lui. Il commence par me caresser le cul et sort d’une de ses poches une bouteille de gel et me badigeonne bien le cul.

Je reprends ma fiole de poppers et la sniffe profondément. L’homme entreprend de me fister. Je tortille mes lobes fessiers sous les caresses de plus en plus pénétrantes de cet homme. Sa main s’enfonce tout doucement dans mon trou d’amour. J’émets de petits râles de plaisir. Sa main ressort doucement et replonge aussitôt. Le va et vient tantôt poing fermé, tantôt poing ouvert, s’intensifie sans violence, un filet de liquide séminal s’échappe de mon clito et mes râles se font de plus en plus entendre.

L’homme retire doucement sa main et m’aide à me relever. Du monde s’était agglutiné autour de nous et venait d’assister à ce fist. Je reconnais mon beau magrébin des toilettes, je lui prends la main et l’entraine vers le bout du rang où je m’agenouille sur un fauteuil, ma robe relevée et lui tournant le dos avec les mains sur le dossier, il se colle à moi et je sens sa bite me pénétrer aussitôt, m’arrachant une plainte tandis qu’il commence à me pilonner vigoureusement. Cela dure de longues minutes, et je commence à sentir l’excitation monter au fur et à mesure de son enculage rythmé. Ses mains sur mes hanches serrent très fort ma taille et je le sens se projeter en avant, tandis que des saccades de son généreux foutre inondent mon cul généreusement offert. Il se dégage lentement, laissant son engin à moitié enfourné dans mon anus, je serre mes sphincters pour le retenir en moi et il se colle à moi, m’enlaçant de ses bras musclés.

Il me murmure à l’oreille « Tu es une bonne kahba, j’ai encore envie de toi »

Je retourne à demi mon visage vers lui et je lui dis « Salam Aleikoum » d’une voix lascive.

Il me regarde et me dit « Tu aimes les Arabes ? »

Je lui réponds « Oh oui, mec, ce sont eux qui me baisent le mieux »

Alors il sourit et je sens sa bite se ré-enfoncer lentement en moi, je feule de plaisir et je lui dis « Je suis ta kahba, baises moi encore plus fort »

Alors il écarte le black qui est en train de sucer mes tétons, et me les prends entre ses doigts, les pinçant très fortement « Oh Ouiiii, pinces les forts, j’adore ça »

En même temps sa bite est redevenue dure, et il s’enfonce d’un coup de reins me faisant pousser un petit gémissement, et s’appuyant sur moi, il me fait courber sur le dossier du fauteuil et me lime maintenant très rapidement, ses coups de butoir me rendent folle d’excitation, je sens que je bascule dans une jouissance totale et tandis que mon clito crache un filet de liquide séminal, faisant montrer que je suis en train de jouir de mon trou d’amour, lui continue de me labourer jusqu’à ce qu’il explose à nouveau en moi. Il s’affale sur moi en jouissant et je sens sa semence déborder de mon cul ouvert et couler sur mes bas. Je m’effondre dans le fauteuil et il vient me prendre dans ses bras en m’embrassant goulûment. Je prends sa langue et colle mes lèvres aux siennes, il pose sa tête contre mon front en me disant essoufflé « Tu es à moi, ma kahba, je t’ai fécondé de mon sperme, et je te veux pour moi, tu vas m’obéir, car je suis devenu ton Maître » Je le regarde dans les yeux en murmurant « Oui Maitre, je suis ta kahba désormais, et j’obéirai à tous tes désirs et à tous tes ordres ».

Nous sommes sortis ensemble du cinéma et nous sommes allé tous les deux passer un moment dans ma chambre d’hôtel.

Après-midi avec un amant

J’étais un peu nerveuse mais tout était prêt. J’ai passé deux heures à me faire une beauté, chaque partie de mon corps était douce, tous les coins et recoins prêts à être utilisés au cas où sa langue viendrait se poser sur mon corps.

J’ai décidé de porter quelque chose de simple mais sexy, un haut rouge scintillant, des bas et une petite culotte noire et chaussée d’escarpins rose. Me sentant bien dans mon regard, j’ajuste le dernier maquillage et je me souris face au miroir.

C’est bientôt l’heure ou un amant que je ne connais pas va venir me rendre visite dans cette chambre d’hôtel qu’il a réservé pour moi.

J’attendais cet homme sur le lit en position de levrette, le dos cambré, le cul bien dégagé, un attrayant point focal quand il entrera dans la chambre. J’avais tout préparé comme il me l’avait auparavant demandé. La pièce était sombre, éclairée par une petite lumière et une musique lunch qui contribuera à créer l’ambiance.

De manière pratique, je lui ai placé une chaise devant le lit avec une vue directe sur mes fesses, exposées et prêtes.

J’entendais la porte s’ouvrir. La musique le guida pendant que je berçais mes fesses, les pas se rapprochant jusqu’à ce que je puisse sentir sa main chaude se poser sur moi.

« Bonjour ma pute », me dit-il.

Je sentais une étincelle immédiate et me ressaisissais encore plus, m’efforçant de m’assurer que chaque fraction de mon corps était offerte. Ses mains descendaient le long de mes jambes, cet amant adore la sensation de mes jambes enserrées qui me laisse une traînée de chair de poule quand il me caresse. De retour à l’endroit où il a commencé, l’homme a écarté la culotte que je portais et s’est arrêté une minute maintenant que j’étais exposé.

Mon cœur commençant à battre avec impatience.

Je sentis ses lèvres embrasser mes fesses et puis, doucement, sa langue léchait mon trou impatient. Mes yeux se révulsèrent et je gémissais à haute voix alors que je recevais la meilleure bouffe de chatte de ma vie, il ne se retint pas et j’étais en extase. Ramené sur terre par le toucher ferme de sa main et une petite fessée sur le derrière, il a ensuite commencé à me demander où il me voulait et comment il voulait que je pose.

J’ai adoré ça, rien n’est plus sexy qu’un homme qui sait ce qu’il veut et qui l’exige en conséquence ! À ce moment-là, je devenais folle, je voulais sa queue dans ma bouche.

Et, le moment que j’attendais est enfin arrivé. Me portant à genoux, un oreiller m’attendait alors que je m’installais devant mon objet de plaisir. Avec sa ceinture toujours attachée, il dégrafa son pantalon, et à l’intérieur tirant lentement son sexe et ses couilles glorieuses.

« Je vais te baiser ta douce bouche, tu vois comme je suis dur ? »

« Hummm, oui », ai-je répondu.

« Bonne pute » me répondit-il alors qu’il s’approchait un peu plus près sa queue, maintenant directement devant mes lèvres.

Épais et dur, il glissait lentement sa queue dans ma bouche, s’arrêtant une fois que sa tête palpitante était complètement à l’intérieur. Nous avons fermé les yeux et j’ai à moitié souri. J’aime sucer la bite, ça me rend tellement excitée et humide, l’un des moyens les plus intimes de se connecter avec une autre personne à mon avis. Le sentir dans ma bouche après tant d’anticipations, tout était parfait et j’y suis entré directement, suçant le bout avec ma langue, travaillant le manche puis prêtant une attention particulière à ses boules délicieusement façonnées. Je pouvais goûter des notes de délicieux pré-cum et cela me rendait encore plus excitée ! Douce et humide, profonde et chaude, sa bite remplissait chaque partie de ma bouche et de ma gorge. J’ai étouffé et bâillonné sur sa queue alors que je faisais de mon mieux pour lui plaire.

Après un long moment de succion sucrée, il m’a arrêté, me tirant vers le haut, il m’a ordonné de poser à quatre pattes pour lui sur la chaise sur laquelle il était assis à l’origine. Je faisais comme ordonné et attendais avec mon dos voûté, le cul relevé. Je pouvais l’entendre se masturber, puis, venant derrière moi, je sentis sa queue palpitante se presser contre ma chatte humide et impatiente.

« Oh oui », je me suis dit …

« Enfin, sa queue ! »

Et avec ça, il me pressait fort et profondément, je le sentais bien, pas du tout douloureux mais assez puissant pour le sentir réellement s’étirer et me remplir instantanément. Maintenant, je n’ai pas envie de me faire mal mais j’aime être prise, possédée, utilisée comme un jouet pour l’amusement et le plaisir sexuel de mes amants. J’adore être baisée intensément puis récompensée par un amant doux et chaud !

Et c’est exactement ce que j’ai. Commençant à me baiser, il me pilonnait la chatte avec ce type de baise profonde qui dit que je possède ton cul de salope. J’aime faire ma part aussi, alors j’ai gardé le dos voûté, le cul maintenu en position pour une profondeur maximale. Mon amant frappait sa cible avec précision et je l’aimais putain ! Vibrant à chaque coup mais à moitié retenu par ma culotte écartée, je fuyais avec plaisir, les fluides chauds ruisselant sur mes cuisses trempées alors que ses couilles me tapaient à chaque coup. Reprenant le rythme, il m’a averti qu’il était sur le point de jouir et, avec plusieurs poussées fortes, il a déversé toute sa semence en moi.

« Oh Oui, oui, oui !!! » ai-je pleuré en repoussant mes fesses pour correspondre à ses dernières poussées.

« Oh, putain oui » disait-il en haletant.

Les deux mains de mon amant tenaient fermement mes hanches, que je pouvais sentir sa queue palpiter au fond de moi et je réagissais en me dandinant. Nous avons attendu un moment dans cette position, puis il a lentement sorti son membre encore gonflé, le reposant sur le côté de mon cul.

« Putain qu’il est chaud » disait-il en regardant mon trou légèrement béant. Je savais qu’il y avait encore du travail à faire et je me suis tout de suite mise à genoux pour le nettoyer. De plus, je ne voulais pas perdre une goutte !

« Tu es vraiment une bonne pute » me dit-il en répondant gentiment à mon geste.

J’ai pris sa bite dégoulinante de foutre dans ma bouche pour la première partie de son bain de langue. Dégustant le jus sucré de ma chatte et sentant la chaleur de son foutre, j’ai commencé à le nettoyer. Très doucement, je donnais des coups de langue à sa queue encore palpitante, goûtant les dernières goutes de foutre qui restait.

Ensuite mon amant pris un verre que j’avais préparé et le mis sous ma chatte tout en me disant de pousser fort pour que toute sa semence tombe dans le verre. Je sentais tout ce liquide de plaisir ressortir de ma chatte baveuse pour maculer ce verre.

Après, je me suis retournée et légèrement inclinée en arrière. C’était si délicieux que je ne pouvais pas résister et avec les yeux fermés, j’ai ouvert la bouche et tiré la langue. Il tenait le verre au-dessus de ma bouche et me donnait ce que je voulais. Le retournant légèrement au début quelques gouttes tombaient sur ma langue, puis en s’arrêtant.

« Est-il délicieux mon foutre ? »

« Oui » répondis-je, puis j’ajoutais,

« Plus s’il te plait » en repoussant ma langue.

En dirigeant le reste de son foutre sur ma langue, il la regarda s’égoutter avant de couler lentement dans le fond de ma gorge avec un petit sourire. Je lui rendis mon sourire du mieux que je pouvais, la bouche toujours ouverte. Frappant mes lèvres et les avalant, je ne pouvais pas m’empêcher de me baisser et de me toucher. J’avais été sur le point de jouir tout le temps mais ces moments sont ceux où je suis le plus excitée mentalement.

Savoir que mon amant s’est complétement vidé et satisfait, ma chatte lâche et bien baisée.

« Puis-je ? »

« Allez bébé, j’aime regarder »

Déjà levée et poussée à mes limites, j’ai giclé sur mes jambes agenouillées. Mon amant a adoré voir mon sperme peindre mes bas sexy.

« Merci pour ce merveilleux moment, bébé »

Après qu’il soit parti, j’ai gardé un moment ce délicieux goût de sperme frais sur mes lèvres en attendant d’autres amants.

Baisée par des inconnus dans un sous-bois

C’est par une chaude soirée d’été, quand le temps le permet, que j’ai souvent envie de me faire baiser par des inconnus.

Avant de sortir, je me suis habillée en pute BCBG, escarpins à plateforme, des bas, un string dentelle, une petite jupe et un top sur un soutien-gorge.

Je prends la voiture et prends la direction de ce lieu de drague assez connu en Seine et Marne (entre la D21 et la D10, pour le situer).

J’arrive vers le parking, je ralentis, je vois une vingtaine de voitures arrêtées.

Je me gare, j’ajuste ma tenue, prends mon sac et descend de la voiture. Je traverse la route du parking, je marche le long de la route pour bien me montrer et j’emprunte un chemin en sous-bois et je m’y enfonce lentement.

Des gars tournent dans les chemins du sous-bois ; normal vu le nombre de voitures.

Je m’enfonce un peu plus dans le sous-bois, la luminosité diminue doucement, et rapidement, plusieurs hommes me suivent. Je sais que les regards sont fixés sur mes fesses.

Mon petit cul mouille déjà et « mange » la ficelle de mon string.

Lorsque j’ai trouvé ma place, c’est un arbre et je me penche en étant appuyée contre lui. Je remonte légèrement ma jupe sur mes cuisses pour montrer clairement mes envies aux mâles.

Un homme passe derrière moi et pose sa main sur mes fesses, remonte au-dessus de mes bas, passe sa main entre mes cuisses sous la dentelle de mon string pour caresser mon clito resté flasque.

C’est fou comme les mecs aiment les trav si elles sont féminines et salopes.

Sa main remonte jusqu’à mon soutien-gorge, il se fraye un passage en dessous pour caresser mes seins avec fougue. Il m’embrasse dans le cou et je palpe sa bite à travers sa braguette. Il bande déjà bien. Il va certainement me décharger une bonne quantité de foutre. J’ouvre son pantalon et je sors sa queue. Elle sent bon, de bonne taille sans être exagérée et je n’ai qu’une envie la prendre en bouche. Je le branle doucement.

– « Elle est bonne ta grosse queue… je vais la sucer, la bouffer à fond… Je vais boire ta liqueur de bite, avaler tout ton foutre… J’aôôôôre ça… toi aussi tu vas adorer ma bouche de pute ».

Sur ces bonnes paroles, je me penche sur sa bite bien dressée et lisse. J’aime les mecs épilés. Je le flatte avec ma langue puis je le lèche comme un esquimau. Je titille son gland. Enfin je l’avale jusqu’au fond de ma gorge et bute contre son pubis. Je ne bouge plus les lèvres, je me contente de l’aspirer.
Il apprécie en gémissant. Il tripote mon petit trou et comme avant chaque sortie je le prépare bien, il y enfonce deux doigts sans difficulté. Il me branle le cul pendant que je le pompe avec vigueur. Je remonte le long de sa hampe puis je replonge avec avidité. Je palpe ses bourses pleines. Il tressaille, il ne tiendra pas longtemps. Un soubresaut et il décharge une longue giclée de sperme au fond de ma gorge. Il y en a trop et je n’arrive pas à tout avaler, son foutre coule sur mon menton. Je fais sa toilette, il m’en a mis partout. J’ai encore très envie et je voudrais même qu’il prenne mon petit trou. Mais le monsieur n’est pas de cet avis… il s’enfuit la queue entre les jambes.

Un autre gars s’approche de moi et me dit :

– « Il t’a bien arrosé avec son foutre ? »

– « Ouiiiii … »

Il soulève directement ma jupe découvrant mes fesses. Il les caresse, les palpes puis me donne quelques fessées assez appuyées.

J’adore !!!

– « Oh Ouiiiii … »

– « Ouvre-toi bien que je t’encule ».

Demandé si gentiment je me fais un plaisir de m’exécuter. Le monsieur est trop gentil… il écarte mon string et plonge sans ménagement deux doigts, puis trois, puis quatre dans mon fondement. Je fais un bond en avant.

– « T’aime ça ma salope… t‘es venu chercher de la queue… du jus de mâle !! »

– « Oh ouiiiiii… je veux que tu me la mettes dans le cul… que tu me défonce !! »

Il se libère et je sens son sexe contre mes fesses. Il retire ses doigts, je reste ouverte, mon anus palpite. Il butte contre mon œillet, il est gros. Son gland rentre sans difficulté, il m’écarte, je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Une violente poussée et il est entièrement en moi. Il me donne des coups violents. On ne peut pas dire que monsieur donne dans la douceur. Il claque mes fesses tout en me besognant. Je commence à gémir de plaisir. C’est moi qui vais à la rencontre de ses coups de boutoirs. Il me rend folle et s’en rend compte.

– « Ça te fais du bien ma salope… c’est bon de se faire enculer comme une pute… T’aime ça te faire défoncer le cul ».

– « Ouiiiii… ouiiiiii … Vas-y fort, bourre moi l’anus… j’suis une vraie chienne qui veut se faire monter… »

– « Tu vas en prendre plein les fesses de mon jus… »

– « Oui, oui vas-y rempli moi de ton foutre !!! »

– « J’aime les salopes comme toi… branle toi la queue en même temps !!! »

– « Non je veux jouir par le cul avec ta grosse queue qui me défonce ».

– « Oh c’est bon… je vais jouir… je vais cracher mon foutre dans ton gros cul de chienne ».

– « Ouiiiiiiiii… Ouiiiiiiii… moi aussi je viens… c’est fort… vide toi les couilles !!! »

Je pars dans un orgasme délirant. Le monsieur me donne un dernier coup de queue et je le sens se vider et me remplir le cul. Il reste en moi, il est encore gros. Quand il se retire je le sens de nouveau passer… quelle bite. Je reste accoudé à l’arbre tellement je suis comblée. Le monsieur n’est pas plus correct. Sans un mot il remballe tout et s’en va sans même un merci. Je sens mon anus ouvert, et son jus couler sur mes bas.

Des hommes se branlent autour de moi.

Là je commence par en tripoter un, une superbe queue que je prends en bouche.

– « Suce aussi les deux mecs autour de nous »

Ce que je fais sans me faire prier. D’autres hommes étaient là car je sens des mains me tripoter avec plaisir ce qui me rend encore plus chienne et gourmande. Certains jouissent très vite sur moi et d’autres rapprochent leurs queues pour se faire pomper. Je sens des doigts proches de mon cul puis dans mon cul, deux, puis trois, et très vite ce fut une main qui me fiste. Des hommes que je suce goulument crachent dans ma bouche et sur mon visage. D’autres m’insultent, puis je sens un liquide chaud me couler dessus. Un des hommes me pisse dessus, suivi d’un autre, pendant que la main que j’ai dans le cul vient d’être remplacée par une bite que j’apprécie. L’homme sait y faire avec les putes comme moi, et je ne veux pas que cela s’arrête !

Bientôt sa bite crache sa semence en moi et un autre pris rapidement la place ce qui me rend encore plus salope. Je suis recouverte de foutre et de pisse que je sens couler sur mon corps et entre mes cuisses. Lorsque tous ces hommes se sont vidés, je suis repartie vers ma voiture et je suis rentrée rassasiée jusqu’à ma prochaine sortie.

Entre foot et foutre, moi j’ai décidé

Durant l’euro 2016, le mois de juin n’était pas folichon en ce qui concerne la météo, il était frais et pluvieux. Heureusement il y a l’euro de foot à la télé.

Entre « foot » et « foutre », moi j’ai décidé. Eh oui, on ne se refait pas, le besoin de sucer et prendre de la bite est toujours présent.

Pour cela, je sors faire quelques escapades dans les bois de la région en tenue de salope, et pour ceux qui me croiseront, ce sera comme d’habitude, la bouche et la chatte en libre-service pour vous soulager.

Ma récompense : Donnez moi votre foutre sans modération.

Baise sur un parking

Ce soir-là, je roule, il est environ 20h, il fait doux et j’ai envie d’une bonne bite à me mettre sur la langue ou dans le cul. Comme je ne passe pas loin d’un lieu de drague que je connais, je décide de faire un détour pour m’y rendre, et peut être… trouver ce que je recherche. Je prends le chemin qui m’emmène au parking, et en approchant, je remarque qu’il y a pas mal de voitures déjà garées.

Je me dis, « Chouette, c’est bien parti !! ».

Je descends de voiture et entre dans le bois.

Une nana, la cinquantaine, sur une table en bois en train de se faire baiser pendant qu’elle suce un autre mec. Le mec qui la baise avec fougue m’a l’air pas mal monté, et je m’imagine déjà à la place de la fille.

Plusieurs mecs aux alentours, se masturbent en matant ce spectacle. Le mec en train de se faire sucer doit être son compagnon ou maître car il souhaite que d’autres mecs viennent aussi participer et mettre leurs queues dans la bouche de la fille.

Par expérience je sais que sur ces lieux de drague, il y a une majorité de voyeurs…

En attendant, je me mets avec eux, j’ôte mon short et me branle doucement.

« Putain, j’ai grave envie de me faire prendre le cul. »

Vous imaginez la scène; un mec baise à fond une nana, elle couine, sa bouche suce à tour de rôle deux à trois autres queues… des mecs matent en se masturbant, et moi je vois des queues raides autour sans pouvoir y gouter.

« Mon excitation monte, j’ai grave envie … »

Au bout d’un moment, le mec sort du cul de la « pute » et jouis. Les mecs dans la bouche font la même chose, les voyeurs rangent leur queue et foutent le camp.

Je me dis que c’est le moment d’agir; Mon short étant déjà ôté, je me penche en avant sur un arbre, le cul tendu entre-ouvert et moite. Je me dis qu’il y a bien un mec qui aura envie, après avoir vu cette séance de baise excitante.

Derrière moi un bruit de craquement, c’est deux mecs, un jeune et un plus âgé qui s’approchent.

  • Je dis : « Elle m’a excité cette pute en se faisant baiser comme ça »
  • L’un me répond : « Ouais mec moi aussi je suis excité »
  • L’autre : « Ouais j’ai la queue raide et les couilles pleines »

Le plus vieux pose ses mains sur mon torse et me caresse, le plus jeune s’astique la queue; Une belle queue fine, longue et déjà violacée au bout et des couilles bien pendantes. Je me penche en avant pour engloutir ce joli membre. Le jeune me saisit la tête pour me baiser la bouche. En même temps je sens les mains rugueuses du plus vieux me parcourir de long en large; Il doit apprécier la douceur de ma peau épilée. Tantôt un doigt ou deux effleurent mon anus. Il ne perd pas de temps, il enfile une capote, crache sur mon trou, présente son gland devant l’orifice anal et me pénètre avec violence pour me défoncer le cul.

J’ai deux queues en moi, et je me fais prendre comme une chienne, il est entré dedans comme dans du beurre, j’aime la bite… j’aime sa bite. Il me lime à fond, son ventre est en train de claquer sur mes fesses.

Autour de nous, d’autres mecs sont en train de se masturber en ne perdant pas une miette de cette séance.

Le premier explose dans un long jet épais au fond de ma gorge, suivi d’autres jets moins abondants.

Après l’avoir bien nettoyé pour ne pas en perdre une goutte, je le libère de ma bouche pendant que le deuxième continue de ma labourer le cul. D’ailleurs, il ne tarde pas lui non plus à jouir. Il se retire, jette la capote et remballe lui aussi sa queue.

Après ça, j’ai envie que les mecs qui se masturbent autour de moi me souillent, qu’ils me crachent dessus, me pissent dessus, et éjaculent sur mon cul nu et offert. Un premier, s’approche pour se vider les couilles sur mes fesses, ce qui donne le top départ pour un bon arrosage, mélange de foutre et de pisse.

Une lope au sex-shop

Je profite d’un petit moment en ce début d’année pour vous raconter cette soirée qui se déroulait dans une grande ville du sud-ouest en novembre dernier.

Pour planter le décor, cette escapade se passe dans un sex-shop qui possède des cabines et une salle de ciné en sous-sol.

Dans la mesure du possible, j’essaie de préparer au mieux mes virées nocturnes afin que je n’en retire aucune frustration; c’est pour cela que j’avais passé une annonce quelques jours auparavant dont voici un extrait…

… Au sex-shop ou au ciné X, je suce toutes les queues qui se présentent sans capote, vous pouvez décharger de suite ou m’enculer (avec capote) aussi longtemps que vous voudrez. Quand votre queue ressort de ma chatte, j’enlève la capote et je vous reprends en bouche pour faire gicler votre jus. J’aime recevoir votre foutre en plein visage et je finis de vous vider dans ma bouche en léchant votre queue jusqu’à la dernière goutte. Pour les hommes vraiment pervers qui en ont envie, ils peuvent m’asperger de leur « champagne » dans les toilettes du fond de la salle.

J’y serai en fille habillée sexy, châtain cheveux courts, top ou chemisier décolleté, jupe noire très courte, bas auto-fixant noirs, soutien-gorge noir à bonnets ouverts. Je porterai aussi un collier de chienne…

Au plaisir de vous y faire plaisir…

Autant vous dire que je connais ce lieu, et avant de partir de ma chambre d’hôtel, je me prépare, enfile un jogging par-dessus et mets un imperméable. Dans mon sac à dos, ma perruque, et mes escarpins.

Après un petit transport en bus, je continue ma transformation dans une sanisette non loin du sex-shop. Je retire le jogging, mets mes escarpins et ajuste ma perruque. Je ressors ainsi vêtue, et marche d’un pas assez pressé par l’excitation en direction du sex-shop.

Je pousse le rideau à l’entrée et flâne un peu dans les rayons. Des hommes étaient là, se regardaient, et commençaient à me mater. Ils avaient compris qui j’étais et ce que je suis venu chercher ici.

Après un petit moment, je sens l’excitation monter et je décide d’aller à la caisse prendre une place pour la projection en salle au sous-sol.

Je descends l’escalier, des hommes tournent dans le couloir, et moi, j’entre dans la salle au bout du couloir, je m’assois sur un fauteuil non loin des toilettes après avoir retiré mon imperméable. Mes yeux s’habituent peu à peu à l’obscurité ambiante et je vois que la salle est quand même assez remplie.

Alors que je commence à regarder le film, un homme assis à côté de moi se masturbe. Une bite énorme, longue et de gros diamètre qui se tient au garde à vous.

Je me mets à genoux sur mon fauteuil et je commence à sucer cette bite qui envahit ma bouche.

  • Lui : Oui ! Tu suces toujours aussi bien, toi ?

Je ne réponds pas, je suce. Mes mains glissent sur ses fesses poilues et bien fermes. Elles s’égarent entre les cuisses, dans la raie toute chaude et soupèsent ses couilles volumineuses.

  • Lui : T’es vraiment une super bonne salope.

Puis, il me prend la tête et s’active de plus en plus, il m’attrape la tête pour me baiser la gueule. C’est lui qui dirige. J’arrive à peine à respirer tellement sa bite rempli ma gorge. Je m’agite en lui aspirant le gland puis je lui suce les couilles jusqu’à ce que de longs jets de foutre tiède vinrent s’écraser au fond de ma gorge, j’avale tout, aspire bien la dernière goutte. D’autres hommes sont autour de moi, un mateur s’est rapproché et s’est mis derrière moi et commence à me caresser le trou tout en se branlant pendant que je branle d’autres bites; j’ai vite compris qu’il voulait m’enculer.

  • Lui : J’ai trop envie de te la fourrer dans le cul. T’as une capote ?

Bien placé à genoux sur le fauteuil, la croupe bien relevée, je lui en tends une qu’il déroule sur son engin. Je me tartine le trou de gel lubrifiant et je lui présente mes fesses lisses. D’un coup sec il me pousse sa tige bien au fond de mon cul. C’est rapide mais efficace. J’ai juste une petite douleur à l’entrée puis rien que du plaisir et m’encule pendant un long moment. Il ne veut pas décharger dans mon cul et il part après m’avoir bien dilaté le trou. Par la suite il est repassé deux ou trois fois toujours la bite à la main pour que je le suce; j’ai aimé sa bite. Un moment plus tard un autre homme est venu le remplacer. Il a une plus petite bite, il me maintient la tête pour le sucer en fond de gorge.

Pendant ce temps, bien occupé j’entends ces échanges derrière moi :

« C’est vraiment une bonne pute ! Tu veux l’essayer ? » Demande mon enculeur du moment à un homme qui attend.

Il lui répond « Après toi !  Vas y !  Te gêne pas… ».

Un moment plus tard, après quelques giclées de foutre sur mes fesses, un autre homme essaye de me caresser alors je lui présente mon cul face à lui, il met une capote à sa main qui commence à se frayer un passage entre mes fesses et au bout d’un moment il me dit :

  • Lui : Chienne, suis moi dans les chiottes, c’est ta place…

Il me tire par l’anneau de mon collier de chienne et m’oblige à le suivre dans les toilettes. Ce spectacle attire les hommes à nous suivre.

Je retire ma jupe et mon top et m’installe à quatre pattes uniquement en bas et soutien-gorge, et déjà quatre hommes sont autour de moi la bite à la main. Le mec le plus directif qui m’a emmené là, se place derrière moi et me caresse les couilles et tire sur ma bite molle pendant qu’il m’enfonce sa main dans le cul. Il me travaille le cul et les couilles tout en me traitant de « grosse pute, garage à bites… ». Les autres hommes s’occupent de moi et utilisent ma bouche comme ils veulent. C’est une situation excitante, j’ai une main dans le cul, des bites que je suce à tour de rôle, et je branle d’autres bites en même temps. J’ai senti des hommes se vider sur moi, et j’ai bien étalé leur foutre.

Le mec qui était très dominateur et directif est resté ensuite et m’a dit avant de partir que si je ne portais pas de bas et que si j’étais plus dilatée il me prendrait bien comme lope et aimerait être mon Maître… « c’est impossible, je n’habite pas cette région, mais sur Paris, si je tente un Maître, pourquoi pas… »

Ce spectacle a aussi l’avantage d’exciter la libido des hommes autour de moi. Un homme s’approche et me présente vite sa bite, il est très dur la bite bien dressée.

  • Lui : Salope, pompe-moi ! Pompe-moi bien à fond…

C’est un plaisir de le sucer et de lécher ses couilles et son cul pendant que les autres hommes se branlent en attendant qu’une place se libère pour combler un de mes orifices.

  • Lui : Je vais te cracher à la figure. Je vais t’inonder la tronche avec mon jus de mâle !

Il décharge tout son foutre épais sur ma figure. Les hommes présents profitent bien de moi et moi je profite bien de leur bite. Après qu’un dernier homme me baise comme une reine, c’est le plus attentionné de cette soirée. Sa technique est vraiment géniale, il s’enfonce profondément, ressort presque pour mieux replonger sa bite dans mon trou. Puis au bout de dix minutes, il me dit qu’il n’en peut plus… qu’il va jouir. Ce qu’il fait d’ailleurs en se mordant les lèvres pour ne pas hurler! Après il vida sa capote sur ma figure.

Je suis resté comme ça un long moment et un mec timide est venu pour me juter et me pisser dessus, puis m’a remercié et est parti.

Je me suis essuyé grossièrement et rhabillée encore toute dégoulinante de pisse et de jus, et en marchant dans la rue en direction de ma chambre d’hôtel, je pouvais sentir les effluves de foutre et de pisse mélangées pour mon plus grand plaisir.

Voilà une soirée bien débridée dans un lieu chaud de cette ville.