Avec mon compagnon, nous nous étions installés sur la plage, le plus haut possible contre les barrières de la dune. Le soleil était voilé, laissant filtrer une lumière laiteuse, et je sentais l’air chaud de l’été caresser ma peau. J’étais nue comme un ver, munie seulement d’une perruque, d’une paire de lunettes de soleil et d’un plug anal. Ici, à la baie des cochons, tout le monde sait pourquoi on vient et ce n’est pas que pour bronzer.
Nous étions allongés sur une grande serviette, mon sac de plage contenant entre autres mon paréo et mon string. J’étais allongée sur le ventre et mon corps réclamait un peu d’excitation. Mon compagnon versait une généreuse quantité d’huile de massage sur ma peau, et ses mains commencèrent à me masser avec lenteur, faisant glisser ses mains sur mes courbes. Ses doigts s’attardèrent sur mes fesses, les écartant légèrement pour exposer mon petit trou pluggé. Rapidement des regards coquins pouvaient nous suivre.
Un homme d’une cinquantaine d’années non loin de nous nous matait la bite à la main. Mon compagnon lui fit signe d’approcher, ce qu’il fit avec un sourire.
Son torse était couvert d’une toison poivre-et-sel. Son érection, déjà bien formée, se balançait au rythme de ses pas.
Il s’agenouilla sur notre serviette.
Mon compagnon passa une main possessive sur ma hanche avant de me donner une petite claque sur les fesses, signe qu’il approuvait la suite.
— « Elle adore être prise comme une vraie salope » murmura-t-il à l’inconnu, qui sourit en ajustant son érection d’une main.
Je sentis sa main explorer mon trou et découvrir que j’étais pluggée. Il effleura le contour de ma chatte et m’ôta le plug. Je sentis ses doigts écarter mes lèvres déjà trempées, puis sa langue me surprit en traçant un chemin brûlant entre mes fesses. Un frisson me parcourut quand il goûta à mon petit trou, encore distendu par le plug.
— « T’es déjà bien préparée… » grogna-t-il avant de m’asséner une claque plus forte, faisant claquer ma chair.
Mon compagnon complice nous regardait en se branlant.
Je gémissais doucement dans le sable, le ventre noué par le désir. Son souffle chaud sur ma peau me donnait des frissons. Puis, sans prévenir, l’homme cracha sur mon trou avant d’y enfoncer quelques doigts avec autorité, ma chatte étant déjà bien humide d’anticipation.
L’homme s’était agenouillé près de ma tête. Je saisissais alors sa bite déjà gonflée dans ma main. La peau était douce comme du velours sur la longueur de son membre, avec cette veine saillante que j’aimais tant suivre du bout de la langue.
Quand mes lèvres se refermèrent sur son gland, un grognement sourd lui échappa. Je pris mon temps, savourant chaque centimètre, ma langue tournant autour de son prépuce avant de plonger plus profondément.
— « T’as une belle bouche de pute, ça se voit que t’aimes sucer » haleta-t-il en faisant des vas-et-viens prononcés avec ses doigts dans ma chatte.
Je sentais sa queue durcir davantage, son goût salé se mêlant à l’odeur de la mer. Quand il commença à pousser ma tête vers son bas-ventre, je savais qu’il était proche.
— « Je vais venir… » murmura-t-il d’une voix rauque.
Je ne ralentis pas, au contraire. J’accélérai le mouvement, ma main branlant la base de sa queue tandis que ma bouche aspirait goulûment. Ses hanches s’agitèrent, puis il éjacula en une série de jets puissants qui inondèrent le fond de ma gorge. Son sperme était épais, salé, et j’avalai chaque goutte avec plaisir, ne voulant rien perdre.
Quand il fut vide, sa bite tremblait encore entre mes lèvres.
Alors que j’essuyais mes lèvres, une ombre se projeta sur nous. Un homme d’une soixantaine d’années se tenait là, sa bite impressionnante déjà bien dressée.
— « Besoin d’un deuxième service ? » demanda-t-il avec un sourire canaille.
Je répondis en me mettant à quatre pattes, offrant mes fesses encore marquées par la fouille de mon premier partenaire.
Il ne fit pas dans la dentelle. Une main sur ma hanche, il m’écarta brutalement avant d’enfoncer toute sa longueur d’un seul coup. Je gémissais, mais le son se perdit dans le vent marin.
— « T’aimes ça, hein ? T’aimes te faire défoncer comme une chienne sur la plage ? » gronda-t-il en m’agrippant les cheveux.
Je ne pus que gémir en acquiesçant, sentant mon orgasme monter à une vitesse folle. Mon compagnon, voyant mon état, se pencha et commença à me branler avec énergie, ses doigts habiles stimulant ma petite bite à chaque poussée de l’inconnu.
Je sentais chaque centimètre de lui me déchirer, ses couilles claquant contre mes fesses à chaque poussée. L’huile naturelle de mon excitation se mêlait à la sueur qui coulait le long de mes cuisses.
La sensation était trop intense. Mon corps trembla, et je jouis violemment, mon sphincter se contractant autour de son sexe qui continuait de me labourer. L’homme grogna, sentant mon spasme, et accéléra, ses coups devenant plus saccadés.
— « Je vais te remplir, salope… »
D’une ultime poussée, il s’enfonça jusqu’à la garde, et un grognement rauque s’échappa de sa gorge alors qu’il se vidait en moi, inondant mes entrailles.
Alors que le deuxième homme se retirait, laissant son sperme tiède couler entre mes cuisses, j’entendis des rires et des murmures autour de nous.
La plage restait animée et personne ne me jetais un regard particulier – à la baie des cochons, c’est juste une journée ordinaire.
Mon compagnon s’agenouilla près de moi et m’embrassa profondément avant d’aller nous baigner