Les signes qui montrent que tu deviens une lope

Quand pour avoir une érection au lit avec ton épouse ou ta copine, tu dois fantasmer, c’est un premier signe qui peut montrer que tu deviens une lope.

Pour pouvoir baiser et avoir une érection, tu dois imaginer que ton épouse ou ta copine se fait baiser par un autre homme que toi, ou t’imaginer à sa place en train de te faire baiser par un homme. Disons qu’avec une femme tu ne peux plus avoir une érection juste en la regardant, tu dois impérativement fantasmer.

Mais quand ton fantasme est d’être à genoux devant un homme avec sa bite dans ta bouche c’est très différent, là, tu as une bonne érection, et tu te masturbe en t’imaginant en jupe ou en robe.

De plus en plus fréquemment, ton esprit te pousse à te mettre dans la peau d’une femme. Quand tu regardes une femme tu rêves d’être à sa place, te faisant enculer par des hommes virils.

Au quotidien, quand tu rentres chez toi, tu prends plaisir à t’habiller en femme avec les vêtements de ton épouse ou si t’es seul tu surfe sur internet pour t’acheter des vêtements de femme. Quand tu pars au travail, c’est toujours en sous-vêtements féminin sous ton pantalon. Quand tu regardes une fille dans la rue ou dans le métro, tu t’intéresses à la manière dont elle s’habille et à son comportement avec les hommes.

Au début tous ces rituels du quotidien te provoquent une bonne érection. Mais ça, c’était au début, et petit à petit, la féminisation faisant son chemin, tu commences à prendre du plaisir sans érection.

Tu as une obsession omniprésente d’avoir toujours envie d’une grosse bite raide dans ta bouche ou dans ton cul. Car enfin, il faut bien le reconnaitre que pour une lope, c’est ta bouche et ton cul qui sont au service de l’homme.

Une fois que tu commences à t’accepter en tant que lope, ta garde-robe s’agrandit, tu achètes des accessoires, des bijoux, des chaussures à talon, etc… et tu soignes de mieux en mieux ton aspect féminin.

Aujourd’hui, ma vie de salope

Depuis l’épidémie de covid, je suis partie m’installer dans une petite ville de Bourgogne, tout en gardant un lien fort avec Paris.

Dès lors, mon activité de salope est devenue assez souvent monotone. Les quelques pêches, ici et là, ne me rendent pas grand-chose, je suis devenue une intermittente du plaisir en quelque sorte, au coup par coup la plupart du temps.

J’ai un peu de regrets de cette vie Parisienne de l’avant covid ou l’on s’usait à avaler, recevoir, et avaler encore. Quand on avait avalé cinq ou six fois dans la journée, que l’on s’était prise des queues entre et après, on se retrouvait à reprendre souffle, reprendre forme, la bouche encore mouillée et la chatte toute dégoulinante de la dernière dose de sperme reçue.

Pourtant, je sors assez souvent en fille, mais je dois admettre que c’est souvent entre chien et loup et que ma destination reste souvent le bois ou le parking. Mais la plupart du temps, les rares voyeurs me lorgnent, me donnent parfois leur sexe à sucer. Plaisir pris, ils repartent. Parfois, je les revois un autre jour, parfois pas.

Pour éteindre mon excitation, je suis obligée de me caresser doucement seins et chatte. Mais dehors, il y a toujours la caresse de l’air, le bruit des autos, que sais-je encore. Et quand je rentre, c’est toujours la nuit, et de plus à ces heures, la ville est quasi déserte, comme abandonnée. Ma seule compagnie reste le bruit de mes talons sur le macadam.

Chienne d’autoroute

La semaine dernière, j’ai répondu à un appel sur mon téléphone :

« Bonsoir, dit la voix d’un homme, je souhaite parler à Waloou »

« C’est moi Waloou » répondis-je.

« Je suis Nadir, je suis chauffeur poids lourd. J’ai vu ton numéro sur Wannonce. Je serai ce soir sur l’aire de Vémars Est sur l’autoroute A1. »

Un silence se passe, puis le gars enchaîne :

« Viens à minuit sucer ma bite, espèce de pute »

Je lui répondis :

« Ok, je serai là »

« Ok, salope ! Pas de soucis pour moi. Je dois rester là toute la nuit et j’ai envie que tu me suces, salope, et vide mes couilles pour passer une bonne nuit de sommeil »

Hummmm, le type est chaud comme la braise et ça m’excite. La tentation de sucer la bite de ce routier est si grande, que je me suis bien préparée. J’ai mis des bas résille, un porte-jarretelles, un petit pull pour luter contre la fraicheur de l’automne, un string rouge, des longs gants noirs, une mini-jupe noire, et des bottines à talons. Un beau rouge à lèvres bien marqué, un collier de chienne, et une perruque rousse viennent finir ma tenue de soirée.

Je me suis déplacé vers cette aire d’autoroute que je connais bien, Nadir m’ayant envoyé entre temps les infos pour se retrouver. Lors de mon arrivée sur l’aire d’autoroute, j’ai vu parmi tous les camions garés, la semi-remorque de Nadir qui était là au bout du parking, parquée sous un lampadaire.

Je me suis garée et me suis dirigée vers son camion, la chatte anale trempée d’excitation. Le rideau de la cabine du côté conducteur était fermé, alors j’ai fait le tour. Il a entendu mes talons claquer sur le sol, car il a ouvert la fenêtre et m’a regardé d’un air arrogant.

« T’es une bonne pute. Déplace-toi un peu, sous le lampadaire, que je vois à quoi tu ressembles, salope »

Je me suis exécutée. Il m’a ordonné depuis la cabine à me retourner, me pencher en avant, montrer ma chatte anale. Il m’a ordonné de me retourner et lui montrer mon clito. Le parking était assez fréquenté, mais assez calme vu l’heure tardive. Après m’avoir forcée à m’exhiber dans plusieurs positions indécentes, il est descendu de sa cabine pour me rejoindre. Le type devait avoir la quarantaine, ni mince, ni gros, il avait déjà sa bite raide dans la main et était sur le point de se branler.

« Bonjour Nadir, je suis ta chienne pour te vider les couilles » dis-je.

« Tu as une très belle queue et je veux te sucer ! »

Nous avons fait le tour de l’autre côté du camion afin de nous mettre dans la pénombre.

« Ta gueule salope ! A genoux, salope ! » répondit Nadir.

Je me mis à genou. Nadir m’attrapa fermement la tête et me dit :

« Tu ne parles pas ! »

Il m’attira la tête contre sa queue. Et me laissa goûter sa belle queue avec ma bouche humide, et puis il a poussé ma tête lentement jusqu’à ce que ma bouche enfourne son membre épais et succulent. Nadir était expérimenté et m’a démonté la bouche avec sa queue dure sans jouir. Pendant de longues minutes, il m’a limé la bouche très lentement, puis plus vite et à nouveau plus lentement. Il s’enfonçait parfois très profond et me gardait la tête contre sa queue pendant quelques secondes. La salive dégoulinait de ma bouche, à deux doigts d’étouffer.

« Alors petite pute, tu aimes ma queue ! tu aimes la sentir dans ta bouche de chiennasse ! »

Il me baisait maintenant la bouche avec sa queue dure et brutale. Ses couilles frappaient mon menton. J’avais de la peine à suivre son énergie et les larmes me coulaient. Il avait vraiment envie de me défoncer la bouche à grands coups de reins. Puis, sans doute avant d’exploser dans ma bouche. Il s’est retiré. Il m’a penché en avant pendant que je reprenais mon souffle, puis il m’a mis direct ses deux premiers, puis trois, puis quatre doigts dans ma chatte, et il a commencé à écarter mes entrailles. J’étais contente car au début je devrais juste le sucer, mais ma chatte dégoulinait de plaisir. Ses doigts perforaient mon trou en écartant les doigts comme s’il s’agissait d’un spéculum. Ça semblait plaire à Nadir. Il grognait de plaisir et ma bouche était toute gluante car il avait déjà lâché un peu de liquide pré-éjaculatoire dans ma gorge, et j’avais le goût du foutre dans mon cou et la senteur de sa semence sur mes lèvres. Pendant qu’il s’amusait encore avec ma chatte, j’ai commencé à lui lécher les couilles en cambrant encore plus mon cul comme une salope soumise. Soudain, j’ai entendu une porte de voiture se refermer et quelqu’un venir vers nous.

« Bouge pas sale pute ! » m’ordonna Nadir en gardant ses quatre doigts enfoncés dans mon anus dilaté et trempé. J’ai senti le nouveau type arriver dans mon dos. Je n’étais pas tranquille.

Nadir lui a dit : « Salut ».

L’autre a dû répondre d’un signe de la main, car je ne l’ai pas entendu.

« Si tu veux profiter de cette putain, tu peux y aller. Elle est bonne » Dit Nadir.

Alors le type que je ne voyais pas s’est penché derrière moi et m’a attrapé les couilles, puis mon clito qu’il a tiré vers l’arrière. Nadir continuait à me torturer la chatte anale. Je voulais enlever les mains du nouveau type, mais Nadir sortit ses doigts de ma chatte brutalement et attrapa à nouveau ma tête et se remit à me baiser la bouche rapidement et profondément. A quatre pattes, cambrée en arrière, la bouche encombrée par la queue de Nadir, j’étais à la merci du type qui malaxait mes couilles et tirait de plus en plus fort sur mon clito. Puis l’homme derrière moi a dit quelque chose que je n’ai pas compris. Nadir a ri.

« Si tu veux baiser cette traînée, c’est un vrai garage à bites »

J’avais compris, le type lui avait demandé l’autorisation de me baiser. J’ai entendu que le type derrière moi crachait sur ma fente pour la lubrifier, et m’enfila d’un seul coup et profondément. Le gars n’avait pas une longue queue, elle était large, je sentais les tissus de ma chatte bien tendus, mais il ne me transperçait pas trop loin.

« Alors la petite pute aime cette situation, hein ! » me dit Nadir en continuant à pilonner ma bouche. L’autre cochon faisait de fortes poussées brutales et régulières tout en claquant mes fesses avec ses mains.

« Vas-y, baise-moi cette chienne perverse ! » chuchotait Nadir en se penchant en avant.

Je soupçonne qu’il avait une vue imprenable sur mes chairs défoncées. Il voyait la queue de l’autre inconnu limant ma chatte à grands coups d’aller-retour. J’ai commencé à haleter de plaisir. Ma bouche et ma chatte étaient remplis. Le souffle coupé, la queue épaisse et chaude de Nadir me choquait le palais. Je suçais avec application et goulûment. Le type derrière moi avait complètement pris possession de mes entrailles. Puis sans doute pour éviter de jouir, Nadir est ressorti de ma bouche et m’a donné une gifle en m’ordonnant de sucer ses couilles. L’autre a soudain poussé de toutes ses forces en me tirant le bassin vers lui avec ses deux mains et a gueulé pendant de longues secondes pendant qu’il éjaculait par saccades dans ma chatte. Il semblait avoir des litres de foutre, car il ne s’arrêtait pas de gémir. Puis il a relâché son étreinte et a ressorti son marteau-piqueur de mes entrailles.

« Viens te nettoyer la bite dans la bouche de cette pute » dit Nadir qui bandait toujours comme un taureau.

Nadir se mit de côté et le type inconnu prit sa place. Sa queue sentait la mouille de ma chatte. Sa queue était moins longue que celle de Nadir, mais bien large. Je comprenais mieux pourquoi je l’avais bien sentie écarter ma chatte. Je le pris en bouche et nettoyé sa queue délicatement avec ma langue. Soigneusement, j’avalais les dernières gouttes de son foutre. Sa queue était ramollie. Il se retira et laissa la place à Nadir qui bandait toujours comme un taureau. Cette situation semblait l’exciter énormément. Je sentis que l’autre resta à regarder comment allait se conclure le plaisir de Nadir.

« J’ai partagé ma pute, parce que je sais qu’elle aime, ça la salope ! » dit Nadir en remplissant à nouveau ma bouche avec sa queue et en se remettant à me la limer avec vigueur en me tenant la tête. A quatre pattes, ma chatte dégoulinait du foutre du type qui m’avait enculé. Cette sensation de trou bien dilaté m’excitait encore plus, et je sentis un petit air frais me rafraîchir la chatte. Soudain, je sentis la queue de Nadir pousser profondément dans mon cou. J’étais en gorge profonde. Les larmes me coulaient et j’allais déglutir. Il y avait bien une demi-heure que je suçais à fond. Je me suis préparée à recevoir le foutre au fond de ma gorge, mais Nadir se retira et retint ma tête avant de haleter bruyamment en pulvérisant d’énormes giclées de foutre directement dans ma bouche que j’avais laissée ouverte. Nadir a tenu ma tête pendant quelques minutes. Je me contentais de le sucer tendrement avec des petits coups de langue. L’autre en profita pour partir. Il s’était masturbé en regardant jouir Nadir. Il avait éjaculé une deuxième fois sur mes fesses sans que je le remarque. La queue de Nadir devint flasque. Il me lâcha la tête et me dit :

« Tu es vraiment une putain de chienne bien excitée et docile, toi ! »

Je lui demandai :

« Le type qui est venu me limer la chatte, il était prévu ? »

« Oui, je l’avoue. Je lui ai donné rendez-vous même si j’ignorais s’il allait venir. Tu as aimé salope, non ? »

« J’ai eu un peu peur mais l’excitation était si présente que je me suis laissé faire en pute docile »

Nadir remonta son pantalon qui était resté sur ses chevilles et rangea sa queue sans répondre.

« On peut garder contact, je te recontacterai sûrement lors d’un prochain passage, petite pute ! »

Nadir regagna son camion. Moi, j’avais les jambes qui tremblaient et ma chatte mouillée de plaisir en regagnant ma voiture. J’avais passé au moins 1 heure à quatre pattes, la croupe offerte.

Baisée sur une table de pique-nique

Les temps sont difficiles en ce moment de pandémie et mes besoins sexuels sont toujours aussi importants.

Un ami hétéro que je connais bien car nous nous sommes déjà amusés ensemble à plusieurs reprises avant la pandémie, m’a contacté car il avait lui aussi les mêmes besoins que moi.

C’était en début de semaine, il commençait à faire bon dehors, et il m’a dit qu’il passerait me prendre en voiture un soir après le couvre-feu.

Il est arrivé à l’heure dite, et m’a dit de monter dans sa voiture pour m’emmener quelque part. Pendant qu’il conduisait, il a pris ma main et l’a posée sur sa bite dure à travers son short. Après quelques instants à le branler, mon cul s’humidifiait de désir et je me penchais vers son bas ventre pour le sucer.

Après 15 minutes de route, nous nous sommes garés sur une aire de repos qui est aussi un lieu de drague nocturne. Mais pas une voiture n’était présente ce soir-là uniquement un camion. Il m’a dit de sortir avec lui et nous nous dirigions vers les tables de pique-nique. Je me suis accroupie devant lui et je continuais l’activité que j’ai commencé pendant le trajet. Ce faisant, il m’a alors forcé à sucer sa bite en prenant ma tête entre ses mains. Je sentais sa bite palpitante dans ma bouche et ça ne faisait que m’exciter davantage alors qu’il me soulevait et me disait de me coucher sur la table de pique-nique. Il a ensuite levé la robe que j’avais et a écarté mon string. Il a ensuite passé mes jambes sur ses épaules et a passé son gland humide sur mon trou du cul. Il a commencé par me doigter, ça rentrait comme dans du beurre. Je laissais sortir quelques gémissements et me sentais très excitée d’être doigtée dans un lieu public. Puis j’ai senti sa bite frotter contre mon trou du cul, et finalement il l’a poussé dedans. Me faisant gémir comme une salope alors qu’il commençait à me baiser il prit son temps… J’appréciais trop chaque poussée de sa grosse bite dure au fond de mon ventre qui massait ma prostate ce qui me faisait jouir du cul, un filet de liquide séminal coulait de ma bite molle. Il a ensuite sorti sa bite et m’a dit de descendre de la table et de me pencher en avant, ce que j’ai fait, je m’attendais à ce qu’il me baise en levrette mais au lieu de cela, il a mis 4 doigts dans mon trou du cul puis sa main entière pour me fister. Là, je sentis des spasmes d’excitation dans tout mon corps. Il retira sa main et mis sa bite dure dans mon trou du cul béant. Il a commencé à accélérer et je sentais ses couilles frapper mes fesses. Je savais qu’il était sur le point de jouir, il s’est retiré et s’est masturbé devant ma bouche grande ouverte. Quelques instants plus tard je sentis son foutre chaud sur mon visage et remplir ma bouche dans de grands spasmes.

J’ai léché sa bite pour la nettoyer des dernières goutes, je faisais de même avec le foutre que j’avais sur le visage.

J’étais chaude comme de la braise, dommage que personne d’autre n’ai bravé le couvre-feu ce soir-là. Le routier devait dormir ou n’était pas intéressé.

Nous sommes retournés vers la voiture, le routier était là, la bite à la main. Il a du tout voir, et je ne pouvais pas repartir sans le soulager. Je me suis mise accroupie devant lui et il m’a enfoui sa bite toute entière dans la bouche. J’ai commencé à le pomper, j’ai senti sa bite palpiter et tout son foutre est venu maculer le fond de ma gorge. Il se retira et me remercia.

Nous avons repris la voiture et mon ami m’a déposé à la maison avant de repartir chez lui.

Se faire éjaculer au visage et arroser de pisse

Que c’est agréable de terminer une bonne baise par une éjac faciale. Mais c’est encore plus jouissif de continuer en se faisant arroser de bière chaude.

J’adore cette vidéo. Après avoir été baisée par 3 mecs, cette transsexuelle se prend de bonnes éjacs faciales avant de se faire copieusement pisser dessus. Regardez comment elle bouffe les couilles des mecs qui se branlent devant son visage. Et son regard de chienne soumise quand elle va recevoir de ses maitres du bon foutre chaud. Mais le bouquet final, c’est quand les mecs, à tour de rôle, lui pissent dans la bouche. Elle boit à la source et se délecte de chaque douche dorée, et cela se voit dans son regard.

Ces situations sont rares mais déjà arrivées lors de mes sorties nocturnes sur des parking, chiottes d’aire d’autoroute ou en forêt. Quand je réalise des plans abattage en hôtel, j’ai toujours un grand saladier au cas où un mec voudrait me pisser sur le visage ou dans la bouche.

Pour terminer, une petite histoire. J’étais en train de sucer un mec sur son canapé à l’heure de l’apéro. Au moment d’éjaculer il a pris une flûte à champagne et a déversé son sperme dedans. J’en bu un peu, puis il a continué à remplir la flûte de pisse. Ensuite il a débouché une bouteille de champagne et a terminé de remplir la flûte avec. Il m’avait préparé un cocktail « champagne-pipi » qui laissait présager une soirée pimentée.

Ma condition de Sissy soumise

Souvent, je m’habille en salope pour me faire chasser par des inconnus et servir de vide-couilles. J’aime me maquiller et m’épiler pour être une bonne sissy et être ainsi un objet de plaisir aux hommes. Et tout en étant utilisée et baisée bareback, j’aime être filmée et photographiée avec des webcams et vos smartphones.
J’aime être à genoux dans les cabines de gloryhole et fréquenter les parkings, les aires de repos et les sous-bois. D’autres nuits, j’invite les hommes à venir dans une chambre d’hôtel et à les vider de leur sperme les uns après les autres ou à plusieurs en même temps.
J’utilise des jouets énormes pour m’étirer les sphincters et je peux prendre n’importe quelle bite dans ma chatte anale. Je fais tout pour être une bonne sissy afin que les hommes se plaisent dans mon trou.
Être une salope dépravée et recevoir de multiples éjaculations de sperme chaud qui bave de ma chatte est un sentiment que je compare à un sentiment de totale soumission surtout quand je sens l’explosion d’un homme en moi, recouvrant mes entrailles de sperme. Sachant que la bite sans préservatif dans mon trou rempli de sperme l’a déjà été dans des culs remplis d’autres sissy baisée bareback n’est nullement ma préoccupation.
Une fois devenue accro au bareback, il n’y avait plus d’issue, j’acceptais ma condition de vide-couilles soumise dont le seul véritable but est de donner du plaisir à des inconnus, et il n’est pas étonnant que mon petit clitoris-girly soit flasque.

Coquine ou cochonne ?

Pour ceux qui me suivent ou me connaissent, vous n’êtes plus sans savoir que j’organise régulièrement des soirées ou je m’offre sans limite. Mes orifices ne servent qu’à vider vos couilles ou votre vessie, même si de temps en temps une main fouilleuse remplace votre queue.

Sur cette photo prise dans un hôtel parisien lors d’une soirée, vous me trouvez plutôt coquine ou cochonne ?

 

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs

Après la fermeture du Ciné-Nord en 2013 et du Beverley en 2019, l’Atlas est le dernier cinéma porno de Paris. Après cette pandémie, j’espère qu’il pourra ré-ouvrir car ses séances de l’après-midi y voient des hommes, la plupart maghrébins ou blacks qui viennent trouver ici un lieu de rencontres et de partage de plaisirs.

Ces dernières années les lieux de rencontres extérieurs pour travesties comme les bois de Boulogne et de Vincennes ou autres bois en banlieue parisienne deviennent de plus en plus risqués et désertés, alors que ce cinéma reste à mes yeux le seul endroit de débauche ou les travesties peuvent encore se lâcher sans retenue.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs.

Je prends une chambre au « GOLDHOTEL » boulevard de Clichy, ce qui à un double intérêt. Je peux aller à l’Atlas à 500 m directement vêtue en fille, et je peux ramener un ou plusieurs mecs dans ma chambre en sortant de l’Atlas. De plus il y a un parking souterrain à 500 m de là pour garer la voiture.

Samedi, début d’après-midi, je suis prête, maquillage léger et parfumée. Je porte une petite robe noire, moulante, ras du cou, dos nu, bas résille et talons pas trop hauts (sinon c’est trop casse gueule une fois à l’intérieur du ciné). Je prends ma pochette avec mon rouge à lèvres, des lingettes, du parfum, une fiole de poppers et 10€ pour l’entrée.

C’est toute excitée que je pénètre dans l’Atlas, et une fois en salle, je range mon petit string dans ma pochette pour que ma chatte anale soit en accès direct à toutes les queues.

Je commence à déambuler devant les hommes qui restent debout, appuyés au mur pour surveiller les rencontres et mater les caresses qui s’y échangent entre spectateurs. Je les frôle en suscitant leurs caresses au passage et les inciter à me suivre dans le halo que dégage mon parfum féminin.

Lorsque j’atteins les toilettes, j’aime m’adosser à la céramique sale. Je sniffe profondément du poppers, l’effet est presque instantané et une très forte chaleur envahie mon corps. Un homme ou deux, parfois trois, blacks et maghrébins m’y rejoignent. Je les regarde en passant ma langue sur mes lèvres écarlates, puis je remonte lentement ma robe noire, offrant ainsi à leurs regards avides mon clito de trav.

Je me retourne face au mur pour qu’ils découvrent entièrement mes fesses, comme une offrande pour leurs mains agiles qui s’empressent de se poser sur mon corps ainsi exposé et offert. Des doigts se glissent alors entre mes lobes fessiers en s’immisçant au cœur de mon intimité. Les doigts s’agitent, tournent et distendent doucement mes sphincters, tandis que d’autres mains se sont glissées vers ma poitrine, titillant mes seins, pinçant et étirant mes tétons, en faisant monter lentement mon excitation. Je commence à gémir doucement, une main se pose sur mon cou et attire mon visage vers celui d’un beau magrébin qui pose ses lèvres sur les miennes en glissant sa langue agile au fond de ma bouche, s’entortillant autour de la mienne dans un baiser torride. J’écarte au maximum mes cuisses, dégageant ainsi mon anus pour l’offrir à la première bite qui me pénètrera. Je sens des mains se poser sur mes hanches, et le gland humide d’une bite que je sens bien dressée, se présenter alors à l’entrée de mon trou d’amour. Je me penche un peu plus en arrière et m’empale alors sur le sexe qui glisse en moi avec force en me faisant pousser un petit cri de plaisir, que la bouche de l’homme qui m’enlace fait aussitôt taire. L’homme qui m’a pénétrée se met alors à me limer d’abord lentement, puis il accélère ses mouvements m’arrachant des petits râles de plaisir, tandis que le second m’embrasse à pleine bouche et que les doigts du troisième tordent violemment mes tétons. Je m’arc-boute contre le mur carrelé, mes mains posées à plat devant moi, et je m’abandonne à l’excitation qui est en train de me submerger, mes petits râles deviennent une longue plainte lorsque les doigts de celui qui m’encule se posent sur mon petit clito tout flasque en le caressant jusqu’à mon râle de plaisir accompagnant un filet de mon liquide séminal, et alors que je sens le foutre de l’homme couler de mes fesses sur mes cuisses et mes bas.

Je reprends petit à petit mes esprits. Je me retourne vers eux, mon enculeur avec la bite encore humide et dressée, et les deux autres la bite sortie, et se caressant face à moi. Je me baisse vers le plus proche et enfourne entre mes lèvres sa belle bite décalottée épaisse et longue ; j’ai failli m’étouffer. Il pose se mains sur ma tête pour imprimer le rythme de la fellation qui l’amène très vite à la jouissance, projetant de longs jets de foutre tiède au fond de ma bouche, son foutre est un peu amer, mais j’adore. Je me tourne alors vers le troisième au moment où sa bite caressée projette tout son foutre sur mon visage.

Je me relève, le visage souillé, les fesses humides et ma bouche encore pleine de sperme, je redescends ma jupe, réajuste mon top, je leur murmure « Merci ! » en leur lançant un baiser, puis je me faufile hors des toilettes pour rejoindre la salle du haut et peut-être en exciter d’autres tout aussi bien montés et désireux de profiter de mes orifices intimes encore tout humides. Je m’assois au dernier rang, contre le mur et déjà un beau black tenant son long sexe à la main vient s’asseoir à côté de moi. Je glisse ma main pour le caresser tandis que lui glisse son bras autour de mes épaules et posant sa main sur mon cou m’oblige à me pencher vers son superbe engin. J’ai beau écarter mes lèvres, j’en reste au gland qui emplit ma bouche. Lui, appuie sur ma tête pour que j’enfonce ma bouche sur son pieu dressé, mais son gland bute sur mon palais et je manque de déglutir, tandis que ma langue est coincée par son gland qui ramone l’intérieur de mes joues. Quelques allers et retours de mes lèvres sur le haut de sa hampe suffisent pour que je sente son foutre exploser dans ma bouche et ma gorge. Dégageant alors mes lèvres de son sexe, je reçois ses dernières éjaculations en plein visage. J’avale avec délice son nectar et pose mes lèvres encore souillées de son sperme sur les siennes. Il me glisse sa langue dans ma bouche et répond à mon baiser.

Puis il se lève et se penchant vers moi et me dit « Merci ma salope, c’était super. Tu as aimé ? »

Je lui réponds « J’ai adoré, mec »

Un black qui venait d’assister à cette pipe royale s’approche et s’assoie à côté de moi. Il me tire vers lui pour que je m’empale sur sa grosse queue. Je commence à aller et venir sur ce pieux jusqu’à ce qu’il me plaque contre lui et m’inonde le cul de sa semence, se lève et se tire sans un mot.

Peu de temps après, un homme blanc plus âgé vient s’assoir à coté de moi. Il me dit « Je t’ai vu dans les chiottes petite pute, ta chatte c’est un autoroute »

Je lui réponds « c’est à cause de vous, c’est de votre faute »

Il m’agenouille sur un fauteuil à côté de lui, robe relevée, fesses bien en face de lui. Il commence par me caresser le cul et sort d’une de ses poches une bouteille de gel et me badigeonne bien le cul.

Je reprends ma fiole de poppers et la sniffe profondément. L’homme entreprend de me fister. Je tortille mes lobes fessiers sous les caresses de plus en plus pénétrantes de cet homme. Sa main s’enfonce tout doucement dans mon trou d’amour. J’émets de petits râles de plaisir. Sa main ressort doucement et replonge aussitôt. Le va et vient tantôt poing fermé, tantôt poing ouvert, s’intensifie sans violence, un filet de liquide séminal s’échappe de mon clito et mes râles se font de plus en plus entendre.

L’homme retire doucement sa main et m’aide à me relever. Du monde s’était agglutiné autour de nous et venait d’assister à ce fist. Je reconnais mon beau magrébin des toilettes, je lui prends la main et l’entraine vers le bout du rang où je m’agenouille sur un fauteuil, ma robe relevée et lui tournant le dos avec les mains sur le dossier, il se colle à moi et je sens sa bite me pénétrer aussitôt, m’arrachant une plainte tandis qu’il commence à me pilonner vigoureusement. Cela dure de longues minutes, et je commence à sentir l’excitation monter au fur et à mesure de son enculage rythmé. Ses mains sur mes hanches serrent très fort ma taille et je le sens se projeter en avant, tandis que des saccades de son généreux foutre inondent mon cul généreusement offert. Il se dégage lentement, laissant son engin à moitié enfourné dans mon anus, je serre mes sphincters pour le retenir en moi et il se colle à moi, m’enlaçant de ses bras musclés.

Il me murmure à l’oreille « Tu es une bonne kahba, j’ai encore envie de toi »

Je retourne à demi mon visage vers lui et je lui dis « Salam Aleikoum » d’une voix lascive.

Il me regarde et me dit « Tu aimes les Arabes ? »

Je lui réponds « Oh oui, mec, ce sont eux qui me baisent le mieux »

Alors il sourit et je sens sa bite se ré-enfoncer lentement en moi, je feule de plaisir et je lui dis « Je suis ta kahba, baises moi encore plus fort »

Alors il écarte le black qui est en train de sucer mes tétons, et me les prends entre ses doigts, les pinçant très fortement « Oh Ouiiii, pinces les forts, j’adore ça »

En même temps sa bite est redevenue dure, et il s’enfonce d’un coup de reins me faisant pousser un petit gémissement, et s’appuyant sur moi, il me fait courber sur le dossier du fauteuil et me lime maintenant très rapidement, ses coups de butoir me rendent folle d’excitation, je sens que je bascule dans une jouissance totale et tandis que mon clito crache un filet de liquide séminal, faisant montrer que je suis en train de jouir de mon trou d’amour, lui continue de me labourer jusqu’à ce qu’il explose à nouveau en moi. Il s’affale sur moi en jouissant et je sens sa semence déborder de mon cul ouvert et couler sur mes bas. Je m’effondre dans le fauteuil et il vient me prendre dans ses bras en m’embrassant goulûment. Je prends sa langue et colle mes lèvres aux siennes, il pose sa tête contre mon front en me disant essoufflé « Tu es à moi, ma kahba, je t’ai fécondé de mon sperme, et je te veux pour moi, tu vas m’obéir, car je suis devenu ton Maître » Je le regarde dans les yeux en murmurant « Oui Maitre, je suis ta kahba désormais, et j’obéirai à tous tes désirs et à tous tes ordres ».

Nous sommes sortis ensemble du cinéma et nous sommes allé tous les deux passer un moment dans ma chambre d’hôtel.

Salope à pisse et à jus

Un jour je suis contactée par un homme qui me dit être fan des jeux humides. Il me dit aimer pisser sur une bonne salope mais son kiff est de pisser dans une bonne salope, ce qui m’excite au plus haut point.

Après quelques échanges avec lui, remarquant qu’il était bien pervers et vicieux et surtout qu’il avait l’air fiable, nous convenons d’un rendez-vous chez lui à l’heure de l’apéro.

Pour cette soirée arrosée chez Denis, je me suis préparée comme ceci : Un string et un soutien-gorge rouge avec une paire de bas auto-fixant couleur chair. Tout ça sous une petite robe tube noire avec une large ceinture à la taille, perruque blonde et mes sandales beige clair à hauts talons.

Je reçois un SMS : « Alors tu arrives, salope ? »

Je réponds : « je pars »

J’enfile un manteau, et après une petite heure de trajet, j’arrive devant chez Denis ; Il habite dans un joli pavillon en banlieue parisienne. Je me gare, je sonne et Denis m’ouvre la porte.

Perchée sur mes hauts talons, j’apparais bien offerte à son regard. Denis me fait la bise et m’annonce que je vais avoir une surprise.

Humm, j’adore les surprises.

Denis m’invite à le suivre au salon. Un de ses potes est là, une pinte de bière posée devant lui sur la table du salon. Dans ma tête je me réjouis déjà, deux mecs pervers pour moi seule ce soir.

Denis m’invite à me mettre à l’aise, prends mon manteau et me propose un apéritif.

Je me retrouve assise à côté de son pote à siroter mon apéritif, et Denis assis sur un fauteuil à notre droite, lui aussi une pinte de bière devant lui.

J’en profite pour vérifier, en passant une main entre les jambes du pote de Denis, si je lui fais de l’effet et je crois que oui. Il sorti sa queue de son pantalon et m’attrapa la tête pour que je commence à le sucer. Son membre grossit très vite et quel plaisir de sentir cette queue m’envahir la bouche.

Denis ne resta pas insensible à ce spectacle.

Je me mis à genoux toujours en train de sucer son pote pendant qu’il remontait ma robe. Il enlève le Rosebud XL de mon cul et le remplace par sa queue déjà très dure. J’étais bien prise des deux côtés. Après quelques va et vient en douceur pour bien m’ouvrir la chatte anale, Denis retire sa queue et la remplace par un gros plug avec une ouverture centrale pour garder ma chatte bien dilatée. Je sens au moins 3 ou 4 doigts tester mon trou ainsi mis à sa disposition.

Le pote de Denis ôte ma bouche goulue de son membre pour ne pas exploser tout de suite. Nous continuons notre apéritif et Denis retire ma robe. Je me retrouve ainsi uniquement en sous-vêtements.

J’étais déjà bien excitée et, ils m’ont attirée vers le fond de la salle de bain. Je me retrouve à 4 pattes dans une grande douche à l’italienne qui laisse beaucoup de place pour des jeux humides.

« Tu aimes la queue salope ? Tu sais que tu es là pour qu’on te remplisse à la pisse et au jus »

Denis remplace son pote dans ma bouche et commence quelques va et vient. J’ai déjà la bouche pleine et il continue à s’enfoncer au fond de ma gorge, me faisant déglutir et baver de plus en plus. J’évite un haut le cœur, crache de la bave gluante qui contribue à les exciter encore plus tous les deux.

« Montre un peu ton cul !!! »

Denis enfonce un entonnoir dans le trou central du plug anal. Il demande à son pote s’il veut commencer à me remplir à la pisse. Celui-ci propose à Denis de démarrer pendant que je me fais baiser la bouche par lui.

Denis lâche deux ou trois petits jets chauds et je sens que l’entonnoir commence à faire son travail, la pisse s’écoule à l’intérieur de mon cul.

« Humm, j’adore ça. »

Denis invite son pote à pisser à son tour en lui disant qu’il veut garder sa pisse pour me gaver ma gueule de pute.

Son pote ne se fait pas prier et commence à remplir l’entonnoir, il laisse le temps que toute sa pisse s’écoule à l’intérieur de ma chatte anale puis recommence. Je sens que mon cul se remplit avec toute la pisse qui y entre.

Une fois fini, il retire l’entonnoir et le plug tunnel et je serre fortement les fesses pour retenir le maximum de pisse à l’intérieur.

Je suis complètement excitée par cette situation, moi en levrette sur le carrelage de la douche remplie de pisse avec ces deux mecs pervers qui veulent me gaver. Je me suis assise dans la douche, j’en veux encore plus, et je supplie Denis de me remplir la gorge de pisse. Il ne se fait pas prier et lâche quelques jets de pisse bien contrôlés pour que je puisse tout avaler. Il laisse la place à son pote qui dirige sa queue vers ma bouche de salope et lâche aussi un grand jet de pisse. Je n’arrive pas à tout avaler, ça coule sur mes sous-vêtements. Sa pisse a une odeur plus forte, ça m’excite encore plus.

A tour de rôle, ils me pissent à volonté dans la bouche ou dans la gorge. J’évite plusieurs fois d’avaler de travers et je me sens mentalement comme une pute souillée à la pisse, remplie des deux côtés par leur pisse chaude.

Une fois qu’ils ont bien vidé leur vessie, le pote de Denis me dit de me mettre à 4 pattes et qu’il va me laisser me vider le cul dans un saladier. Je sens plusieurs jets chauds sortir de mon cul et s’écraser au fond du saladier. Ensuite Denis prend le saladier et me le vide sur le visage. J’ouvre grand la bouche et lape pour en boire le maximum.

Mes deux amants étaient très excités par cette situation. Ils commencent ainsi à tour de rôle à enfoncer leur queue dans ma gorge puis se masturbent chacun juste devant ma bouche grande ouverte et langue tirée. Je vois leur queue grossir à nouveau et leur gland se gonfler de sang. Denis vient le premier et lâche son jus avec deux petits jets qui atterrissent directement dans ma bouche avant de finir de frotter et nettoyer son gland sur mon visage. Son pote vient terminer par une belle éjac faciale avec un jus plus abondant et épais.

Après, j’attends dans un coin de la salle de bain couverte de pisse et de jus que mes deux amants prennent leur douche.

Avant mon tour pour la douche, ils avaient encore envie de pisser. Normal avec les bières bues tout à l’heure. Je me suis mise accroupie dans la douche et chacun à leur tour ils m’ont encore pissé dans la bouche.

Cette soirée s’est poursuivie en continuant de leur faire plaisir avec ma bouche et ma chatte au fil de leur envies pendant le repas.

Après cette soirée je suis repartie uniquement vêtue de ma robe tube avec mes affaires souillées dans un sac. Pendant le trajet, en me remémorant cette soirée, mon bas ventre me chauffait encore et ma chatte mouillait. Je fais donc un petit détour par un parking de drague connu de la région.