Aujourd’hui, ma vie de salope

Depuis l’épidémie de covid, je suis partie m’installer dans une petite ville de Bourgogne, tout en gardant un lien fort avec Paris.

Dès lors, mon activité de salope est devenue assez souvent monotone. Les quelques pêches, ici et là, ne me rendent pas grand-chose, je suis devenue une intermittente du plaisir en quelque sorte, au coup par coup la plupart du temps.

J’ai un peu de regrets de cette vie Parisienne de l’avant covid ou l’on s’usait à avaler, recevoir, et avaler encore. Quand on avait avalé cinq ou six fois dans la journée, que l’on s’était prise des queues entre et après, on se retrouvait à reprendre souffle, reprendre forme, la bouche encore mouillée et la chatte toute dégoulinante de la dernière dose de sperme reçue.

Pourtant, je sors assez souvent en fille, mais je dois admettre que c’est souvent entre chien et loup et que ma destination reste souvent le bois ou le parking. Mais la plupart du temps, les rares voyeurs me lorgnent, me donnent parfois leur sexe à sucer. Plaisir pris, ils repartent. Parfois, je les revois un autre jour, parfois pas.

Pour éteindre mon excitation, je suis obligée de me caresser doucement seins et chatte. Mais dehors, il y a toujours la caresse de l’air, le bruit des autos, que sais-je encore. Et quand je rentre, c’est toujours la nuit, et de plus à ces heures, la ville est quasi déserte, comme abandonnée. Ma seule compagnie reste le bruit de mes talons sur le macadam.

Ma condition de Sissy soumise

Souvent, je m’habille en salope pour me faire chasser par des inconnus et servir de vide-couilles. J’aime me maquiller et m’épiler pour être une bonne sissy et être ainsi un objet de plaisir aux hommes. Et tout en étant utilisée et baisée bareback, j’aime être filmée et photographiée avec des webcams et vos smartphones.
J’aime être à genoux dans les cabines de gloryhole et fréquenter les parkings, les aires de repos et les sous-bois. D’autres nuits, j’invite les hommes à venir dans une chambre d’hôtel et à les vider de leur sperme les uns après les autres ou à plusieurs en même temps.
J’utilise des jouets énormes pour m’étirer les sphincters et je peux prendre n’importe quelle bite dans ma chatte anale. Je fais tout pour être une bonne sissy afin que les hommes se plaisent dans mon trou.
Être une salope dépravée et recevoir de multiples éjaculations de sperme chaud qui bave de ma chatte est un sentiment que je compare à un sentiment de totale soumission surtout quand je sens l’explosion d’un homme en moi, recouvrant mes entrailles de sperme. Sachant que la bite sans préservatif dans mon trou rempli de sperme l’a déjà été dans des culs remplis d’autres sissy baisée bareback n’est nullement ma préoccupation.
Une fois devenue accro au bareback, il n’y avait plus d’issue, j’acceptais ma condition de vide-couilles soumise dont le seul véritable but est de donner du plaisir à des inconnus, et il n’est pas étonnant que mon petit clitoris-girly soit flasque.

Coquine ou cochonne ?

Pour ceux qui me suivent ou me connaissent, vous n’êtes plus sans savoir que j’organise régulièrement des soirées ou je m’offre sans limite. Mes orifices ne servent qu’à vider vos couilles ou votre vessie, même si de temps en temps une main fouilleuse remplace votre queue.

Sur cette photo prise dans un hôtel parisien lors d’une soirée, vous me trouvez plutôt coquine ou cochonne ?