Chienne d’autoroute

La semaine dernière, j’ai répondu à un appel sur mon téléphone :

« Bonsoir, dit la voix d’un homme, je souhaite parler à Waloou »

« C’est moi Waloou » répondis-je.

« Je suis Nadir, je suis chauffeur poids lourd. J’ai vu ton numéro sur Wannonce. Je serai ce soir sur l’aire de Vémars Est sur l’autoroute A1. »

Un silence se passe, puis le gars enchaîne :

« Viens à minuit sucer ma bite, espèce de pute »

Je lui répondis :

« Ok, je serai là »

« Ok, salope ! Pas de soucis pour moi. Je dois rester là toute la nuit et j’ai envie que tu me suces, salope, et vide mes couilles pour passer une bonne nuit de sommeil »

Hummmm, le type est chaud comme la braise et ça m’excite. La tentation de sucer la bite de ce routier est si grande, que je me suis bien préparée. J’ai mis des bas résille, un porte-jarretelles, un petit pull pour luter contre la fraicheur de l’automne, un string rouge, des longs gants noirs, une mini-jupe noire, et des bottines à talons. Un beau rouge à lèvres bien marqué, un collier de chienne, et une perruque rousse viennent finir ma tenue de soirée.

Je me suis déplacé vers cette aire d’autoroute que je connais bien, Nadir m’ayant envoyé entre temps les infos pour se retrouver. Lors de mon arrivée sur l’aire d’autoroute, j’ai vu parmi tous les camions garés, la semi-remorque de Nadir qui était là au bout du parking, parquée sous un lampadaire.

Je me suis garée et me suis dirigée vers son camion, la chatte anale trempée d’excitation. Le rideau de la cabine du côté conducteur était fermé, alors j’ai fait le tour. Il a entendu mes talons claquer sur le sol, car il a ouvert la fenêtre et m’a regardé d’un air arrogant.

« T’es une bonne pute. Déplace-toi un peu, sous le lampadaire, que je vois à quoi tu ressembles, salope »

Je me suis exécutée. Il m’a ordonné depuis la cabine à me retourner, me pencher en avant, montrer ma chatte anale. Il m’a ordonné de me retourner et lui montrer mon clito. Le parking était assez fréquenté, mais assez calme vu l’heure tardive. Après m’avoir forcée à m’exhiber dans plusieurs positions indécentes, il est descendu de sa cabine pour me rejoindre. Le type devait avoir la quarantaine, ni mince, ni gros, il avait déjà sa bite raide dans la main et était sur le point de se branler.

« Bonjour Nadir, je suis ta chienne pour te vider les couilles » dis-je.

« Tu as une très belle queue et je veux te sucer ! »

Nous avons fait le tour de l’autre côté du camion afin de nous mettre dans la pénombre.

« Ta gueule salope ! A genoux, salope ! » répondit Nadir.

Je me mis à genou. Nadir m’attrapa fermement la tête et me dit :

« Tu ne parles pas ! »

Il m’attira la tête contre sa queue. Et me laissa goûter sa belle queue avec ma bouche humide, et puis il a poussé ma tête lentement jusqu’à ce que ma bouche enfourne son membre épais et succulent. Nadir était expérimenté et m’a démonté la bouche avec sa queue dure sans jouir. Pendant de longues minutes, il m’a limé la bouche très lentement, puis plus vite et à nouveau plus lentement. Il s’enfonçait parfois très profond et me gardait la tête contre sa queue pendant quelques secondes. La salive dégoulinait de ma bouche, à deux doigts d’étouffer.

« Alors petite pute, tu aimes ma queue ! tu aimes la sentir dans ta bouche de chiennasse ! »

Il me baisait maintenant la bouche avec sa queue dure et brutale. Ses couilles frappaient mon menton. J’avais de la peine à suivre son énergie et les larmes me coulaient. Il avait vraiment envie de me défoncer la bouche à grands coups de reins. Puis, sans doute avant d’exploser dans ma bouche. Il s’est retiré. Il m’a penché en avant pendant que je reprenais mon souffle, puis il m’a mis direct ses deux premiers, puis trois, puis quatre doigts dans ma chatte, et il a commencé à écarter mes entrailles. J’étais contente car au début je devrais juste le sucer, mais ma chatte dégoulinait de plaisir. Ses doigts perforaient mon trou en écartant les doigts comme s’il s’agissait d’un spéculum. Ça semblait plaire à Nadir. Il grognait de plaisir et ma bouche était toute gluante car il avait déjà lâché un peu de liquide pré-éjaculatoire dans ma gorge, et j’avais le goût du foutre dans mon cou et la senteur de sa semence sur mes lèvres. Pendant qu’il s’amusait encore avec ma chatte, j’ai commencé à lui lécher les couilles en cambrant encore plus mon cul comme une salope soumise. Soudain, j’ai entendu une porte de voiture se refermer et quelqu’un venir vers nous.

« Bouge pas sale pute ! » m’ordonna Nadir en gardant ses quatre doigts enfoncés dans mon anus dilaté et trempé. J’ai senti le nouveau type arriver dans mon dos. Je n’étais pas tranquille.

Nadir lui a dit : « Salut ».

L’autre a dû répondre d’un signe de la main, car je ne l’ai pas entendu.

« Si tu veux profiter de cette putain, tu peux y aller. Elle est bonne » Dit Nadir.

Alors le type que je ne voyais pas s’est penché derrière moi et m’a attrapé les couilles, puis mon clito qu’il a tiré vers l’arrière. Nadir continuait à me torturer la chatte anale. Je voulais enlever les mains du nouveau type, mais Nadir sortit ses doigts de ma chatte brutalement et attrapa à nouveau ma tête et se remit à me baiser la bouche rapidement et profondément. A quatre pattes, cambrée en arrière, la bouche encombrée par la queue de Nadir, j’étais à la merci du type qui malaxait mes couilles et tirait de plus en plus fort sur mon clito. Puis l’homme derrière moi a dit quelque chose que je n’ai pas compris. Nadir a ri.

« Si tu veux baiser cette traînée, c’est un vrai garage à bites »

J’avais compris, le type lui avait demandé l’autorisation de me baiser. J’ai entendu que le type derrière moi crachait sur ma fente pour la lubrifier, et m’enfila d’un seul coup et profondément. Le gars n’avait pas une longue queue, elle était large, je sentais les tissus de ma chatte bien tendus, mais il ne me transperçait pas trop loin.

« Alors la petite pute aime cette situation, hein ! » me dit Nadir en continuant à pilonner ma bouche. L’autre cochon faisait de fortes poussées brutales et régulières tout en claquant mes fesses avec ses mains.

« Vas-y, baise-moi cette chienne perverse ! » chuchotait Nadir en se penchant en avant.

Je soupçonne qu’il avait une vue imprenable sur mes chairs défoncées. Il voyait la queue de l’autre inconnu limant ma chatte à grands coups d’aller-retour. J’ai commencé à haleter de plaisir. Ma bouche et ma chatte étaient remplis. Le souffle coupé, la queue épaisse et chaude de Nadir me choquait le palais. Je suçais avec application et goulûment. Le type derrière moi avait complètement pris possession de mes entrailles. Puis sans doute pour éviter de jouir, Nadir est ressorti de ma bouche et m’a donné une gifle en m’ordonnant de sucer ses couilles. L’autre a soudain poussé de toutes ses forces en me tirant le bassin vers lui avec ses deux mains et a gueulé pendant de longues secondes pendant qu’il éjaculait par saccades dans ma chatte. Il semblait avoir des litres de foutre, car il ne s’arrêtait pas de gémir. Puis il a relâché son étreinte et a ressorti son marteau-piqueur de mes entrailles.

« Viens te nettoyer la bite dans la bouche de cette pute » dit Nadir qui bandait toujours comme un taureau.

Nadir se mit de côté et le type inconnu prit sa place. Sa queue sentait la mouille de ma chatte. Sa queue était moins longue que celle de Nadir, mais bien large. Je comprenais mieux pourquoi je l’avais bien sentie écarter ma chatte. Je le pris en bouche et nettoyé sa queue délicatement avec ma langue. Soigneusement, j’avalais les dernières gouttes de son foutre. Sa queue était ramollie. Il se retira et laissa la place à Nadir qui bandait toujours comme un taureau. Cette situation semblait l’exciter énormément. Je sentis que l’autre resta à regarder comment allait se conclure le plaisir de Nadir.

« J’ai partagé ma pute, parce que je sais qu’elle aime, ça la salope ! » dit Nadir en remplissant à nouveau ma bouche avec sa queue et en se remettant à me la limer avec vigueur en me tenant la tête. A quatre pattes, ma chatte dégoulinait du foutre du type qui m’avait enculé. Cette sensation de trou bien dilaté m’excitait encore plus, et je sentis un petit air frais me rafraîchir la chatte. Soudain, je sentis la queue de Nadir pousser profondément dans mon cou. J’étais en gorge profonde. Les larmes me coulaient et j’allais déglutir. Il y avait bien une demi-heure que je suçais à fond. Je me suis préparée à recevoir le foutre au fond de ma gorge, mais Nadir se retira et retint ma tête avant de haleter bruyamment en pulvérisant d’énormes giclées de foutre directement dans ma bouche que j’avais laissée ouverte. Nadir a tenu ma tête pendant quelques minutes. Je me contentais de le sucer tendrement avec des petits coups de langue. L’autre en profita pour partir. Il s’était masturbé en regardant jouir Nadir. Il avait éjaculé une deuxième fois sur mes fesses sans que je le remarque. La queue de Nadir devint flasque. Il me lâcha la tête et me dit :

« Tu es vraiment une putain de chienne bien excitée et docile, toi ! »

Je lui demandai :

« Le type qui est venu me limer la chatte, il était prévu ? »

« Oui, je l’avoue. Je lui ai donné rendez-vous même si j’ignorais s’il allait venir. Tu as aimé salope, non ? »

« J’ai eu un peu peur mais l’excitation était si présente que je me suis laissé faire en pute docile »

Nadir remonta son pantalon qui était resté sur ses chevilles et rangea sa queue sans répondre.

« On peut garder contact, je te recontacterai sûrement lors d’un prochain passage, petite pute ! »

Nadir regagna son camion. Moi, j’avais les jambes qui tremblaient et ma chatte mouillée de plaisir en regagnant ma voiture. J’avais passé au moins 1 heure à quatre pattes, la croupe offerte.

Drague nocturne sur un parking d’autoroute

En déplacement dans une ville de province, comme ça m’arrive régulièrement, j’aime en profiter pour faire quelques escapades sexuelles.

Lundi dernier, j’étais dans un état second, excitée folle de désir, j’avais envie d’aller faire la pute sur un parking de routiers.

Après avoir pris une bonne douche dans ma chambre d’hôtel, j’enfilais des bas rose, une culotte rose, une robe moulante noire, mes bottines beiges à talon, une perruque brune bien ajustée et un petit rouge à lèvres. J’étais enfin prête et désirable (surtout très excitée).

Je prenais ainsi la route en direction d’une aire de repos connue de la région comme étant un lieu où il pouvait y avoir de l’action.

Il était 21h00, il commençait à faire nuit, le temps était calme. 4 à 5 camions étaient garés, 1 voiture genre break familial apparemment vide.

Je me garais, éteint mes feux et patientais un instant. Dans le noir vers un talus, j’aperçus une lumière caractéristique d’une cigarette qu’on allume, signe d’une présence.

Je me disais qu’il est temps de descendre, on verra bien ce qu’il s’y passe. Je sortais donc avec mon p’tit sac à main (avec rouge à lèvre en réserve, gel, préservatifs en quantité, et m’avançais vers le talus, en direction du point lumineux. Là se trouvait un gars, debout faisant mine de pisser, je ne le voyais pas très bien car il faisait sombre. Je m’avançais, il remarqua ma présence et se tourna vers moi, la bite à la main. Je lançais la conversation :

Moi : « Bonsoir »

Lui : « Salut, tu veux me sucer ? »

Je ne me faisais pas prier et m’agenouillais à bonne hauteur, le mec doit avoir 40 ans, style père de famille. Je pris son sexe en bouche, il était semi mou, mais avec mes premiers coups de langue je le fis grossir, il atteignait vite une taille honorable, et ma langue se délectait de son argument. Ce monsieur a l’air d’apprécier, il me prit la tête avec ses mains et m’enfonça de plus en plus sa bite, il poussait de petits râles de plaisir.

D’un coup, il me dit : « Je vais juter »

Je le suçais encore plus fort tout en le branlant, il explosa son foutre dans ma bouche, une sacrée dose, il devait avoir les couilles pleines depuis un moment, il poussa un râle de plaisir, moi je pris soin de bien la nettoyer jusqu’à la dernière goutte.

Il remontait son slip rapido et se cassait sans rien dire.

Je suis satisfaite de ma première dose.

Je retournais en direction de ma voiture et m’aperçoit qu’une lumière dans la cabine d’un camion est allumée et la porte à moitié ouverte. Je m’approchais du camion, et je vis un routier en train de se branler, avec un regard qui en disait long sur son envie de sexe. Je m’approchais, il me fit signe de monter ce que je fis sans me faire prier.

On n’a pas échangé un mot. Le routier était jeune, moins de 35 ans avec des origines maghrébines, en tout cas, sa bite dressée était monstrueuse, je dirai un bon 22 cm mais surtout très large, sa main ne pouvait entourer entièrement sa bite. Une fois à ses côtés, il me prit le cou et me dirigea vers sa queue qu’il me força à gober. Elle était énorme, vraiment, son gland me remplissait la bouche et j’ai du mal à sucer ne serait-ce que la moitié de l’engin. Le gars m’a l’air très actif, vicieux et directif. Il me retourna, remonta ma robe, et enleva ma petite culotte. Il m’allongea sur le ventre et commença à me bouffer le cul d’une façon très violente, sa langue est musclée et j’ai l’impression qu’il me pénètre… J’étais aux anges… Il me retourna, me fait comprendre que je dois le sucer de nouveau puis me replaque sur le ventre. Là, il passa progressivement plusieurs doigts dans mon cul, puis je senti son gland, énorme, sur ma rondelle… J’étais super excitée… Il faisait pression avec son gland… Je serrais les dents et d’un coup de rein brutal, il m’enfourna son pieu à fond tout en me tenant les bras, j’hurlais de plaisir. Je n’ai pas le temps de souffler qu’il débute alors un va et vient d’une énergie bestiale, ma chatte est complètement dilatée, il s’amuse à ressortir et rentrer sa bite sans la toucher, je suis complètement à sa merci, ma chatte doit être béante… Il s’assied tout en me prenant la taille et me forçai à m’assoir sur sa bite… Putain je la sentais encore plus dans cette position, et  là, en me tenant par la taille, il me souleva et me fait assoir sur son pieu pendant 10 bonnes minutes. D’un coup, il hurla et je sentis alors sa semence me remplir littéralement la chatte.

Après avoir repris mes esprits, je réajustais mes vêtements et sortis de sa cabine et me redirigea vers les toilettes dans la pénombre. En marchant, je sentais son sperme qui coulait dans ma culotte et que mon trou était bien dilaté.

A peine arrivée au niveau des toilettes, j’entendis une portière claquée et un homme se dirigeait vers moi. Je vais dans les pissotières, et je fais semblant de pisser et sentis l’homme s’approcher et se mettre à côté de moi et faire aussi semblant d’uriner. Ses yeux étaient fixés sur mon clito et les miens sur sa bite.

Il me sourit et me demande : « On va dans les toilettes on sera tranquille ».

Je lui réponds : « Ok »

A l’instant où il ferma le verrou il se tourna et m’embrassa avec fougue. Il se frottait contre moi en me tripotant les fesses sous ma robe.

Il me dit : « Tu me suces »

Je souris et je le caressais avec ma main. Il bandait comme un taureau.

Il continuait en me disant : « Tu es une bonne cochonne »

Excitée, je m’accroupis et desserra la ceinture de cet inconnu et ouvrit sa braguette. Je voyais maintenant son sexe bien dur sous son caleçon, cette vision était magnifique. Je baissais son caleçon et son membre apparut droit comme un pic. Je le tenais dans ma main et déjà il frissonnait de plaisir, une goutte de jus sort du bout tout violet. Je le lèche en le regardant pour l’exciter. Son visage montre très nettement à quel point il est excité ce qui m’excite encore plus. Son sexe était un peu moins long que le sexe du routier de tout à l’heure mais il était bien dur et son gland ruisselait de jus. Je l’introduisis dans ma bouche et frénétiquement je le suçais. Pendant 10 min je léchais ce gland, sa bite et ses couilles en n’arrêtant pas de le masturber fortement. Il me tenait la tête de temps en temps et me baisait la bouche.

Enfin il m’arrêta et me dit : « Doucement ou je vais jouir trop vite »

Il me tourna et commença à frotter son sexe contre mes fesses tout en m’embrassant dans le cou.

Il remonta ma robe et enleva ma culotte toute mouillée d’excitation et de foutre.

Il me dit : « Tu es une belle salope toi ». Ces mots m’excitaient encore plus. Il me demanda de me pencher. Il s’accroupit et sans ménagement il écarta mes fesses et lécha du bout de sa langue mon intimité.

Je gémis de plaisir, un deuxième anulingus, que c’est bon… A présent il essayait de pénétrer sa langue dans ma chatte. C’est alors que quelqu’un frappa à la porte.

Nous stoppions tout bruit quand une voix nous dit : « Laisse-moi entrer je veux participer »

L’homme me regarda d’un air interrogatif.

Je lui dis : « Si tu veux, moi ça ne me dérange pas, au contraire ».

L’homme va près de la porte et l’ouvre. Derrière un gars de type magrébin sourit et dit : « J’ai entendu des gémissements je peux participer ».

L’homme avec moi répond : « Pas de souci on a de l’avance ».

J’étais debout quand le rebeu s’approcha et me tâta les fesses.

Il me dit : « T’as un bon fessier bien large de kahba, c’est la première fois que je te vois ici »

Je sens un de ses doigts rentrer dans mon trou.

Le premier homme dit : « J’étais en train de lui bouffer le cul »

Le deuxième : « Bien, elle va me sucer » en parlant de moi.

Sans attendre je me mis à quatre pattes. Le rebeu descendit son pantalon et me tendit son sexe bronzé et très poilu. Je sens le premier continuer de me préparer. Le plaisir en moi est au sommet. D’un côté une bite plutôt grosse remplit ma bouche de de l’autre une langue experte me lèche la chatte.

Je gémis sans m’en rendre compte et ce qui m’excite encore plus c’est plusieurs hommes.

Je sens maintenant deux doigts me chatouiller. Le premier homme humidifie de sa salive mon trou et fait maintenant aller et venir trois doigts dans ma chatte. Le rebeu lui n’arrête pas de me baiser la bouche en me traitant de salope. Il introduit tellement son sexe dans ma bouche que plusieurs fois je dois le repousser pour ne pas vomir. Le premier homme a mis sa main entière dans ma chatte et fait remarquer au rebeu que mon trou est maintenant bien ouvert. Il retire sa main et la remplace rapidement par sa queue.

Mon plaisir est au maximum, être prise des deux côtés.

Malheureusement il jouit en quelques secondes me laissant sur ma faim. Il s’excuse et se réenfroque en un éclair et sort des toilettes.

Le rebeu dit : « A mon tour ».

Il me retourna et d’un coup sec introduit sa queue. C’était trop bon, je ferme les yeux et me laisse aller au plaisir. Sa queue entre brusquement en moi et progressivement je jouis. Je ne sais plus où je suis et tout mon corps frémit de plaisir. Cela dure une bonne dizaine de minute quand je sens le rebeu accélérer la cadence et sa respiration augmenter. Il se retire d’un coup et me jouis sur les fesses à grand coup de jets. Je suis couverte de sperme chaud et je ne peux m’empêcher de me masturber. Le rebeu se réenfroque.

Il me dit : « Merci » et il partit.

J’étais à présent seule, j’étais debout et mes jambes tremblaient de plaisir. Il me fallut dix bonnes minutes avant de me rhabiller.

Je suis repartie en direction de ma voiture et repris la route… Super soirée à refaire.