Que ce soit sous les douches dans un sauna, dans les chiottes devant la cuvette, dans la salle de bains ou en extérieur dans des sous-bois, je kiffe les jeux uro. C’est assez paradoxal car je déteste les gens sales et les mauvaises odeurs.
Plusieurs expressions dans les pratiques urophiles me sont familières « douche dorée », « golden shower », « champagne », « pluie dorée », etc.
De temps en temps lors de mes sorties nocturnes sur des aires de repos, lorsque l’envie d’exhib me prends, je fais pipi debout dans ma petite culotte et laisse couler la pisse chaude le long de mes jambes, trempant ma petite culotte. Et c’est ainsi que je déambule devant les voyeurs qui pensent à juste titre qu’il y a possibilité de se faire vider les couilles.
D’ailleurs en parlant de ce kiff, lors d’une sortie sur une aire de repos, à la tombée de la nuit, la chaleur était encore bien présente. Je suis sortie de ma voiture pour me montrer, vêtue d’une petite robe perchée sur mes talons et déambulant avec quelques aller-retours devant les voitures arrêtés sur le parking, j’ôtais ma petite culotte en dentelle déjà trempée et c’est les fesses nues sous ma robe que je rejoignis ma voiture.
Un homme est sorti d’un utilitaire garé à côté et s’est approché de ma vitre ouverte, j’avais les jambes écartées sur mon siège, nue sous ma robe, et tenant encore ma culotte à la main. Je lui ai fait un sourire de coquine voir même de salope. Il voulait ma culotte. Il la renifla, la frotta contre sa bite déjà bien gonflée et me dit qu’il aimerait me pisser dessus.
C’était osé et direct mais j’étais chaude comme de la braise et une bonne lance permettrait surement d’éteindre ce feu que j’avais en moi.
Je décidais de le suivre quelques mètres dans le sous-bois derrière le parking.
Il m’embrassa tendrement en me caressant les fesses. Il bandait bien et je m’agenouillai devant lui et ouvrit grand la bouche pour recevoir le nectar. Il s’empara de moi, prit ma tête et butta de va et vient au fond de ma gorge tout en pissant. J’étouffais presque, j’écopais, ça débordait. Son urine était acre, et je l’ai laissé vider sa vessie au fond de ma gorge. Il se finit en crachant tout son sperme sur moi en faciale. Je me redressais, et lécha tout le sperme qu’il m’avait donné. Il m’embrassa encore avec la langue pendant qu’un autre homme ayant assisté à la scène me dit :
« Tu aimes ça, chienne !!! Mets-toi à 4 pattes »
Je m’exécutai et relevai ma robe pour laisser apparaitre ma chatte anale, puis, je senti un liquide chaud couler entre mes fesses, hummm j’aime ça.
Il pissa doucement sur ma raie, puis se mit devant moi pour se finir dans ma bouche grande ouverte. J’avalais tout ce champagne amer et chaud.
Après avoir terminé de pisser, il s’en va, je me relève, retourne vers ma voiture avec ma robe bien humide.