Waloou la bonne pute

Régulièrement, je vais dans des lieux où il y a une pluralité de mecs car je suis une bonne pute et j’ai besoin de bouffer de la bite et d’en prendre plein la chatte. Les rencontres à deux m’intéressent de moins en moins.

Mais ce que je préfère, je l’avoue, c’est filer mes trous dans les sex-shops car je kiffe un max cette ambiance glauque, ce côté pervers, déprave ; en plus c’est facile pour moi car j’ai un mental de salope et grâce à cet état d’esprit je ne fais aucune sélection. Mieux, j’aime vraiment savoir que je vais être le vide couilles de n’importe quel mec. J’ai besoin cérébralement et physiquement de sentir de la bite me défoncer la bouche et le cul.

Je suis à ma place quand je me donne en public au premier venu. Je suis exhib, sans pudeur et je me moque totalement de ce que certains peuvent penser.

En sex-shop, je me balade dans les salles de projections, les backrooms, dans le couloir et souvent j’attends dans une pièce sombre aménagée d’un sling ou d’un matelas. Jamais je n’attends trop longtemps et je gémis quand des mains me palpent le cul, me tâtent le corps comme pour savoir comment est le bout de viande à dispo, me tirent les tétines, m’enfoncent des doigts dans la bouche, dans la chatte comme pour mesurer la largeur et la profondeur des trous de la salope qui va leur servir de vide couilles. Les bites sortent très vite et dès que je pompe ou qu’un mec me saute, je couine comme une truie pour attirer d’autres bites. Je me trouve à ma place quand je sens une bite dans la chatte et une dans la bouche, des mains sur moi, des bites qui me tapent sur le dos ou sur le visage. Je leur dis pour bien les exciter, que je suis la pute de service, et de ne pas se gêner et qu’il y en aura pour tous.

A chaque fois que je vais en sex-shop, vu que je ne sélectionne personne, je suis assuré de prendre de la bite et du foutre. L’âge, le physique ou l’ethnie n’a aucune importance pour moi, même au niveau de la bite je ne sélectionne pas, je ne refuse pas un mec sous prétexte qu’il a une petite bite, sinon je ne serai pas la salope que je suis. Mon seul critère, que ça bande et que ça veut jouir. Ma seule limite c’est que les bites soient propres.  Et, le summum, c’est quand je trouve parmi tous ces mecs, un mâle vicieux qui accepte de me prendre en main durant ma présence au sex-shop et qui me dirige ou me met à dispo en m’exhibant, en m’insultant, en m’humiliant pour exciter encore davantage les mecs.

J’aime dans ces plans le comportement des mecs qui ont compris à qui ils ont affaire, pas de pitié, pas de scrupules, de moins en moins de capote. Je prends toutes les semences dans mes trous publics en libre accès.

Au Lynx à Toulouse

Comme souvent lors de mes déplacements professionnels, je vais passer un moment de détente dans un sexshop local. Celui que j’ai sélectionné en cette rentrée accepte les travestis, je planifiais naturellement un après-midi pour me donner dans cet endroit.

Mercredi dernier en début d’après-midi je me pointais en tenue féminine au Lynx. Après avoir réglé mon entrée, le caissier fort sympathique me faisait un grand sourire en me disant :

« Amusez-vous bien… Si vous êtes d’accord, je dirai à la clientèle qu’une trav est présente ».

« Oui bien sûr ! je suis venue pour ça et j’adore faire la salope ! ».

« Ça vous amènera du monde comme ça ! de savoir qu’il y a une putain de trav à baiser sur place ».

Je passais une première porte et me rendis dans une petite salle ou un film trans passait en boucle. Dans l’obscurité je remarquais quelques silhouettes et décidait d’aller m’asseoir près du fond de la salle.

Le jeu allait commencer. Quelques allées et venues s’opéraient surement entre les différentes salles et le couloir.

Il ne fallut pas trop longtemps à attendre pour que certains hommes bougent et viennent me rejoindre. Les hommes commençaient à se tripoter le sexe d’une main et de l’autre à me tripoter. C’est souvent comme ça que ça commence. A un moment un homme qui commençait à bander se mit devant ma bouche pour que je le suce. Au bout de 2 min, sa queue a bien durci et se révélait d’une taille bien supérieure à la moyenne. Je changeais de position, me mettant à genoux sur le fauteuil, relevais ma jupe et lui tendis mon cul. Pas d’hésitation de son côté, il s’enfonçait direct dans mon cul et s’y finit rapidement en poussant des râles bestiaux. Ça débutait pas mal.

Excité par le bruit, un métis vient me rouler une pelle magistrale. On se tripotait, il était super gaulé, il saisissait ma petite bite molle sous ma culotte. Instinctivement, je descendis vers sa queue pour le sucer et là il devient enragé. Il me tenait durement la tête pour se branler avec, m’obligeant à le sucer au plus profond possible en fond de gorge. Après il me fit me relever, relevait ma jupe et me prit par les hanches pour être dans l’axe de mon cul. Pas d’hésitation là non plus, il enfournait sa bite direct et entamait une défonce en règle en se plaquant dans mon dos, et en me maintenant comme pour m’empêcher de m’échapper. Je lui murmurait alors « Vas-y ! Jouis moi dans le cul ! Y a déjà un mec qui est passé ; tu patauges dans son jus, rajoute-le tiens ! », et là il se plaque à moi et je sens sa queue tressaillir violemment dans mon cul dilaté par un volume important de jus déversé. Il se retirait, j’arrive à ne rien perdre. Et au moment de me retourner pour lui nettoyer la queue d’un coup de langue, je vois que deux hommes étaient aux premières loges et nous mataient la bite à la main. Un blanc d’une bonne soixantaine d’années et un rebeu pas très grand assez jeune. Je me penchais pour nettoyer les dernières gouttes de jus sur la queue du métis, et je sentis alors des mains sur mes hanches et une bite  (plus modeste que celle du métis) qui se planta d’un coup dans mon œillet. Le métis remballa et alors que j’essayais de le retenir pour lui filer mon numéro, il me dit à l’oreille : « j’ai pas le temps, je suis déjà à la bourre », et il se cassa.

Je me retournais pour voir lequel des deux autres étaient dans mon cul, c’était le rebeu. Il dit méchamment au vieux de se casser, ce qu’il fait, et nous voilà seuls. Il me limait en se cramponnant à mes hanches, je passais la main pour lui toucher les couilles et il me lança « T’inquiètes, j’ai pas mis de capote, les putes comme toi c’est fait pour prendre le jus des mecs ! ».

Évidemment, je confirme et réponds « T’as vu le métis cracher dans mon cul, c’était le 2ème, tu patauges dans le jus de 2 mecs différents. Tu kif les culs de mecs ? ». Sa réponse « Moi je baise pas les mecs, je baise les meufs ou les putes ! Et toi t’es une pute ! » Et il se met à haleter en me jouissant dans le cul. A peine terminé, il se retira, remballa et se cassa. Je me retrouvais seul, le cul à l’air, le bide rempli de semences différentes.

Petite pause en attendant de voir ce que la suite de l’après-midi allait me donner comme surprise.

L’addiction au sperme dans l’anus ou l’Orgasme avec un grand O

L’idée d’avoir l’anus qui déborde de sperme chaud tient surtout du fantasme. Quand on a du sperme dans l’anus, on ne ressent pas grand-chose de plus qu’une sodomie sans éjaculation, car la quantité éjaculée par l’homme est souvent faible par rapport au volume que peut contenir le rectum. Seule exception, si on a affaire à un gros juteur, et encore.

On peut rarement sentir une sensation de chaleur et d’humidité, mais on ressent souvent le moment où le partenaire éjacule, quand son sexe se contracte et pulse pour éjaculer.

La sensation est plus intellectuelle que physique.

Dans tous les cas, s’il continue à vous faire l’amour, vous vous rendrez compte que les va-et-vient sont plus faciles, ça passe comme dans du beurre, vos fesses sont extra lubrifiées et c’est 100% naturel.

Pour certaines salopes, quand leur cul est « dosé », « gavé » ou « rempli » de sperme, c’est une apothéose sexuelle. D’abord elles ont un peu de leur partenaire en eux. C’est addictif, très sexy et excitant mentalement.

Ensuite vient le fantasme de « féminisation » : les salopes se font « engrosser », « féconder » ou « gaver » par leur partenaire, évidemment un mâle alpha, alors qu’elles représentent le côté féminin, sissy cochonne, salope. Le sperme est alors le Graal ultime.

Après avoir fait l’amour, plusieurs options sont possibles ; L’expulsion du sperme de votre anus, ce qui permet d’ouvrir sur une multitude de jeux sexuels ou bien garder au chaud le sperme bien au fond de l’anus.

On peut également se faire baiser et remplir de sperme à la chaine avec un autre partenaire et continuer ainsi tant qu’on a des partenaires, certains partenaires étant encore plus excités à l’idée de patauger dans la jute d’autres partenaires.

Attention toutefois quand aux activités effectuées après avoir fait l’amour à la chaine avec plusieurs partenaires car il est probable que du sperme coule entre vos cuisses. Je vous donne mon astuce personnelle, c’est de placer un rosebud ou un plug anal après l’acte afin de garder toutes les semences en vous.

Au-delà du plaisir physique procuré, le fantasme de féminisation de la salope que vous êtes déjà ou que vous serez un jour est bien illustré par les images suivantes. Je vous invite également à lire les textes sur ces images.

 

Une soirée bien arrosée

Que ce soit sous les douches dans un sauna, dans les chiottes devant la cuvette, dans la salle de bains ou en extérieur dans des sous-bois, je kiffe les jeux uro. C’est assez paradoxal car je déteste les gens sales et les mauvaises odeurs.

Plusieurs expressions dans les pratiques urophiles me sont familières « douche dorée », « golden shower », « champagne », « pluie dorée », etc.

De temps en temps lors de mes sorties nocturnes sur des aires de repos, lorsque l’envie d’exhib me prends, je fais pipi debout dans ma petite culotte et laisse couler la pisse chaude le long de mes jambes, trempant ma petite culotte. Et c’est ainsi que je déambule devant les voyeurs qui pensent à juste titre qu’il y a possibilité de se faire vider les couilles.

D’ailleurs en parlant de ce kiff, lors d’une sortie sur une aire de repos, à la tombée de la nuit, la chaleur était encore bien présente. Je suis sortie de ma voiture pour me montrer, vêtue d’une petite robe perchée sur mes talons et déambulant avec quelques aller-retours devant les voitures arrêtés sur le parking, j’ôtais ma petite culotte en dentelle déjà trempée et c’est les fesses nues sous ma robe que je rejoignis ma voiture.

Un homme est sorti d’un utilitaire garé à côté et s’est approché de ma vitre ouverte, j’avais les jambes écartées sur mon siège, nue sous ma robe, et tenant encore ma culotte à la main. Je lui ai fait un sourire de coquine voir même de salope. Il voulait ma culotte. Il la renifla, la frotta contre sa bite déjà bien gonflée et me dit qu’il aimerait me pisser dessus.

C’était osé et direct mais j’étais chaude comme de la braise et une bonne lance permettrait surement d’éteindre ce feu que j’avais en moi.

Je décidais de le suivre quelques mètres dans le sous-bois derrière le parking.

Il m’embrassa tendrement en me caressant les fesses. Il bandait bien et je m’agenouillai devant lui et ouvrit grand la bouche pour recevoir le nectar. Il s’empara de moi, prit ma tête et butta de va et vient au fond de ma gorge tout en pissant. J’étouffais presque, j’écopais, ça débordait. Son urine était acre, et je l’ai laissé vider sa vessie au fond de ma gorge.  Il se finit en crachant tout son sperme sur moi en faciale. Je me redressais, et lécha tout le sperme qu’il m’avait donné. Il m’embrassa encore avec la langue pendant qu’un autre homme ayant assisté à la scène me dit :

« Tu aimes ça, chienne !!! Mets-toi à 4 pattes »

Je m’exécutai et relevai ma robe pour laisser apparaitre ma chatte anale, puis, je senti un liquide chaud couler entre mes fesses, hummm j’aime ça.

Il pissa doucement sur ma raie, puis se mit devant moi pour se finir dans ma bouche grande ouverte. J’avalais tout ce champagne amer et chaud.

Après avoir terminé de pisser, il s’en va, je me relève, retourne vers ma voiture avec ma robe bien humide.