Récit de Martine travestie – Martine bien douchée à l’Atlas

Je rentre dans le ciné, j’y étais allé en petite mini-robe très courte et légère, nue dessous, pieds nus. J’étais encore encore debout, certains et commençaient à me peloter, j’en entends un dire : Pas de slip !!
Je vais ensuite m’assoir directement fesses nues à même le fauteuil, certains viennent autour de moi pour me caresser, je met mes pieds nus sur les dossiers du devant cuisses écartées, comme ça ils avaient libre accès entre les cuisses, ma bite, mes couilles et mon trou du cul pas très net qui était bien pénétré, c’était gras !!.
J’avais des bites dressées autour de moi qui commençaient à me cracher leur jus en pleine gueule dans la bouche et partout, j’avalais le sperme !!, je commençais à dégouliner avec la mini-robe relevée jusqu’au cou, toujours cuisses écartées, j’offrais mon corps nu déjà plein de sperme !!

Tout cela m’excitait très fort et je faisais attention de ne pas éjaculer trop tôt pour faire durer le plaisir un max et réservant ma décharge pour une bouche gourmande !!! ce jour là ils avaient la forme avec les couilles pleines. Parfois c’est plus ou moins calme, mais en principe, j’ai toujours fait quelque chose.

Comme j’avais avalé pas mal de bière avant, j’avais la vessie pleine et je commençais à avoir très envie de pisser, mais comme j’étais bloqué par tous ces mecs impossible de me lever !! Impossible de me retenir et c’est partit tout seul, alors que j’avais des mains entre les cuisses, l’un me prends la bite pour arroser partout de mon puissant jet d’urine qui n’en finissait pas!! J’en entends un dire mais elle pisse la salope !!!
Alors je ressens du liquide chaud en pleine gueule !! L’un me pissait dessus, j’ouvre la bouche, j’avale et il m’arrose partout, ce qui renforçait encore mon excitation !!!
Je ne sais même plus s’ils n’étaient pas plusieurs à me pisser dessus, mais ça coulait fort !!
Le mélange de pisse et de sperme sur mon corps nu est vraiment magique avec toutes ces mains qui me massaient partout et ces langues qui me léchaient et me suçaient, avec des doigts qui n’hésitaient pas à s’enfoncer bien profond dans mon trou du cul merdeux et bien ouvert, des doigts passaient de mon anus à ma bouche où je reconnaissais le goût âcre de la merde !! Reprenant dans ma bouche des bites qui déchargeaient, j’avalais tout ça et c’était délicieux !! !!! !
On peut s’étonner qu’en rentrant dans le ciné ça sent l’urine !!!

Une fois libérée trempée complètement dégoulinante, gluante, je ne craignais plus rien du tout souillée de la tête aux pieds !! je cherchais encore à me faire peloter dans les chiottes et partout cherchant de nouvelles douches !!

Récit de Martine travestie – Nue sous la mini-robe à la brocante

La journée s’annonçait très chaude, alors je choisis pour sortir une petite mini-robe tout ce qu’il y a de plus courte et légère sans rien d’autre!! au ras à poil en dessous ! Malgré ma tenue légère, j’avais envie de rafraichissement, le macadam chauffé par le soleil me brûlait la plante des pieds, comme je n’avais pas de chaussures!!, alors je me dirige vers les fontaines du Trocadéro où je me jette dans l’eau fraiche avec plaisir en prenant quelques précautions peut être même bien inutiles comme ma mini était hyper courte et qui du coup était devenue transparente, j’apprécie l’ambiance conviviale qui règne en ce lieu de drague ! En effet l’un qui avait vu que je ne portais pas de slip propose de me sauter, oui je lui dit où ça? ainsi nous nous dirigeons vers des WC public qui sont un peu plus loin. Ma mini-robe encore toute mouillé laissait voir que j’étais nue dessous!!! dans les toilettes je le suce il m’encule pour rapidement m’éjaculer dans le cul, je lui reprend sa bite dans ma bouche en lui demandant maintenant d’uriner, j’avale sa pisse qui coule aussi sur ma robe !!!
Je reprends le métro comme ça, assise jambes croisées, cuisses dénudées bien en évidence avec les pieds nus, j’aime me faire mater ainsi, assise directement fesses nues à même le strapontin sentant le sperme couler, je croise, je décroise sous les regards qui ont pu remarquer que j’étais sans slip !!! J’aime dans cette chaleur des transports en commun à poil sous la mini, il m’est déjà arrivé de me prendre des mains ainsi, j’adore !!!
Marchant dans les rues un peu au hasard tout en avalant quelque bières sans modération, laissant toute ma pisse dégouliner le long des jambes sans retenue aucune !! en mouillant la mini!! On pouvait alors me suivre à la trace !!
Ainsi je tombe sur une brocante de quartier, pas évident de s’accroupir pour regarder des objets quand on est au ras, sans slip !! où je me baisse sans plier les genoux offrant ma raie du cul avec mes fesses nues !!
Je remarque aussi des glaces judicieusement disposées pour dévoiler sous les jupes, comme j’étais très courte et évasée, je prenais du plaisir à laisser voir que j’étais nue dessous !!! des regards et des conversations me faisait comprendre qu’ils avaient vu ma bite et mes couilles !!!
Sur un stand je m’accroupis pour regarder un objet, vu qu’il n’y avait personne en face, inutile de prendre des précautions en serrant les cuisses!! mais le vendeuse vient aussi s’accroupir devant moi, du coup je ne rectifie même pas ma position tout en parlant, je ne savais pas trop si elle entamait la conversation dans l’espoir de me vendre cet objet ou pour autre chose?? j’écartais même un peu plus en regardant son regard complice avec ses yeux qui brillent !! La conversation vient à porter sur la nudité sous la robe, le non port de sous vêtement…
C’est alors que je sentis ma bite grossir sans rien qui gène sous la mini, jusqu’à ce qu’elle devienne toute droite toujours cuisses ouvertes !!!, c’est alors qu’on se mis à rire toute les deux!!!! du coup je ne pouvais même pas me relever, il fallait attendre que je débande !!!

 

Vacances au Cap d’Agde – La baie des cochons

Avec mon compagnon, nous nous étions installés sur la plage, le plus haut possible contre les barrières de la dune. Le soleil était voilé, laissant filtrer une lumière laiteuse, et je sentais l’air chaud de l’été caresser ma peau. J’étais nue comme un ver, munie seulement d’une perruque, d’une paire de lunettes de soleil et d’un plug anal. Ici, à la baie des cochons, tout le monde sait pourquoi on vient et ce n’est pas que pour bronzer.

Nous étions allongés sur une grande serviette, mon sac de plage contenant entre autres mon paréo et mon string. J’étais allongée sur le ventre et mon corps réclamait un peu d’excitation. Mon compagnon versait une généreuse quantité d’huile de massage sur ma peau, et ses mains commencèrent à me masser avec lenteur, faisant glisser ses mains sur mes courbes. Ses doigts s’attardèrent sur mes fesses, les écartant légèrement pour exposer mon petit trou pluggé. Rapidement des regards coquins pouvaient nous suivre.

Un homme d’une cinquantaine d’années non loin de nous nous matait la bite à la main. Mon compagnon lui fit signe d’approcher, ce qu’il fit avec un sourire.

Son torse était couvert d’une toison poivre-et-sel. Son érection, déjà bien formée, se balançait au rythme de ses pas.

Il s’agenouilla sur notre serviette.

Mon compagnon passa une main possessive sur ma hanche avant de me donner une petite claque sur les fesses, signe qu’il approuvait la suite.

« Elle adore être prise comme une vraie salope » murmura-t-il à l’inconnu, qui sourit en ajustant son érection d’une main.

Je sentis sa main explorer mon trou et découvrir que j’étais pluggée. Il effleura le contour de ma chatte et m’ôta le plug. Je sentis ses doigts écarter mes lèvres déjà trempées, puis sa langue me surprit en traçant un chemin brûlant entre mes fesses. Un frisson me parcourut quand il goûta à mon petit trou, encore distendu par le plug.

« T’es déjà bien préparée… » grogna-t-il avant de m’asséner une claque plus forte, faisant claquer ma chair.

Mon compagnon complice nous regardait en se branlant.

Je gémissais doucement dans le sable, le ventre noué par le désir. Son souffle chaud sur ma peau me donnait des frissons. Puis, sans prévenir, l’homme cracha sur mon trou avant d’y enfoncer quelques doigts avec autorité, ma chatte étant déjà bien humide d’anticipation.

L’homme s’était agenouillé près de ma tête. Je saisissais alors sa bite déjà gonflée dans ma main. La peau était douce comme du velours sur la longueur de son membre, avec cette veine saillante que j’aimais tant suivre du bout de la langue.

Quand mes lèvres se refermèrent sur son gland, un grognement sourd lui échappa. Je pris mon temps, savourant chaque centimètre, ma langue tournant autour de son prépuce avant de plonger plus profondément.

— « T’as une belle bouche de pute, ça se voit que t’aimes sucer » haleta-t-il en faisant des vas-et-viens prononcés avec ses doigts dans ma chatte.

Je sentais sa queue durcir davantage, son goût salé se mêlant à l’odeur de la mer. Quand il commença à pousser ma tête vers son bas-ventre, je savais qu’il était proche.

— « Je vais venir… » murmura-t-il d’une voix rauque.

Je ne ralentis pas, au contraire. J’accélérai le mouvement, ma main branlant la base de sa queue tandis que ma bouche aspirait goulûment. Ses hanches s’agitèrent, puis il éjacula en une série de jets puissants qui inondèrent le fond de ma gorge. Son sperme était épais, salé, et j’avalai chaque goutte avec plaisir, ne voulant rien perdre.

Quand il fut vide, sa bite tremblait encore entre mes lèvres.

Alors que j’essuyais mes lèvres, une ombre se projeta sur nous. Un homme d’une soixantaine d’années se tenait là, sa bite impressionnante déjà bien dressée.

« Besoin d’un deuxième service ? » demanda-t-il avec un sourire canaille.

Je répondis en me mettant à quatre pattes, offrant mes fesses encore marquées par la fouille de mon premier partenaire.

Il ne fit pas dans la dentelle. Une main sur ma hanche, il m’écarta brutalement avant d’enfoncer toute sa longueur d’un seul coup. Je gémissais, mais le son se perdit dans le vent marin.

« T’aimes ça, hein ?  T’aimes te faire défoncer comme une chienne sur la plage ? » gronda-t-il en m’agrippant les cheveux.

Je ne pus que gémir en acquiesçant, sentant mon orgasme monter à une vitesse folle. Mon compagnon, voyant mon état, se pencha et commença à me branler avec énergie, ses doigts habiles stimulant ma petite bite à chaque poussée de l’inconnu.

Je sentais chaque centimètre de lui me déchirer, ses couilles claquant contre mes fesses à chaque poussée. L’huile naturelle de mon excitation se mêlait à la sueur qui coulait le long de mes cuisses.

La sensation était trop intense. Mon corps trembla, et je jouis violemment, mon sphincter se contractant autour de son sexe qui continuait de me labourer. L’homme grogna, sentant mon spasme, et accéléra, ses coups devenant plus saccadés.

« Je vais te remplir, salope… »

D’une ultime poussée, il s’enfonça jusqu’à la garde, et un grognement rauque s’échappa de sa gorge alors qu’il se vidait en moi, inondant mes entrailles.

Alors que le deuxième homme se retirait, laissant son sperme tiède couler entre mes cuisses, j’entendis des rires et des murmures autour de nous.

La plage restait animée et personne ne me jetais un regard particulier – à la baie des cochons, c’est juste une journée ordinaire.

Mon compagnon s’agenouilla près de moi et m’embrassa profondément avant d’aller nous baigner