Les signes qui montrent que tu deviens une lope

Quand pour avoir une érection au lit avec ton épouse ou ta copine, tu dois fantasmer, c’est un premier signe qui peut montrer que tu deviens une lope.

Pour pouvoir baiser et avoir une érection, tu dois imaginer que ton épouse ou ta copine se fait baiser par un autre homme que toi, ou t’imaginer à sa place en train de te faire baiser par un homme. Disons qu’avec une femme tu ne peux plus avoir une érection juste en la regardant, tu dois impérativement fantasmer.

Mais quand ton fantasme est d’être à genoux devant un homme avec sa bite dans ta bouche c’est très différent, là, tu as une bonne érection, et tu te masturbe en t’imaginant en jupe ou en robe.

De plus en plus fréquemment, ton esprit te pousse à te mettre dans la peau d’une femme. Quand tu regardes une femme tu rêves d’être à sa place, te faisant enculer par des hommes virils.

Au quotidien, quand tu rentres chez toi, tu prends plaisir à t’habiller en femme avec les vêtements de ton épouse ou si t’es seul tu surfe sur internet pour t’acheter des vêtements de femme. Quand tu pars au travail, c’est toujours en sous-vêtements féminin sous ton pantalon. Quand tu regardes une fille dans la rue ou dans le métro, tu t’intéresses à la manière dont elle s’habille et à son comportement avec les hommes.

Au début tous ces rituels du quotidien te provoquent une bonne érection. Mais ça, c’était au début, et petit à petit, la féminisation faisant son chemin, tu commences à prendre du plaisir sans érection.

Tu as une obsession omniprésente d’avoir toujours envie d’une grosse bite raide dans ta bouche ou dans ton cul. Car enfin, il faut bien le reconnaitre que pour une lope, c’est ta bouche et ton cul qui sont au service de l’homme.

Une fois que tu commences à t’accepter en tant que lope, ta garde-robe s’agrandit, tu achètes des accessoires, des bijoux, des chaussures à talon, etc… et tu soignes de mieux en mieux ton aspect féminin.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs

Après la fermeture du Ciné-Nord en 2013 et du Beverley en 2019, l’Atlas est le dernier cinéma porno de Paris. Après cette pandémie, j’espère qu’il pourra ré-ouvrir car ses séances de l’après-midi y voient des hommes, la plupart maghrébins ou blacks qui viennent trouver ici un lieu de rencontres et de partage de plaisirs.

Ces dernières années les lieux de rencontres extérieurs pour travesties comme les bois de Boulogne et de Vincennes ou autres bois en banlieue parisienne deviennent de plus en plus risqués et désertés, alors que ce cinéma reste à mes yeux le seul endroit de débauche ou les travesties peuvent encore se lâcher sans retenue.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs.

Je prends une chambre au « GOLDHOTEL » boulevard de Clichy, ce qui à un double intérêt. Je peux aller à l’Atlas à 500 m directement vêtue en fille, et je peux ramener un ou plusieurs mecs dans ma chambre en sortant de l’Atlas. De plus il y a un parking souterrain à 500 m de là pour garer la voiture.

Samedi, début d’après-midi, je suis prête, maquillage léger et parfumée. Je porte une petite robe noire, moulante, ras du cou, dos nu, bas résille et talons pas trop hauts (sinon c’est trop casse gueule une fois à l’intérieur du ciné). Je prends ma pochette avec mon rouge à lèvres, des lingettes, du parfum, une fiole de poppers et 10€ pour l’entrée.

C’est toute excitée que je pénètre dans l’Atlas, et une fois en salle, je range mon petit string dans ma pochette pour que ma chatte anale soit en accès direct à toutes les queues.

Je commence à déambuler devant les hommes qui restent debout, appuyés au mur pour surveiller les rencontres et mater les caresses qui s’y échangent entre spectateurs. Je les frôle en suscitant leurs caresses au passage et les inciter à me suivre dans le halo que dégage mon parfum féminin.

Lorsque j’atteins les toilettes, j’aime m’adosser à la céramique sale. Je sniffe profondément du poppers, l’effet est presque instantané et une très forte chaleur envahie mon corps. Un homme ou deux, parfois trois, blacks et maghrébins m’y rejoignent. Je les regarde en passant ma langue sur mes lèvres écarlates, puis je remonte lentement ma robe noire, offrant ainsi à leurs regards avides mon clito de trav.

Je me retourne face au mur pour qu’ils découvrent entièrement mes fesses, comme une offrande pour leurs mains agiles qui s’empressent de se poser sur mon corps ainsi exposé et offert. Des doigts se glissent alors entre mes lobes fessiers en s’immisçant au cœur de mon intimité. Les doigts s’agitent, tournent et distendent doucement mes sphincters, tandis que d’autres mains se sont glissées vers ma poitrine, titillant mes seins, pinçant et étirant mes tétons, en faisant monter lentement mon excitation. Je commence à gémir doucement, une main se pose sur mon cou et attire mon visage vers celui d’un beau magrébin qui pose ses lèvres sur les miennes en glissant sa langue agile au fond de ma bouche, s’entortillant autour de la mienne dans un baiser torride. J’écarte au maximum mes cuisses, dégageant ainsi mon anus pour l’offrir à la première bite qui me pénètrera. Je sens des mains se poser sur mes hanches, et le gland humide d’une bite que je sens bien dressée, se présenter alors à l’entrée de mon trou d’amour. Je me penche un peu plus en arrière et m’empale alors sur le sexe qui glisse en moi avec force en me faisant pousser un petit cri de plaisir, que la bouche de l’homme qui m’enlace fait aussitôt taire. L’homme qui m’a pénétrée se met alors à me limer d’abord lentement, puis il accélère ses mouvements m’arrachant des petits râles de plaisir, tandis que le second m’embrasse à pleine bouche et que les doigts du troisième tordent violemment mes tétons. Je m’arc-boute contre le mur carrelé, mes mains posées à plat devant moi, et je m’abandonne à l’excitation qui est en train de me submerger, mes petits râles deviennent une longue plainte lorsque les doigts de celui qui m’encule se posent sur mon petit clito tout flasque en le caressant jusqu’à mon râle de plaisir accompagnant un filet de mon liquide séminal, et alors que je sens le foutre de l’homme couler de mes fesses sur mes cuisses et mes bas.

Je reprends petit à petit mes esprits. Je me retourne vers eux, mon enculeur avec la bite encore humide et dressée, et les deux autres la bite sortie, et se caressant face à moi. Je me baisse vers le plus proche et enfourne entre mes lèvres sa belle bite décalottée épaisse et longue ; j’ai failli m’étouffer. Il pose se mains sur ma tête pour imprimer le rythme de la fellation qui l’amène très vite à la jouissance, projetant de longs jets de foutre tiède au fond de ma bouche, son foutre est un peu amer, mais j’adore. Je me tourne alors vers le troisième au moment où sa bite caressée projette tout son foutre sur mon visage.

Je me relève, le visage souillé, les fesses humides et ma bouche encore pleine de sperme, je redescends ma jupe, réajuste mon top, je leur murmure « Merci ! » en leur lançant un baiser, puis je me faufile hors des toilettes pour rejoindre la salle du haut et peut-être en exciter d’autres tout aussi bien montés et désireux de profiter de mes orifices intimes encore tout humides. Je m’assois au dernier rang, contre le mur et déjà un beau black tenant son long sexe à la main vient s’asseoir à côté de moi. Je glisse ma main pour le caresser tandis que lui glisse son bras autour de mes épaules et posant sa main sur mon cou m’oblige à me pencher vers son superbe engin. J’ai beau écarter mes lèvres, j’en reste au gland qui emplit ma bouche. Lui, appuie sur ma tête pour que j’enfonce ma bouche sur son pieu dressé, mais son gland bute sur mon palais et je manque de déglutir, tandis que ma langue est coincée par son gland qui ramone l’intérieur de mes joues. Quelques allers et retours de mes lèvres sur le haut de sa hampe suffisent pour que je sente son foutre exploser dans ma bouche et ma gorge. Dégageant alors mes lèvres de son sexe, je reçois ses dernières éjaculations en plein visage. J’avale avec délice son nectar et pose mes lèvres encore souillées de son sperme sur les siennes. Il me glisse sa langue dans ma bouche et répond à mon baiser.

Puis il se lève et se penchant vers moi et me dit « Merci ma salope, c’était super. Tu as aimé ? »

Je lui réponds « J’ai adoré, mec »

Un black qui venait d’assister à cette pipe royale s’approche et s’assoie à côté de moi. Il me tire vers lui pour que je m’empale sur sa grosse queue. Je commence à aller et venir sur ce pieux jusqu’à ce qu’il me plaque contre lui et m’inonde le cul de sa semence, se lève et se tire sans un mot.

Peu de temps après, un homme blanc plus âgé vient s’assoir à coté de moi. Il me dit « Je t’ai vu dans les chiottes petite pute, ta chatte c’est un autoroute »

Je lui réponds « c’est à cause de vous, c’est de votre faute »

Il m’agenouille sur un fauteuil à côté de lui, robe relevée, fesses bien en face de lui. Il commence par me caresser le cul et sort d’une de ses poches une bouteille de gel et me badigeonne bien le cul.

Je reprends ma fiole de poppers et la sniffe profondément. L’homme entreprend de me fister. Je tortille mes lobes fessiers sous les caresses de plus en plus pénétrantes de cet homme. Sa main s’enfonce tout doucement dans mon trou d’amour. J’émets de petits râles de plaisir. Sa main ressort doucement et replonge aussitôt. Le va et vient tantôt poing fermé, tantôt poing ouvert, s’intensifie sans violence, un filet de liquide séminal s’échappe de mon clito et mes râles se font de plus en plus entendre.

L’homme retire doucement sa main et m’aide à me relever. Du monde s’était agglutiné autour de nous et venait d’assister à ce fist. Je reconnais mon beau magrébin des toilettes, je lui prends la main et l’entraine vers le bout du rang où je m’agenouille sur un fauteuil, ma robe relevée et lui tournant le dos avec les mains sur le dossier, il se colle à moi et je sens sa bite me pénétrer aussitôt, m’arrachant une plainte tandis qu’il commence à me pilonner vigoureusement. Cela dure de longues minutes, et je commence à sentir l’excitation monter au fur et à mesure de son enculage rythmé. Ses mains sur mes hanches serrent très fort ma taille et je le sens se projeter en avant, tandis que des saccades de son généreux foutre inondent mon cul généreusement offert. Il se dégage lentement, laissant son engin à moitié enfourné dans mon anus, je serre mes sphincters pour le retenir en moi et il se colle à moi, m’enlaçant de ses bras musclés.

Il me murmure à l’oreille « Tu es une bonne kahba, j’ai encore envie de toi »

Je retourne à demi mon visage vers lui et je lui dis « Salam Aleikoum » d’une voix lascive.

Il me regarde et me dit « Tu aimes les Arabes ? »

Je lui réponds « Oh oui, mec, ce sont eux qui me baisent le mieux »

Alors il sourit et je sens sa bite se ré-enfoncer lentement en moi, je feule de plaisir et je lui dis « Je suis ta kahba, baises moi encore plus fort »

Alors il écarte le black qui est en train de sucer mes tétons, et me les prends entre ses doigts, les pinçant très fortement « Oh Ouiiii, pinces les forts, j’adore ça »

En même temps sa bite est redevenue dure, et il s’enfonce d’un coup de reins me faisant pousser un petit gémissement, et s’appuyant sur moi, il me fait courber sur le dossier du fauteuil et me lime maintenant très rapidement, ses coups de butoir me rendent folle d’excitation, je sens que je bascule dans une jouissance totale et tandis que mon clito crache un filet de liquide séminal, faisant montrer que je suis en train de jouir de mon trou d’amour, lui continue de me labourer jusqu’à ce qu’il explose à nouveau en moi. Il s’affale sur moi en jouissant et je sens sa semence déborder de mon cul ouvert et couler sur mes bas. Je m’effondre dans le fauteuil et il vient me prendre dans ses bras en m’embrassant goulûment. Je prends sa langue et colle mes lèvres aux siennes, il pose sa tête contre mon front en me disant essoufflé « Tu es à moi, ma kahba, je t’ai fécondé de mon sperme, et je te veux pour moi, tu vas m’obéir, car je suis devenu ton Maître » Je le regarde dans les yeux en murmurant « Oui Maitre, je suis ta kahba désormais, et j’obéirai à tous tes désirs et à tous tes ordres ».

Nous sommes sortis ensemble du cinéma et nous sommes allé tous les deux passer un moment dans ma chambre d’hôtel.

Ma condition de Sissy soumise

Souvent, je m’habille en salope pour me faire chasser par des inconnus et servir de vide-couilles. J’aime me maquiller et m’épiler pour être une bonne sissy et être ainsi un objet de plaisir aux hommes. Et tout en étant utilisée et baisée bareback, j’aime être filmée et photographiée avec des webcams et vos smartphones.
J’aime être à genoux dans les cabines de gloryhole et fréquenter les parkings, les aires de repos et les sous-bois. D’autres nuits, j’invite les hommes à venir dans une chambre d’hôtel et à les vider de leur sperme les uns après les autres ou à plusieurs en même temps.
J’utilise des jouets énormes pour m’étirer les sphincters et je peux prendre n’importe quelle bite dans ma chatte anale. Je fais tout pour être une bonne sissy afin que les hommes se plaisent dans mon trou.
Être une salope dépravée et recevoir de multiples éjaculations de sperme chaud qui bave de ma chatte est un sentiment que je compare à un sentiment de totale soumission surtout quand je sens l’explosion d’un homme en moi, recouvrant mes entrailles de sperme. Sachant que la bite sans préservatif dans mon trou rempli de sperme l’a déjà été dans des culs remplis d’autres sissy baisée bareback n’est nullement ma préoccupation.
Une fois devenue accro au bareback, il n’y avait plus d’issue, j’acceptais ma condition de vide-couilles soumise dont le seul véritable but est de donner du plaisir à des inconnus, et il n’est pas étonnant que mon petit clitoris-girly soit flasque.

Coquine ou cochonne ?

Pour ceux qui me suivent ou me connaissent, vous n’êtes plus sans savoir que j’organise régulièrement des soirées ou je m’offre sans limite. Mes orifices ne servent qu’à vider vos couilles ou votre vessie, même si de temps en temps une main fouilleuse remplace votre queue.

Sur cette photo prise dans un hôtel parisien lors d’une soirée, vous me trouvez plutôt coquine ou cochonne ?

 

Après-midi avec un amant

J’étais un peu nerveuse mais tout était prêt. J’ai passé deux heures à me faire une beauté, chaque partie de mon corps était douce, tous les coins et recoins prêts à être utilisés au cas où sa langue viendrait se poser sur mon corps.

J’ai décidé de porter quelque chose de simple mais sexy, un haut rouge scintillant, des bas et une petite culotte noire et chaussée d’escarpins rose. Me sentant bien dans mon regard, j’ajuste le dernier maquillage et je me souris face au miroir.

C’est bientôt l’heure ou un amant que je ne connais pas va venir me rendre visite dans cette chambre d’hôtel qu’il a réservé pour moi.

J’attendais cet homme sur le lit en position de levrette, le dos cambré, le cul bien dégagé, un attrayant point focal quand il entrera dans la chambre. J’avais tout préparé comme il me l’avait auparavant demandé. La pièce était sombre, éclairée par une petite lumière et une musique lunch qui contribuera à créer l’ambiance.

De manière pratique, je lui ai placé une chaise devant le lit avec une vue directe sur mes fesses, exposées et prêtes.

J’entendais la porte s’ouvrir. La musique le guida pendant que je berçais mes fesses, les pas se rapprochant jusqu’à ce que je puisse sentir sa main chaude se poser sur moi.

« Bonjour ma pute », me dit-il.

Je sentais une étincelle immédiate et me ressaisissais encore plus, m’efforçant de m’assurer que chaque fraction de mon corps était offerte. Ses mains descendaient le long de mes jambes, cet amant adore la sensation de mes jambes enserrées qui me laisse une traînée de chair de poule quand il me caresse. De retour à l’endroit où il a commencé, l’homme a écarté la culotte que je portais et s’est arrêté une minute maintenant que j’étais exposé.

Mon cœur commençant à battre avec impatience.

Je sentis ses lèvres embrasser mes fesses et puis, doucement, sa langue léchait mon trou impatient. Mes yeux se révulsèrent et je gémissais à haute voix alors que je recevais la meilleure bouffe de chatte de ma vie, il ne se retint pas et j’étais en extase. Ramené sur terre par le toucher ferme de sa main et une petite fessée sur le derrière, il a ensuite commencé à me demander où il me voulait et comment il voulait que je pose.

J’ai adoré ça, rien n’est plus sexy qu’un homme qui sait ce qu’il veut et qui l’exige en conséquence ! À ce moment-là, je devenais folle, je voulais sa queue dans ma bouche.

Et, le moment que j’attendais est enfin arrivé. Me portant à genoux, un oreiller m’attendait alors que je m’installais devant mon objet de plaisir. Avec sa ceinture toujours attachée, il dégrafa son pantalon, et à l’intérieur tirant lentement son sexe et ses couilles glorieuses.

« Je vais te baiser ta douce bouche, tu vois comme je suis dur ? »

« Hummm, oui », ai-je répondu.

« Bonne pute » me répondit-il alors qu’il s’approchait un peu plus près sa queue, maintenant directement devant mes lèvres.

Épais et dur, il glissait lentement sa queue dans ma bouche, s’arrêtant une fois que sa tête palpitante était complètement à l’intérieur. Nous avons fermé les yeux et j’ai à moitié souri. J’aime sucer la bite, ça me rend tellement excitée et humide, l’un des moyens les plus intimes de se connecter avec une autre personne à mon avis. Le sentir dans ma bouche après tant d’anticipations, tout était parfait et j’y suis entré directement, suçant le bout avec ma langue, travaillant le manche puis prêtant une attention particulière à ses boules délicieusement façonnées. Je pouvais goûter des notes de délicieux pré-cum et cela me rendait encore plus excitée ! Douce et humide, profonde et chaude, sa bite remplissait chaque partie de ma bouche et de ma gorge. J’ai étouffé et bâillonné sur sa queue alors que je faisais de mon mieux pour lui plaire.

Après un long moment de succion sucrée, il m’a arrêté, me tirant vers le haut, il m’a ordonné de poser à quatre pattes pour lui sur la chaise sur laquelle il était assis à l’origine. Je faisais comme ordonné et attendais avec mon dos voûté, le cul relevé. Je pouvais l’entendre se masturber, puis, venant derrière moi, je sentis sa queue palpitante se presser contre ma chatte humide et impatiente.

« Oh oui », je me suis dit …

« Enfin, sa queue ! »

Et avec ça, il me pressait fort et profondément, je le sentais bien, pas du tout douloureux mais assez puissant pour le sentir réellement s’étirer et me remplir instantanément. Maintenant, je n’ai pas envie de me faire mal mais j’aime être prise, possédée, utilisée comme un jouet pour l’amusement et le plaisir sexuel de mes amants. J’adore être baisée intensément puis récompensée par un amant doux et chaud !

Et c’est exactement ce que j’ai. Commençant à me baiser, il me pilonnait la chatte avec ce type de baise profonde qui dit que je possède ton cul de salope. J’aime faire ma part aussi, alors j’ai gardé le dos voûté, le cul maintenu en position pour une profondeur maximale. Mon amant frappait sa cible avec précision et je l’aimais putain ! Vibrant à chaque coup mais à moitié retenu par ma culotte écartée, je fuyais avec plaisir, les fluides chauds ruisselant sur mes cuisses trempées alors que ses couilles me tapaient à chaque coup. Reprenant le rythme, il m’a averti qu’il était sur le point de jouir et, avec plusieurs poussées fortes, il a déversé toute sa semence en moi.

« Oh Oui, oui, oui !!! » ai-je pleuré en repoussant mes fesses pour correspondre à ses dernières poussées.

« Oh, putain oui » disait-il en haletant.

Les deux mains de mon amant tenaient fermement mes hanches, que je pouvais sentir sa queue palpiter au fond de moi et je réagissais en me dandinant. Nous avons attendu un moment dans cette position, puis il a lentement sorti son membre encore gonflé, le reposant sur le côté de mon cul.

« Putain qu’il est chaud » disait-il en regardant mon trou légèrement béant. Je savais qu’il y avait encore du travail à faire et je me suis tout de suite mise à genoux pour le nettoyer. De plus, je ne voulais pas perdre une goutte !

« Tu es vraiment une bonne pute » me dit-il en répondant gentiment à mon geste.

J’ai pris sa bite dégoulinante de foutre dans ma bouche pour la première partie de son bain de langue. Dégustant le jus sucré de ma chatte et sentant la chaleur de son foutre, j’ai commencé à le nettoyer. Très doucement, je donnais des coups de langue à sa queue encore palpitante, goûtant les dernières goutes de foutre qui restait.

Ensuite mon amant pris un verre que j’avais préparé et le mis sous ma chatte tout en me disant de pousser fort pour que toute sa semence tombe dans le verre. Je sentais tout ce liquide de plaisir ressortir de ma chatte baveuse pour maculer ce verre.

Après, je me suis retournée et légèrement inclinée en arrière. C’était si délicieux que je ne pouvais pas résister et avec les yeux fermés, j’ai ouvert la bouche et tiré la langue. Il tenait le verre au-dessus de ma bouche et me donnait ce que je voulais. Le retournant légèrement au début quelques gouttes tombaient sur ma langue, puis en s’arrêtant.

« Est-il délicieux mon foutre ? »

« Oui » répondis-je, puis j’ajoutais,

« Plus s’il te plait » en repoussant ma langue.

En dirigeant le reste de son foutre sur ma langue, il la regarda s’égoutter avant de couler lentement dans le fond de ma gorge avec un petit sourire. Je lui rendis mon sourire du mieux que je pouvais, la bouche toujours ouverte. Frappant mes lèvres et les avalant, je ne pouvais pas m’empêcher de me baisser et de me toucher. J’avais été sur le point de jouir tout le temps mais ces moments sont ceux où je suis le plus excitée mentalement.

Savoir que mon amant s’est complétement vidé et satisfait, ma chatte lâche et bien baisée.

« Puis-je ? »

« Allez bébé, j’aime regarder »

Déjà levée et poussée à mes limites, j’ai giclé sur mes jambes agenouillées. Mon amant a adoré voir mon sperme peindre mes bas sexy.

« Merci pour ce merveilleux moment, bébé »

Après qu’il soit parti, j’ai gardé un moment ce délicieux goût de sperme frais sur mes lèvres en attendant d’autres amants.

Drague nocturne sur un parking d’autoroute

En déplacement dans une ville de province, comme ça m’arrive régulièrement, j’aime en profiter pour faire quelques escapades sexuelles.

Lundi dernier, j’étais dans un état second, excitée folle de désir, j’avais envie d’aller faire la pute sur un parking de routiers.

Après avoir pris une bonne douche dans ma chambre d’hôtel, j’enfilais des bas rose, une culotte rose, une robe moulante noire, mes bottines beiges à talon, une perruque brune bien ajustée et un petit rouge à lèvres. J’étais enfin prête et désirable (surtout très excitée).

Je prenais ainsi la route en direction d’une aire de repos connue de la région comme étant un lieu où il pouvait y avoir de l’action.

Il était 21h00, il commençait à faire nuit, le temps était calme. 4 à 5 camions étaient garés, 1 voiture genre break familial apparemment vide.

Je me garais, éteint mes feux et patientais un instant. Dans le noir vers un talus, j’aperçus une lumière caractéristique d’une cigarette qu’on allume, signe d’une présence.

Je me disais qu’il est temps de descendre, on verra bien ce qu’il s’y passe. Je sortais donc avec mon p’tit sac à main (avec rouge à lèvre en réserve, gel, préservatifs en quantité, et m’avançais vers le talus, en direction du point lumineux. Là se trouvait un gars, debout faisant mine de pisser, je ne le voyais pas très bien car il faisait sombre. Je m’avançais, il remarqua ma présence et se tourna vers moi, la bite à la main. Je lançais la conversation :

Moi : « Bonsoir »

Lui : « Salut, tu veux me sucer ? »

Je ne me faisais pas prier et m’agenouillais à bonne hauteur, le mec doit avoir 40 ans, style père de famille. Je pris son sexe en bouche, il était semi mou, mais avec mes premiers coups de langue je le fis grossir, il atteignait vite une taille honorable, et ma langue se délectait de son argument. Ce monsieur a l’air d’apprécier, il me prit la tête avec ses mains et m’enfonça de plus en plus sa bite, il poussait de petits râles de plaisir.

D’un coup, il me dit : « Je vais juter »

Je le suçais encore plus fort tout en le branlant, il explosa son foutre dans ma bouche, une sacrée dose, il devait avoir les couilles pleines depuis un moment, il poussa un râle de plaisir, moi je pris soin de bien la nettoyer jusqu’à la dernière goutte.

Il remontait son slip rapido et se cassait sans rien dire.

Je suis satisfaite de ma première dose.

Je retournais en direction de ma voiture et m’aperçoit qu’une lumière dans la cabine d’un camion est allumée et la porte à moitié ouverte. Je m’approchais du camion, et je vis un routier en train de se branler, avec un regard qui en disait long sur son envie de sexe. Je m’approchais, il me fit signe de monter ce que je fis sans me faire prier.

On n’a pas échangé un mot. Le routier était jeune, moins de 35 ans avec des origines maghrébines, en tout cas, sa bite dressée était monstrueuse, je dirai un bon 22 cm mais surtout très large, sa main ne pouvait entourer entièrement sa bite. Une fois à ses côtés, il me prit le cou et me dirigea vers sa queue qu’il me força à gober. Elle était énorme, vraiment, son gland me remplissait la bouche et j’ai du mal à sucer ne serait-ce que la moitié de l’engin. Le gars m’a l’air très actif, vicieux et directif. Il me retourna, remonta ma robe, et enleva ma petite culotte. Il m’allongea sur le ventre et commença à me bouffer le cul d’une façon très violente, sa langue est musclée et j’ai l’impression qu’il me pénètre… J’étais aux anges… Il me retourna, me fait comprendre que je dois le sucer de nouveau puis me replaque sur le ventre. Là, il passa progressivement plusieurs doigts dans mon cul, puis je senti son gland, énorme, sur ma rondelle… J’étais super excitée… Il faisait pression avec son gland… Je serrais les dents et d’un coup de rein brutal, il m’enfourna son pieu à fond tout en me tenant les bras, j’hurlais de plaisir. Je n’ai pas le temps de souffler qu’il débute alors un va et vient d’une énergie bestiale, ma chatte est complètement dilatée, il s’amuse à ressortir et rentrer sa bite sans la toucher, je suis complètement à sa merci, ma chatte doit être béante… Il s’assied tout en me prenant la taille et me forçai à m’assoir sur sa bite… Putain je la sentais encore plus dans cette position, et  là, en me tenant par la taille, il me souleva et me fait assoir sur son pieu pendant 10 bonnes minutes. D’un coup, il hurla et je sentis alors sa semence me remplir littéralement la chatte.

Après avoir repris mes esprits, je réajustais mes vêtements et sortis de sa cabine et me redirigea vers les toilettes dans la pénombre. En marchant, je sentais son sperme qui coulait dans ma culotte et que mon trou était bien dilaté.

A peine arrivée au niveau des toilettes, j’entendis une portière claquée et un homme se dirigeait vers moi. Je vais dans les pissotières, et je fais semblant de pisser et sentis l’homme s’approcher et se mettre à côté de moi et faire aussi semblant d’uriner. Ses yeux étaient fixés sur mon clito et les miens sur sa bite.

Il me sourit et me demande : « On va dans les toilettes on sera tranquille ».

Je lui réponds : « Ok »

A l’instant où il ferma le verrou il se tourna et m’embrassa avec fougue. Il se frottait contre moi en me tripotant les fesses sous ma robe.

Il me dit : « Tu me suces »

Je souris et je le caressais avec ma main. Il bandait comme un taureau.

Il continuait en me disant : « Tu es une bonne cochonne »

Excitée, je m’accroupis et desserra la ceinture de cet inconnu et ouvrit sa braguette. Je voyais maintenant son sexe bien dur sous son caleçon, cette vision était magnifique. Je baissais son caleçon et son membre apparut droit comme un pic. Je le tenais dans ma main et déjà il frissonnait de plaisir, une goutte de jus sort du bout tout violet. Je le lèche en le regardant pour l’exciter. Son visage montre très nettement à quel point il est excité ce qui m’excite encore plus. Son sexe était un peu moins long que le sexe du routier de tout à l’heure mais il était bien dur et son gland ruisselait de jus. Je l’introduisis dans ma bouche et frénétiquement je le suçais. Pendant 10 min je léchais ce gland, sa bite et ses couilles en n’arrêtant pas de le masturber fortement. Il me tenait la tête de temps en temps et me baisait la bouche.

Enfin il m’arrêta et me dit : « Doucement ou je vais jouir trop vite »

Il me tourna et commença à frotter son sexe contre mes fesses tout en m’embrassant dans le cou.

Il remonta ma robe et enleva ma culotte toute mouillée d’excitation et de foutre.

Il me dit : « Tu es une belle salope toi ». Ces mots m’excitaient encore plus. Il me demanda de me pencher. Il s’accroupit et sans ménagement il écarta mes fesses et lécha du bout de sa langue mon intimité.

Je gémis de plaisir, un deuxième anulingus, que c’est bon… A présent il essayait de pénétrer sa langue dans ma chatte. C’est alors que quelqu’un frappa à la porte.

Nous stoppions tout bruit quand une voix nous dit : « Laisse-moi entrer je veux participer »

L’homme me regarda d’un air interrogatif.

Je lui dis : « Si tu veux, moi ça ne me dérange pas, au contraire ».

L’homme va près de la porte et l’ouvre. Derrière un gars de type magrébin sourit et dit : « J’ai entendu des gémissements je peux participer ».

L’homme avec moi répond : « Pas de souci on a de l’avance ».

J’étais debout quand le rebeu s’approcha et me tâta les fesses.

Il me dit : « T’as un bon fessier bien large de kahba, c’est la première fois que je te vois ici »

Je sens un de ses doigts rentrer dans mon trou.

Le premier homme dit : « J’étais en train de lui bouffer le cul »

Le deuxième : « Bien, elle va me sucer » en parlant de moi.

Sans attendre je me mis à quatre pattes. Le rebeu descendit son pantalon et me tendit son sexe bronzé et très poilu. Je sens le premier continuer de me préparer. Le plaisir en moi est au sommet. D’un côté une bite plutôt grosse remplit ma bouche de de l’autre une langue experte me lèche la chatte.

Je gémis sans m’en rendre compte et ce qui m’excite encore plus c’est plusieurs hommes.

Je sens maintenant deux doigts me chatouiller. Le premier homme humidifie de sa salive mon trou et fait maintenant aller et venir trois doigts dans ma chatte. Le rebeu lui n’arrête pas de me baiser la bouche en me traitant de salope. Il introduit tellement son sexe dans ma bouche que plusieurs fois je dois le repousser pour ne pas vomir. Le premier homme a mis sa main entière dans ma chatte et fait remarquer au rebeu que mon trou est maintenant bien ouvert. Il retire sa main et la remplace rapidement par sa queue.

Mon plaisir est au maximum, être prise des deux côtés.

Malheureusement il jouit en quelques secondes me laissant sur ma faim. Il s’excuse et se réenfroque en un éclair et sort des toilettes.

Le rebeu dit : « A mon tour ».

Il me retourna et d’un coup sec introduit sa queue. C’était trop bon, je ferme les yeux et me laisse aller au plaisir. Sa queue entre brusquement en moi et progressivement je jouis. Je ne sais plus où je suis et tout mon corps frémit de plaisir. Cela dure une bonne dizaine de minute quand je sens le rebeu accélérer la cadence et sa respiration augmenter. Il se retire d’un coup et me jouis sur les fesses à grand coup de jets. Je suis couverte de sperme chaud et je ne peux m’empêcher de me masturber. Le rebeu se réenfroque.

Il me dit : « Merci » et il partit.

J’étais à présent seule, j’étais debout et mes jambes tremblaient de plaisir. Il me fallut dix bonnes minutes avant de me rhabiller.

Je suis repartie en direction de ma voiture et repris la route… Super soirée à refaire.

Exhibition nocturne, une vocation de travestie

J’assume totalement un côté exhibitionniste. Toutes les occasions, en tous lieux, à tous moments, sont pour moi prétexte à m’exhiber. Il va sans dire qu’avoir un goût pour l’exhib omet volontairement dans sa pratique toutes atteintes à la pudeur.

J’en viens naturellement à mes envies liées à la pluralité.

Oui !!! j’aime me faire saillir par plusieurs mâles en rut, des mâles bien vicieux dans la quarantaine ou la cinquantaine obsédés par le « trou ». Si j’ai une préférence pour les groupes déjà constitués, j’apprécie aussi les rencontres improvisées, surtout nocturnes dans des endroits glauques ou les mâles en rut rodent à la recherche d’une chienne à saillir. J’aime être cette chienne qui ne demande qu’à être remplie, sentir une grosse queue s’enfoncer en moi, me défoncer et me dilater la chatte à grands coup de reins. Aussi, dès l’arrivée des beaux jours, je donne mes trous dans les environs de Paris, la nuit.

Exhibée et remplie au bois

Un soir d’automne, le thermomètre indique encore 25 degrés dehors. D’ailleurs je suis aussi chaude que de la braise car j’ai 5 jours d’abstinence et j’ai une grosse envie de me faire remplir sur un lieu exhib. C’est ce qui m’excite le plus.

J’arrive dans un bois connu pour les plans baise dans le 77, il est environ 21 heures.

Je décide de faire ma pute ; perruque courte, un léger maquillage, un top moulant une mini-jupe et des escarpins à plateforme. Rien d’autre, ni culotte, ni bas et porte jarretelles.

Une fois la voiture garée sur le parking, j’ôte mon plug anal qui m’a bien dilatée pendant le trajet. Ma chatte avait tellement faim que je suis partie avec ce plug en place. Mon clito mouille déjà bien.

J’aperçois du monde, ça bouge beaucoup dans le bois, du jeune minet au vieux vicelard. Du monde passe à coté de ma portière, hummm j’adore …

Je sors de la voiture et je me dirige vers le bois. La nuit vient de tomber et quelques phares éclairent mon passage. Tout le monde m’aperçoit, même ceux qui restent dans les voitures à attendre.

J’entends des portes de voiture claquer. Je souris et continue à marcher en direction du bois. Il fait de plus en plus noir, mais j’aperçois grâce à la lune une dizaine d’ombres. Je m’arrête appuyée contre un arbre, la croupe bien en évidence, les jambes bien écartées et la jupe relevée… J’annonce la couleur, ma chatte est offerte à tous les inconnus, sans voir qui va me baiser.

Je sens des mains se poser sur moi, des odeurs, de la transpiration, des boucles métalliques de ceinture se défaire, des mains qui branlent… Putain, ça s’excite grave derrière moi. Un moment j’entends « Elle a faim cette pute !!! », j’adore, ça m’excite.

J’entends des pas, à droite à gauche… En moins d’une minute un gland qui a l’air énorme se présente à l’entrée de ma chatte. Il mouille du gland, il est chaud et impatient, et en quelques secondes, le mec enfonce la totalité de sa queue d’un coup dans ma chatte lubrifiée. Je gémis et lui aussi. Il dit « T’aimes ça, sale pute !!! » en réponse je gémis encore.


Le cul foutré de la lope Waloou
Je kiffe me faire baiser devant tout le monde dans les bois. J’ai super chaud, je transpire. Il me bourre de plus en plus vite, il respire de plus en plus fort et ça attire du monde. En quelques minutes il se contracte et m’inonde bien profond de tout son foutre. Il gémit assez fort, j’adore. Plusieurs jets. Puis Il se retire et je sens un vide se creuser en moi.

Je ne bouge pas et une autre queue prend la place encore toute chaude. Le mec avait dû se préparer pendant que l’autre me défonçait. Il entre facilement et sa queue est plus fine mais je m’en fou.
Il me lime bien, la chatte lubrifiée par le sperme du premier. Je suis en pleine extase je ferme les yeux. Lui aussi se contracte et me remplit… Il sort sa queue et se casse.

Un portable éclaire ma chatte, je contracte mes sphincters et pousse un peu pour expulser et, du foutre sort de ma chatte. Ça coule le long d’une de mes jambes… Ça m’excite encore plus et également les voyeurs branleurs autour de moi.

J’en veux encore… J’attends et en moins d’une minute un autre mec arrive… Je sens un truc fin et chaud me pénétrer, puis ça ressort et ça rentre… Hummm, c’est des doigts. Il se colle à moi et me fais bouffer ses doigts pleins de foutre. Je vois un rebeu de 25, 30 ans. Hummm, je bouffe ses doigts, je les nettoie, je les pompe, je joue avec ma langue. Il ne dit rien. Il retire ses doigts et j’entends comme un short glisser sur des jambes. Je me cambre. Du jus sort encore de ma chatte. Le mec respire fort, il est assez tactile et ses mains prennent mes hanches et restent dessus. Son gland se glisse entre mes fesses. J’espère qu’il n’a pas mis de capote, je veux qu’il m’engrosse. Son gland à l’air énorme, mais je ne suis pas inquiète. Il entre comme dans du beurre… Je lui dit « Baise-moi !!! » il enfonce alors son gros pieu. Il commence alors à me baiser en me tenant les hanches ; un amour. Il y va doucement puis plus rapidement… J’ai très chaud, des gouttes de sueur tombent de mon front. J’ai envie qu’il me pilonne toute la nuit. Il continue pendant plusieurs minutes ses mouvements, on gémit assez fort et de plus en plus en symbiose. Comme les autres mecs il se contracte et envoi sa semence dans ma chatte, je cambre encore plus mon fessier et il continue de me saucer.

Il attend un peu et plaque sa tête contre mon dos, comme épuisé. Il reste en moi… J’ai chaud j’ai envie de le consoler… Il relève sa tête et retire son membre… du sperme à outrance sort de moi et coule le long de mes jambes, ça fait presque un appel d’air. Il enlève ses mains je les regarde et plus rien. Il s’en va, j’hésite à me retourner… me retourne et aperçoit une silhouette de bogoss s’éloigner. J’aperçois alors en même temps 5 mecs derrière moi.

Je me cambre à nouveau… le suivant s’est juste branlé et a envoyé tout son foutre sur mes fesses. Je me suis alors redressé, retourné et d’autres étaient là.

Je me mets à genoux… Un minet blanc d’une vingtaine d’années très fin un peu racaille me présente sa grosse bite. Je la gobe directe elle pue grave, mais j’adore. Il dit « T’es un gros sac à foutre, toi » il mouillait énormément ça devait faire un moment qu’il matait… Je gémis et du sperme s’écoule doucement de ma chatte. Il enfonce alors sa queue au fond de ma gorge, se contracte et envoie une sauce bien épaisse… j’avale tout et en redemande. Il se retire et se casse.

Le mec suivant me présente sa queue et m’inonde d’une superbe faciale. Après il me dit « J’ai envie de pisser, est ce que tu bois la pisse ». En guise de réponse toujours à genoux j’ouvre en grand ma bouche face à lui. Il se met à m’asperger le visage et la bouche, me rinçant de son foutre qu’il m’avait aspergé en faciale. Je bois tout ce que je peux pendant qu’il vide sa vessie. Il se réenfroque et se casse.

J’ai attendu quelques instants mais les autres avaient déjà dû se vider en matant ce spectacle.

Je me relève et réajuste ma jupe et ma perruque et marche en direction du parking.

En passant devant les voitures garées, un mec d’une cinquantaine d’années sort de sa voiture et m’arrête. Il a une grosse bosse dans son short. Il me dit qu’il veut me baiser là, direct entre deux voitures. Je me penche sur sa voiture, croupe à l’air. Il entre facilement et éjacule direct. J’aime aussi… il se retire et retourne dans sa voiture.

Je me dirige vers ma voiture au bout du parking, le trop plein de foutre coule le long de mes jambes. Pendant le trajet du retour je sens du sperme couler sur mon siège en cuir, et c’est une agréable sensation que de se trémousser les fesses dans tout ce jus.

Un moment très chaud sur une plage naturiste

Cet été je suis allé régulièrement sur une plage naturiste. A chaque fois, j’y ai passé des moments chauds, mais cette fois l’après-midi allait être « hot ». Tout a commencé en m’installant à côté d’un homme allongé qui était en train de se masturber en regardant un couple homo se faire des gâteries un peu plus loin sur la plage.

Rapidement ma main est venue remplacer la sienne en un mouvement de va et vient sur toute la longueur de sa queue. Après ma bouche est venue se substituer à ma main dans la quête du plaisir à donner à mon hôte. Pendant ce temps un homme accompagné de son chien est venu s’allonger devant nous. Lorsque j’ai levé la tête pour embrasser mon hôte, j’ai remarqué cet homme et son chien. Il était très bien pourvu par la nature et il était en train de sa masturber en nous regardant. J’ai laissé son excitation monter en alternant les caresses et les positions avec mon hôte afin qu’il remarque que je suis une bonne lope et qu’il puisse aussi apercevoir mes grosses fesses lisses et ma fente bien ouverte.

Il bandait déjà très fort et me fit un signe de la tête pour m’inviter à le sucer. Je laissais mon hôte pour me mettre à quatre pattes devant lui et le sucer goulument. Son chien était excité de me voir sucer son maître et se mit à tourner autour de moi en me reniflant le cul. Le chien se mit aussi à me lécher le cul et c’était loin d’être désagréable, au contraire ça m’excitait de plus belle. Le chien essayait aussi de me saillir mais sans y parvenir. Je sais de par mes expériences zoo qu’il faut aider un chien pour que son sexe puisse pénétrer un humain en position de levrette. Néanmoins, j’étais très excité et je gémissais doucement tout en continuant de sucer son maître.

Pendant que cette scène se déroulait devant le premier homme que j’ai sucé, un autre homme est arrivé. Ces deux hommes nous mataient debout la queue à la main. Le maitre du chien qui voyait sans cesse son chien me lécher le cul, me retourna et enfonça sa queue directement au plus profond de mes entrailles. Je me faisais prendre comme une chienne en levrette. Il me limait à fond. « Humm, que j’aime cette queue. » Il était en train de me baiser sans ménagement en me tenant par les hanches. Les 2 hommes qui se masturbaient sont venus présenter leur queue devant mon visage. Ils se sont vidés presque en même temps en une magnifique éjac faciale. Quelques temps plus tard, le maître du chien s’est vidé de tout son jus en inondant mon rectum de plusieurs giclées de sperme signalées par des râles assez bruyants.

Je restais un moment allongé sur le ventre, le visage et le cul maculés de sperme. D’autres voyeurs que je n’avais pas encore vus se sont installés près de moi, ayant bien vu que j’étais une bonne lope. L’un d’eux me caressait les fesses et y insérait un ou deux doigts. Il les ressortait et léchait le sperme qui était dessus. Je le laissais faire, je restais passif tout en écartant encore plus les cuisses pour lui faciliter l’accès à ma fente. Il continuait son exploration avec quatre doigts, puis y insérait sa main toute entière. Il y faisait quelques va et vient tout en se masturbant avec son autre main. Je sentais son excitation monter à la vitesse qu’il allait dans mon cul. A un moment il sortit rapidement sa main de mon cul et je sentis des giclées de sperme s’écraser sur ma fente. Il partit en me disant « Merci ». Et dire que je n’ai même pas vu son visage, mais peu importe, c’était un moment d’échange de plaisirs.