Je fais la pute au bois

Lorsque je vais passer la soirée dans un bois chercher des aventures avec des inconnus, c’est habillé en pute que les mecs me découvrent.

En général il ne se passe que très peu de temps avant qu’un, deux ou trois inconnus s’approchent pour venir prendre du plaisir. J’aime les mecs qui s’approchent et participent à me caresser pendant que suis occupée à sucer. Quand ils m’écartent le cul, ils aperçoivent une chatte bien ouverte et c’est des mots vulgaires qui rompent le silence.

« Quelle chatte de pute tu as, tu as dû en prendre des queues ma salope ! »

Ou alors,

« Allez, écarte bien ton cul de pute, et suce les mecs pendant que je te défonce ta chatte de lope ».

Et évidement en bonne chienne je m’exécute sans broncher et dis oui à tous, pour tous leurs désirs.

Ce soir-là, deux mecs la bite à la main se présentent devant ma bouche. Je me mets à les sucer. J’alterne entre les deux bites, au moment où je suce le premier l’autre se penche pour me doigter la chatte. Je lui tends ma croupe, direct, afin de lui faire comprendre que je suis aussi disposée à me faire baiser. J’ai de la chance, le mec ma l’air d’être un bon actif car il me travaille le cul de ses doigts avant de me prendre par les hanches et de m’enfoncer sa queue dans la chatte.

Il commence ses va et viens, il y va doucement et le plaisir qu’il me procure est intense.

« Ça va, c’est bon ? » me demande-t-il

« Oui…, vas-y continue »

C’est tellement bon que je commence à pousser de petits gémissements.

D’autres mecs m’entendent et d’un coup plusieurs bites se présentent devant ma bouche, je les suce à tour de rôle tout en me faisant baiser.

Le mec qui me baise accélère ses vas et viens, je commence à couiner comme une chienne.

« T’aime ça p’tite lope ? » me dit-il

« Mmmm, oui, c’est bon !!! »

D’autres inconnus viennent autour de nous, me regardent me faire piner comme une chienne. Je me fais caresser le dos, certains me prennent par la tête pour que je suce leur queue, il y en a même un qui me largue tout son foutre dans la bouche que j’avale et me dis avant de s’éloigner :

« T’es une bonne pute toi… »

La jouissance du mec qui me baise commence à venir car il accélère de plus en plus ses mouvements et envoie toute sa semence en plusieurs giclées tout au fond de ma chatte. Il se retire et me donne une gentille petite claque sur le cul avant de repartir. Un mec que j’étais en train de sucer prend la peine de mettre une kpote et s’enfonce dans mon cul bien lubrifié de foutre, là encore je me conduis comme une petite pute en haletant comme une chienne en chaleur. Visiblement très excité il ne tarde pas à jouir en retirant sa kpote et me largue de longs jets de sperme sur la fente.

Ce soir-là, je ne sais pas combien il y a de mecs autour de moi mais la seule chose que je peux dire c’est que les bites s’enchainent dans ma bouche et dans ma chatte. Il y en a même un qui après m’avoir fisté délicieusement, me remplis la chatte de pisse.

En fin de soirée, en marchant vers la voiture, mes bas étaient maculés d’un mélange de foutre et de pisse qui dégoulinait de ma chatte.

Baise dans les chiottes de l’hôpital

Suite à une annonce passée sur un site de cul, je reçois un email d’un homme me demandant mes disponibilités. Je lui réponds que je suis disponible généralement en fin d’après-midi après mon travail, ou bien en soirée ou bien certains week-ends.

waloou_001Il me répond, qu’il peut se libérer en matinée le dimanche et me fixe un rendez-vous dans le parc d’un hôpital parisien. J’ai trouvé le lieu un peu spécial, mais comme je suis assez exhib, certains lieux publics m’excitent énormément. De plus cet homme me parait être assez directifs et ce n’est pas pour me déplaire, au contraire.

Le dimanche matin, j’arrive au point de rendez-vous, il est là.

C’est un homme la petite quarantaine bien bâti, en blouse blanche. Après quelques échanges il m’invite à le suivre. Nous traversons quelques allées, divers couloirs, jusqu’à arriver sur une salle d’attente vide. De cette salle, un dernier couloir nous mène à deux toilettes. Il me dit d’aller dans celle de fond et l’homme me suit. Il ferme le loquet de la porte derrière nous, j’observe le lieu, c’est une toilette assez grande avec un petit lave-main contre le mur.

L’homme ôte sa blouse et baisse son pantalon. Ouah !! Sa bite est énorme, il bande déjà bien dur. Il m’ordonne de me déshabiller et de ne garder que mon string rose, ce que je m’empresse de faire rapidement tout en matant cette belle bite qui allait me défoncer le cul.

Je me penche sur cette longue et grosse bite super raide avec des couilles bien pendantes que je malaxe, l’homme me met directement un doigt dans le cul. Je me penche en avant pour lui faciliter le passage, puis un deuxième doigt et un troisième doigt viennent accompagner le premier doigt au fond de mon cul. Il écarte les doigts pour parfaire le passage ; entre nous mon cul se dilate assez bien et il n’a aucune difficulté pour s’introduire de se coté là.

waloou_002Je suce sa bite en faisant tourner ma langue autour de son gland épais, titille le méat. Je tète à fond sa bite qui tape dans ma luette en fond de gorge. Je sens qu’il apprécie cette pipe car ses doigts font des va-et-vient de plus en plus rapide dans mon trou.

D’un coup, il me dit « Tu m’as bien excité, j’ai envie de te la mettre dans le cul ». Je me retourne et me met en levrette sur le couvercle baissé des chiottes. Il enfonce sa bite d’un coup sec bien au fond de mon cul, déjà bien mouillé après la fouille de mon rectum. L’homme se met à me baiser sans ménagement en me tenant par les hanches jusqu’au moment où je sens plusieurs contractions qui signalent les giclées de sperme qui inondent mon rectum.

L’homme sort sa bite luisante et la vue du sperme chaud qui dégouline de mon trou vers mes couilles l’excite toujours autant. Je sens ses doigts s’introduire entre mes fesses et forcer un peu le passage de mes sphincters. Ça y est sa main est avalée entièrement par mon cul. Je suis en transe, le mélange de mouille avec son sperme graisse parfaitement mon trou et l’homme se met à me fister allégrement pendant encore un moment.

Après il me fait lécher sa main et relève son pantalon. Il sort des toilettes pendant que je me  rhabille. Après être sorti à mon tour, en marchant en direction de la cafétéria de l’hôpital pour aller me rafraichir, mon cul endolori me rappelle ce que je viens de vivre.

Entre foot et foutre, moi j’ai décidé

Durant l’euro 2016, le mois de juin n’était pas folichon en ce qui concerne la météo, il était frais et pluvieux. Heureusement il y a l’euro de foot à la télé.

Entre « foot » et « foutre », moi j’ai décidé. Eh oui, on ne se refait pas, le besoin de sucer et prendre de la bite est toujours présent.

Pour cela, je sors faire quelques escapades dans les bois de la région en tenue de salope, et pour ceux qui me croiseront, ce sera comme d’habitude, la bouche et la chatte en libre-service pour vous soulager.

Ma récompense : Donnez moi votre foutre sans modération.

Gang bang dans un sex-shop

Je veux vous faire part de ma dernière expérience de pluralité masculine. Elle se passe dans un sex-shop de la capitale où je m’offre en lope soumise et docile à des inconnus. C’est un sex-shop connu par son esprit d’ouverture pas très loin d’une tour. Le soir venu, sur les coups de 18h, je me présente à l’entrée, passe un « bonjour » au patron, très sympa d’ailleurs, je file au fond de la pièce et m’engage dans l’escalier en colimaçon qui descend au sous-sol. A droite, il y a deux cabines assez spacieuses (3 places) et un WC, à gauche un couloir et des cabines des deux côtés. C’est une heure de grande affluence, beaucoup de parisiens passent par-là après le travail. J’entre dans une cabine libre (j’ai dû attendre 10 minutes), allume la lumière et ferme le loquet de la porte derrière moi.

J’enlève mes vêtements de mecs pour ne plus porter que les dessous préalablement enfilés : un soutien-gorge noir seins nus, un porte jarretelle noir avec des bas résilles, un string rose fluo, une minijupe en vinyle noire. Je complète ma tenue en ajustant ma perruque brune, j’enfile mes escarpins noirs et un coup de rouge à lèvre pour apporter la touche finale. Me voilà travestie soumise et sexy. Je range mes vêtements de mec dans mon sac à dos.

Les fesses de la lope Waloou

Déjà toute excitée par l’ambiance, je mets ma carte pour visualiser un film de travestis, éteint la lumière, et entrouvre légèrement la porte de la cabine. Le couloir est éclairé, du monde passe et je sais que rapidement des mecs vont jeter un œil à l’intérieur de la cabine. Je m’assieds dans le fauteuil devant l’écran de télévision et patiente en matant le film.

Des mecs passent, jettent un regard à l’intérieur de la cabine… Un premier candidat, la cinquantaine, passe plusieurs fois. Je lui fais signe d’entrer, ce qu’il fait rapidement. Il baisse sa braguette, sort sa queue qui bande déjà fort et me la présente à sucer. Je m’exécute, je suis là pour ça, et commence à le pomper en restant assise dans le fauteuil. J’aperçois du coin de l’œil un deuxième candidat, la quarantaine un peu ventru. Je me lève pour lui donner un accès plus facile à ma personne. Il me caresse les fesses après avoir remonté ma jupe. Je me laisse faire car je suis trop occupé à sucer le premier. Je sens que l’homme derrière moi à envie de me baiser, du coup je vais aussi le prendre en bouche pour l’exciter. J’alterne entre la queue du premier et la queue du second que j’engouffre à pleine bouche. Je lui mets une capote et le laisse retourner derrière moi pendant que je reprends le premier en bouche, qui ne tardera pas à cracher tout son jus au fond de ma gorge au rythme des va et vient entre mes fesses du second. Son ventre martèlera mes fesses de plus en plus rapidement jusqu’à l’explosion. Il a dû me limer 5 minutes avant de tout cracher son jus dans la capote. Des voyeurs sont là sur le pas de la porte, la bite à la main, et dès qu’une place se libère, je me retrouve rapidement avec une bite dans la bouche, des doigts qui me fouillent le cul ou des mains qui me claquent les fesses avec plus ou moins de douceur.

Je suis de plus en plus excitée et je me retrouve assez rapidement avec trois queues différentes à sucer. Ma bouche est occupée à 100%, j’adore ça, quel plaisir d’avoir plusieurs hommes, sentir les mains me caresser sur tout le corps. L’un des trois que je suce me donne du poppers, il en sniffe aussi, puis met une capote et se positionne derrière moi pour me baiser, je mouille du cul tellement je suis excitée. Je suis d’ailleurs toute trempée, il commence à faire très chaud dans cette cabine. Les deux hommes que je suce finissent par gicler sur mon visage. Pendant ce temps l’homme de derrière me baise toujours, il a très chaud à force de me pilonner, et il décide de changer de position. Il s’assoit sur le fauteuil et moi je viens m’empaler sur sa queue, et je rythme les va et viens. J’ai chaud, j’ai du sperme qui dégouline de mon visage, j’essaie d’en avaler une goutte au passage. Nous resterons encore comme ça un quart d’heure avant qu’un râle assez fort de mon amant m’informe qu’il jouit. Je resserre mes sphincters pour qu’il se vide bien à fond. Il reprend ses esprits, « au revoir et merci » et s’en va. Je m’essuie le visage et me rafraichit un peu.

Dans l’heure qui suit, je suce encore trois autres hommes dont un qui m’a fisté en douceur. D’ailleurs si tu te reconnais j’aimerais bien recommencer cette séance de fisting.

J’ai hâte de recommencer cette expérience que je conseille à toutes les lopes travesties comme moi.

Lope à l’abattage dans un foyer

L’idée de me faire prendre à la chaine m’excite beaucoup, mais comment organiser un vrai plan abattage en toute sécurité ?

J’ai déjà essayé d’organiser ce type de plan dans une chambre d’hôtel, mais j’ai toujours eu un résultat assez mitigé ; sur la totalité des participants qui m’ont promit de venir me baiser, il n’y en a à peine un quart qui passent me réchauffer les orifices… Les attentes entre les participants sont bien longues.

Je me décide donc de passer un message sur un site de petites annonces, « vivastreet » pour ne pas le citer, afin de trouver un maître pour l’organisation d’un plan abattage.

Voici le message passé : 

Lope recherche un partenaire spécial

Je recherche uniquement une personne capable d’organiser abattage, gang bang, bukkake, les autres vous pouvez zapper.
Une chaude lope ronde de 49 ans (1m75 pour 90kgs) s’offre comme femelle docile pour plans culs hard sans tabous sauf brutalité.
J’adore les saillies à la chaine, le pompage avec arrosage, le travail de la chatte et des tétons, les fessées, l’uro, faire photos et vidéos en action.
Disponible en soirée en semaine, je cherche une personne sérieuse (pas un dingue et amateur).
Contact impératif par tél, impératif pour mettre au point le plan, le scenario, les limites.
Je le répète, plutôt deux fois qu’une, je recherche une personne sérieuse, je cherche du réel; les mythos, les amateurs d’un simple plan cul à deux, passez votre chemin.

Bisous

Parmi  toutes les réponses plus ou moins farfelues reçues, je n’ai surement pas été assez clair dans mon annonce, une réponse attire mon attention :

« … Un maitre connu sur la place organise plan abattage, etc … »

J’entre en contact avec lui, le feeling passe très bien, son sérieux et des garanties sur ses soirées m’ont été fournies, et après avoir mesuré le pour et le contre de son scénario, il m’a convaincu.

Sa proposition est de m’emmener dans un foyer pour me faire prendre à la chaine. Il faut que je sois épilé, une perruque cheveux longs, maquillé, string ficelle, bas résille et hauts talons, le reste n’a pas d’importance car là ou il va m’emmener, les mecs sont excités rien qu’à la vue d’un look bien pute.

Le soir tant attendu arrive, le rendez-vous est fixé à 20 heures boulevard Mac Donald. Je gare ma voiture et attend tranquillement à l’intérieur, un peu tendu mais très excité.
Je repère la voiture de mon maître, quitte ma voiture et monte dans la sienne à coté de lui.

Pendant qu’on roule vers un foyer en banlieue, mon maître me dit de le laisser faire à l’entrée, qu’il connait bien les vigiles qui vont nous laisser entrer.
On arrive devant un foyer de migrants africains. On entre, on va saluer les deux vigiles au rdc et on prend l’ascenseur pour le 4e étage, le dernier. Là on prend un couloir et au bout il y a une chambre qui est pour moi.

Devant la chambre il y a déjà  5 ou 6 africains sénégalais ou maliens qui attendent assis sur une chaise. Je me dis que s’ils attendent pour moi, ça va être assez sportif. On entre dans la chambre, je sors ma boite de 12 capotes et mon tube de gel, mais mon maître sort une boite encore plus grosse, de 50 capotes. Puis il sort et me dit que c’est parti.

Vite je me mets à l’aise et me passe deux doigts de gel dans le cul. Je suis encore en train de me l’étaler que le premier mec entre. Il baisse son pantalon et sort sa queue sans dire un mot, moi je me mets en levrette sur le petit lit et je lui montre bien mon cul pendant qu’il enfile sa capote. Il écarte la ficelle de mon string, puis il me baise tranquillement. Et comme ça pendant à peu près deux heures les africains se succèdent dans la chambre. Des fois je n’ai même pas le temps d’aller au lavabo me passer un peu d’eau pour me rafraichir. Ils jouissent tous dans leur capote. Et la file d’attente ne diminue pas devant la chambre. Certains mecs durent très peu et jouissent très rapidement, d’autres donnent des coups de reins assez forts, je sens leur queue taper au fond. Je les prends toujours en levrette en écartant bien les fesses.
Sur le coup de 22 heures, ça se complique un peu parce que les deux vigiles montent et demandent à tirer un coup eux-aussi. Ils baissent leurs pantalons et l’un des deux m’introduit sa queue dans la bouche et commence à me baiser méthodiquement, comme si c’était une chatte. L’autre me plante sa queue bien à fond dans mon cul. Il me dit que mon cul est ouvert comme une cuvette de chiottes.  Je le sens mettre du gel et y introduire en même temps 3 ou 4 doigts, et se met à me défoncer le cul. Il sort et re-rentre plusieurs fois de suite.

Ça dure comme ça pendant 20 minutes.
A la fin, celui qui est dans ma bouche y éjacule bien au fond sans se retirer. Je ne peux rien faire, je sens sa giclée couler dans ma gorge. L’autre un peu après sort de mon cul et enlève sa capote et me jouit sur les fesses.
Après ils sortent de la chambre et je prends le temps de me rincer. Puis je reprends le rythme pendant encore à peu près deux heures.

A la fin, mon maître me dit que je me suis enfilé 27 queues. On s’en va avant le changement de garde des vigiles. Il me ramène à ma voiture et je rentre chez moi, le cul et le bas ventre bien endolori.

Baise sur un parking

Ce soir-là, je roule, il est environ 20h, il fait doux et j’ai envie d’une bonne bite à me mettre sur la langue ou dans le cul. Comme je ne passe pas loin d’un lieu de drague que je connais, je décide de faire un détour pour m’y rendre, et peut être… trouver ce que je recherche. Je prends le chemin qui m’emmène au parking, et en approchant, je remarque qu’il y a pas mal de voitures déjà garées.

Je me dis, « Chouette, c’est bien parti !! ».

Je descends de voiture et entre dans le bois.

Une nana, la cinquantaine, sur une table en bois en train de se faire baiser pendant qu’elle suce un autre mec. Le mec qui la baise avec fougue m’a l’air pas mal monté, et je m’imagine déjà à la place de la fille.

Plusieurs mecs aux alentours, se masturbent en matant ce spectacle. Le mec en train de se faire sucer doit être son compagnon ou maître car il souhaite que d’autres mecs viennent aussi participer et mettre leurs queues dans la bouche de la fille.

Par expérience je sais que sur ces lieux de drague, il y a une majorité de voyeurs…

En attendant, je me mets avec eux, j’ôte mon short et me branle doucement.

« Putain, j’ai grave envie de me faire prendre le cul. »

Vous imaginez la scène; un mec baise à fond une nana, elle couine, sa bouche suce à tour de rôle deux à trois autres queues… des mecs matent en se masturbant, et moi je vois des queues raides autour sans pouvoir y gouter.

« Mon excitation monte, j’ai grave envie … »

Au bout d’un moment, le mec sort du cul de la « pute » et jouis. Les mecs dans la bouche font la même chose, les voyeurs rangent leur queue et foutent le camp.

Je me dis que c’est le moment d’agir; Mon short étant déjà ôté, je me penche en avant sur un arbre, le cul tendu entre-ouvert et moite. Je me dis qu’il y a bien un mec qui aura envie, après avoir vu cette séance de baise excitante.

Derrière moi un bruit de craquement, c’est deux mecs, un jeune et un plus âgé qui s’approchent.

  • Je dis : « Elle m’a excité cette pute en se faisant baiser comme ça »
  • L’un me répond : « Ouais mec moi aussi je suis excité »
  • L’autre : « Ouais j’ai la queue raide et les couilles pleines »

Le plus vieux pose ses mains sur mon torse et me caresse, le plus jeune s’astique la queue; Une belle queue fine, longue et déjà violacée au bout et des couilles bien pendantes. Je me penche en avant pour engloutir ce joli membre. Le jeune me saisit la tête pour me baiser la bouche. En même temps je sens les mains rugueuses du plus vieux me parcourir de long en large; Il doit apprécier la douceur de ma peau épilée. Tantôt un doigt ou deux effleurent mon anus. Il ne perd pas de temps, il enfile une capote, crache sur mon trou, présente son gland devant l’orifice anal et me pénètre avec violence pour me défoncer le cul.

J’ai deux queues en moi, et je me fais prendre comme une chienne, il est entré dedans comme dans du beurre, j’aime la bite… j’aime sa bite. Il me lime à fond, son ventre est en train de claquer sur mes fesses.

Autour de nous, d’autres mecs sont en train de se masturber en ne perdant pas une miette de cette séance.

Le premier explose dans un long jet épais au fond de ma gorge, suivi d’autres jets moins abondants.

Après l’avoir bien nettoyé pour ne pas en perdre une goutte, je le libère de ma bouche pendant que le deuxième continue de ma labourer le cul. D’ailleurs, il ne tarde pas lui non plus à jouir. Il se retire, jette la capote et remballe lui aussi sa queue.

Après ça, j’ai envie que les mecs qui se masturbent autour de moi me souillent, qu’ils me crachent dessus, me pissent dessus, et éjaculent sur mon cul nu et offert. Un premier, s’approche pour se vider les couilles sur mes fesses, ce qui donne le top départ pour un bon arrosage, mélange de foutre et de pisse.

Une lope au sex-shop

Je profite d’un petit moment en ce début d’année pour vous raconter cette soirée qui se déroulait dans une grande ville du sud-ouest en novembre dernier.

Pour planter le décor, cette escapade se passe dans un sex-shop qui possède des cabines et une salle de ciné en sous-sol.

Dans la mesure du possible, j’essaie de préparer au mieux mes virées nocturnes afin que je n’en retire aucune frustration; c’est pour cela que j’avais passé une annonce quelques jours auparavant dont voici un extrait…

… Au sex-shop ou au ciné X, je suce toutes les queues qui se présentent sans capote, vous pouvez décharger de suite ou m’enculer (avec capote) aussi longtemps que vous voudrez. Quand votre queue ressort de ma chatte, j’enlève la capote et je vous reprends en bouche pour faire gicler votre jus. J’aime recevoir votre foutre en plein visage et je finis de vous vider dans ma bouche en léchant votre queue jusqu’à la dernière goutte. Pour les hommes vraiment pervers qui en ont envie, ils peuvent m’asperger de leur « champagne » dans les toilettes du fond de la salle.

J’y serai en fille habillée sexy, châtain cheveux courts, top ou chemisier décolleté, jupe noire très courte, bas auto-fixant noirs, soutien-gorge noir à bonnets ouverts. Je porterai aussi un collier de chienne…

Au plaisir de vous y faire plaisir…

Autant vous dire que je connais ce lieu, et avant de partir de ma chambre d’hôtel, je me prépare, enfile un jogging par-dessus et mets un imperméable. Dans mon sac à dos, ma perruque, et mes escarpins.

Après un petit transport en bus, je continue ma transformation dans une sanisette non loin du sex-shop. Je retire le jogging, mets mes escarpins et ajuste ma perruque. Je ressors ainsi vêtue, et marche d’un pas assez pressé par l’excitation en direction du sex-shop.

Je pousse le rideau à l’entrée et flâne un peu dans les rayons. Des hommes étaient là, se regardaient, et commençaient à me mater. Ils avaient compris qui j’étais et ce que je suis venu chercher ici.

Après un petit moment, je sens l’excitation monter et je décide d’aller à la caisse prendre une place pour la projection en salle au sous-sol.

Je descends l’escalier, des hommes tournent dans le couloir, et moi, j’entre dans la salle au bout du couloir, je m’assois sur un fauteuil non loin des toilettes après avoir retiré mon imperméable. Mes yeux s’habituent peu à peu à l’obscurité ambiante et je vois que la salle est quand même assez remplie.

Alors que je commence à regarder le film, un homme assis à côté de moi se masturbe. Une bite énorme, longue et de gros diamètre qui se tient au garde à vous.

Je me mets à genoux sur mon fauteuil et je commence à sucer cette bite qui envahit ma bouche.

  • Lui : Oui ! Tu suces toujours aussi bien, toi ?

Je ne réponds pas, je suce. Mes mains glissent sur ses fesses poilues et bien fermes. Elles s’égarent entre les cuisses, dans la raie toute chaude et soupèsent ses couilles volumineuses.

  • Lui : T’es vraiment une super bonne salope.

Puis, il me prend la tête et s’active de plus en plus, il m’attrape la tête pour me baiser la gueule. C’est lui qui dirige. J’arrive à peine à respirer tellement sa bite rempli ma gorge. Je m’agite en lui aspirant le gland puis je lui suce les couilles jusqu’à ce que de longs jets de foutre tiède vinrent s’écraser au fond de ma gorge, j’avale tout, aspire bien la dernière goutte. D’autres hommes sont autour de moi, un mateur s’est rapproché et s’est mis derrière moi et commence à me caresser le trou tout en se branlant pendant que je branle d’autres bites; j’ai vite compris qu’il voulait m’enculer.

  • Lui : J’ai trop envie de te la fourrer dans le cul. T’as une capote ?

Bien placé à genoux sur le fauteuil, la croupe bien relevée, je lui en tends une qu’il déroule sur son engin. Je me tartine le trou de gel lubrifiant et je lui présente mes fesses lisses. D’un coup sec il me pousse sa tige bien au fond de mon cul. C’est rapide mais efficace. J’ai juste une petite douleur à l’entrée puis rien que du plaisir et m’encule pendant un long moment. Il ne veut pas décharger dans mon cul et il part après m’avoir bien dilaté le trou. Par la suite il est repassé deux ou trois fois toujours la bite à la main pour que je le suce; j’ai aimé sa bite. Un moment plus tard un autre homme est venu le remplacer. Il a une plus petite bite, il me maintient la tête pour le sucer en fond de gorge.

Pendant ce temps, bien occupé j’entends ces échanges derrière moi :

« C’est vraiment une bonne pute ! Tu veux l’essayer ? » Demande mon enculeur du moment à un homme qui attend.

Il lui répond « Après toi !  Vas y !  Te gêne pas… ».

Un moment plus tard, après quelques giclées de foutre sur mes fesses, un autre homme essaye de me caresser alors je lui présente mon cul face à lui, il met une capote à sa main qui commence à se frayer un passage entre mes fesses et au bout d’un moment il me dit :

  • Lui : Chienne, suis moi dans les chiottes, c’est ta place…

Il me tire par l’anneau de mon collier de chienne et m’oblige à le suivre dans les toilettes. Ce spectacle attire les hommes à nous suivre.

Je retire ma jupe et mon top et m’installe à quatre pattes uniquement en bas et soutien-gorge, et déjà quatre hommes sont autour de moi la bite à la main. Le mec le plus directif qui m’a emmené là, se place derrière moi et me caresse les couilles et tire sur ma bite molle pendant qu’il m’enfonce sa main dans le cul. Il me travaille le cul et les couilles tout en me traitant de « grosse pute, garage à bites… ». Les autres hommes s’occupent de moi et utilisent ma bouche comme ils veulent. C’est une situation excitante, j’ai une main dans le cul, des bites que je suce à tour de rôle, et je branle d’autres bites en même temps. J’ai senti des hommes se vider sur moi, et j’ai bien étalé leur foutre.

Le mec qui était très dominateur et directif est resté ensuite et m’a dit avant de partir que si je ne portais pas de bas et que si j’étais plus dilatée il me prendrait bien comme lope et aimerait être mon Maître… « c’est impossible, je n’habite pas cette région, mais sur Paris, si je tente un Maître, pourquoi pas… »

Ce spectacle a aussi l’avantage d’exciter la libido des hommes autour de moi. Un homme s’approche et me présente vite sa bite, il est très dur la bite bien dressée.

  • Lui : Salope, pompe-moi ! Pompe-moi bien à fond…

C’est un plaisir de le sucer et de lécher ses couilles et son cul pendant que les autres hommes se branlent en attendant qu’une place se libère pour combler un de mes orifices.

  • Lui : Je vais te cracher à la figure. Je vais t’inonder la tronche avec mon jus de mâle !

Il décharge tout son foutre épais sur ma figure. Les hommes présents profitent bien de moi et moi je profite bien de leur bite. Après qu’un dernier homme me baise comme une reine, c’est le plus attentionné de cette soirée. Sa technique est vraiment géniale, il s’enfonce profondément, ressort presque pour mieux replonger sa bite dans mon trou. Puis au bout de dix minutes, il me dit qu’il n’en peut plus… qu’il va jouir. Ce qu’il fait d’ailleurs en se mordant les lèvres pour ne pas hurler! Après il vida sa capote sur ma figure.

Je suis resté comme ça un long moment et un mec timide est venu pour me juter et me pisser dessus, puis m’a remercié et est parti.

Je me suis essuyé grossièrement et rhabillée encore toute dégoulinante de pisse et de jus, et en marchant dans la rue en direction de ma chambre d’hôtel, je pouvais sentir les effluves de foutre et de pisse mélangées pour mon plus grand plaisir.

Voilà une soirée bien débridée dans un lieu chaud de cette ville.

 

Une lope blanche au service de la queue

 waloou_034En tant que bonne lope, j’éprouve un grand bonheur d’être mise à la disposition de mâles aux couilles pleines (peu importe le physique et l’âge du moment que l’hygiène est parfaite).

J’aime leur réaction quand ils ont compris quelle pute se trouve à genoux devant leur queue mais aussi à quatre pattes quand ils découvrent mon gros cul et ma chatte de femelle.

Là, ils comprennent que ne suis qu’un trou à remplir sans ménagement.

Les mots crus tels que : salope, pute, chienne, pétasse, truie, sac à foutre se mêlent aux gémissements et aux claques sur mes fesses.

 

Sa queue et mon cul … une belle histoire

Je vais vous raconter cette histoire car j’ai toujours un énorme plaisir à rencontrer cet amant qui en est le personnage clé. Je peux vous dire que c’est un fidèle et que je suis accro à sa queue et qu’il est accro à ma chatte.

Au fil de mes rencontres, j’ai rencontré Marc; je vais l’appeler Marc mais ce n’est pas son véritable prénom, je souhaite rester discret car cet homme et marié et père.

Marc est un bel homme qui sent toujours bon, maintenant la cinquantaine, 1m80 environ, cheveux gris coupés très courts, un torse velu, une queue dans la moyenne supérieure et très endurante. Il vit dans une belle région du sud de la France.

Pour son travail, il vient régulièrement sur Paris, et dès qu’il réserve sa chambre, il m’envoie un texto pour bloquer une soirée à deux. C’est à chaque fois une excitation grandissante jusqu’à cette soirée.

Quand je viens rendre visite à Marc, on garde toujours le même rituel pour garder cette magie d’une rencontre sans qu’il me voit en homme. Une fois sur place devant sa chambre, je frappe à sa porte, il entrouvre la porte et m’invite à me faufiler directement dans la salle de bains sans que l’on puisse se regarder.

Je me prépare tranquillement, me maquille, ajuste ma perruque, me parfume pour me présenter à lui en bonne chienne à baiser.

Pendant ce temps, Marc boit une bière et se met à son aise sur le lit et s’allonge sur le dos.

Quand je sors de la salle de bains et vient rejoindre Marc sur le lit, il m’embrasse… Nous échangeons des baisers, lèvres et langues.

Je commence à caresser son torse, ses couilles, sa queue qui ne tarde jamais longtemps à durcir, puis ma bouche, mes lèvres s’occupent de ses tétons et descendent s’occuper de son biberon qui est toujours très agréable en bouche. Je n’oublie pas ses couilles que je gobe délicatement et que je roule doucement sous ma langue et son anus que je lèche avec ma langue.

Marc se laisse faire, il se détend …

Pendant que je le biberonne bien délicatement, Marc me caresse et me titille les tétons, mes seins sont à lui, il aime aussi m’introduire un doigt, puis deux, trois, etc … Il me claque les fesses, ce qui à tendance à m’exciter encore plus.

Dès qu’il est bien dur, je me mets en levrette devant lui, croupe bien relevée, genoux repliés sous moi, Marc avance sa queue, et l’introduis entre mes fesses dans ma chatte anale, déjà bien humide d’excitation et très chaude. Sa queue s’enfonce lentement bien à fond. Il entreprend des vas et viens lents, je contracte mes sphincters anaux pour lui procurer un massage de sa queue des plus experts. Sa queue s’enfonce jusqu’à la garde et il rythme les vas et viens à sa guise. Il se détend totalement, ferme les yeux, il se laisse aller, et nous profitons pleinement de cet instant de bonheur sexuel. Ce moment dure un long moment …

Puis Marc accélère les vas et viens jusqu’à ce qu’il se lâche totalement. Ses giclées de foutre envahissent mon bas ventre, c’est ici mon moment de vrai plaisir, le sentir et l’entendre jouir. Je resserre mon fourreau anal pour extraire de sa queue les dernières goûtes de jus chaud.

Je reprend le biberon de Marc en bouche jusqu’à ce que Marc sente monter une envie de pisser. A ce moment là,  il se met debout sur le bord du lit, et je lui présente mes fesses.

Il remet sa queue dans ma chatte anale, je contracte à nouveau mes sphincters anaux , et un long jet puissant de pisse chaude envahit à nouveau mon bas ventre, c’est encore un long moment de vrai plaisir pour moi que de sentir mon rectum se remplir de liquide chaud.

Une fois la miction terminée, Marc se retire prudemment de ma chatte et me tend un récipient que je glisse sous mon trou en position accroupie. Ce sera ma récompense finale. Je lâche doucement tout ce mélange de foutre et de pisse qu’il m’a inséminé.

Marc ne perd pas une miette de ce spectacle et ne tarde pas à remettre une nouvelle dose de foutre dans le récipient. Une fois la chatte bien vidée, j’amène ce récipient à mes lèvres et je déguste avec délectation cette liqueur.

Marc me dit « Tu sais que tu es bonne ma salope !! ».

Je hoche la tête en lui souriant et il sourit aussi.

 

Des bites au sauna

Dans une petite ville de province, un mercredi après-midi ou je peux me libérer de mon travail, je pars me détendre dans un sauna gay.
Après avoir payé les 21€ et récupéré une clé et une serviette, direction le vestiaire pour me libérer de  mes vêtements troqués contre une serviette que je noue autour de ma taille.
Découverte des lieux : Il y a un hammam, deux saunas secs, un jacuzzi, des cabines privées, des compartiments à glory-hole, une backroom, des emplacements sombres dans les couloirs et une petite pièce avec des canapés et un grand écran ou passe une vidéo porno, bref l’équipement que devrait avoir n’importe quel sauna.
Une bonne douche, et préparation de l’anus avec du gel pour ne pas me faire déchirer le cul par le premier homme à me fouiller l’intimité.

Allez hop, direction le hammam.
  waloou_32 Sitôt après avoir passé la porte du hammam, mes yeux n’étant pas encore habitués à l’obscurité, je trébuche plusieurs fois sur des pieds inconnus avant de trouver à m’asseoir sur un rebord en carrelage.
Je me dis, chouette du monde, c’est un signe prometteur.
Peu à peu, mes yeux s’habituent à l’obscurité, et je découvre l’homme assis à côté de moi. Il a une main sous sa serviette et se caresse lentement.
Après un échange de regards, il ouvre sa serviette et je vois sa bite qui bande déjà bien… je comprends qu’il veut que je le suce.
Ni une, ni deux, je me penche vers cet objet de plaisir moyennement long rose et trapu que j’engloutis en entier et je me mets à le sucer doucement en prenant bien soins d’écarter mes jambes pour lui laisser libre accès à mon cul. Pendant que je le suce, je lui masse les couilles avec mon autre main. Mon cul est tout humide de désir. Mon homme, s’y aventure et me mets un doigt. Je gémis un peu et je me mets à le sucer de plus en plus goulument alternant entre sa bite et lui lécher les couilles. Il me masse le cul la chatte et entre un deuxième doigt en elle.
Je suis certain qu’il va vouloir me baiser, il prépare le passage et vérifie probablement la propreté intérieure. Aucun soucis, je me prépare toujours bien le rectum avant mes sorties, je n’ai pas envie de rater une bonne baise à cause d’une propreté intérieure douteuse.

Au bout d’un moment (en effet, il a vérifié que j’étais propre), il me demande si je ne veux pas aller en cabine avec lui, j’ai bien entendu accepté sa proposition.
«Allez, là-bas, nous serons tranquille » dit-il en m’emmenant dans une cabine. Il ferme la porte derrière nous, et sans trop hésiter, il se met derrière moi debout, et pénètre ma chatte très accueillante avec sa bite bien dure, ses mains malaxent mes seins, et il me mordille le lobe de l’oreille.
J’ouvre la bouche et j’écarte les jambes un peu plus pour qu’il puisse être capable de me pénétrer encore plus profondément et il commence des va et vient lents. Son rythme s’accélère est devient plus fort et il pousse à chaque fois un peu plus fort et plus profond dans mes entrailles, je m’élargis peu à peu. Je me branle et ses coups de bites me procurent un orgasme et j’éjacule de grosses giclées de foutre par terre, je gémis et tremble debout, et je peux à peine rester sur mes pieds.
D’un air satisfait, il retire sa bite de ma chatte et me fait m’agenouiller devant lui.
« Viens, ouvre la bouche, je vais jouir sur toi » dit-il, et il se met à se masturber contre ma joue puis explose dans ma bouche. Le premier jet de foutre coule sur ma langue, puis il gicle sur mon visage et mes seins et une fois ses couilles vidées, je prends sa bite dans la bouche pour la nettoyer et sucer goulûment les dernières gouttes de son foutre chaud.
Je le remercie avec un baiser foutreux, puis je pars me prendre une douche rapide et je suis maintenant prêt à faire face à mon lieu de prédilection.

waloou_005Je prends l’escalier pour aller dans la backroom. Je mets ma serviette autour du cou et marche dans cette salle complétement obscure. J’avance lentement en tendant bien les oreilles pour me faire une idée précise de ce qui s’y passe.
J’écoute les sons des hommes qui se déplacent, les sons de succion de bite, les lourdes respirations, les claques sur les fesses, les gémissements de plaisir.
Vous passez par le contact (le toucher) et ça devient étonnement facile de dire s’il y a beaucoup de corps à côté de vous, s’ils sont grands, petits, minces, lisses, musclés ou enrobés.
Bien sûr, c’est très excitant et à force de toucher, de se faire toucher par plusieurs mains en même temps, ma bite molle redevient dure. Mes yeux commencent à s’adapter à l’obscurité, et lentement les formes sont perceptibles, assez vagues mais reconnaissables.
Je donne cinq fellations à des hommes attrayants dans l’obscurité, un seul jouit sous mes coups de langue et un autre me donne quelques jets de pisse dans la bouche que je m’empresse d’avaler. Ces hommes sont des baiseurs en série « serial fucker », et pour réussir à choper le premier orgasme de la journée d’un homme, il faut arriver dès l’ouverture du sauna.
Même pour moi, deux bouches se sont succédé sur ma bite, et sont reparties sans le jus espéré.
Il est délicieux de se déplacer parmi toute cette masculinité excitée, cette moiteur, ces odeurs différentes, ces bites de différentes tailles, affamées ou satisfaites, mais j’ai envie de faire une petite pause bien méritée.

En sortant de la backroom pour aller au bar, je vois un homme chinois mince enlever sa serviette.
Il marche devant moi et nos regards se croisent. Je frôle ma main sur son cul. Un léger sourire m’encourage donc et je fais demi-tour et je le suit dans la backroom.
Nous nous touchons, explorons nos corps, et moi, dos contre le mur, je l’enserre dans mes bras et nos langues se mélangent dans un long baiser.
Il m’embrasse doucement, utilise sa langue bien profondément dans ma bouche, presse sa bite raide contre moi. A tour de rôle nous nous suçons mutuellement, d’autres hommes nous caressent, voulant participer, mais nous ne voulons pas partager ce moment et nous partons nous isoler dans une cabine.
Il prend un préservatif et une dosette de gel, et toujours en m’embrassant, nous nous allongeons sur le lit, moi sur le dos et lui sur moi face à moi. Il a envie de me baiser. Il déchire l’emballage du préservatif, et je lui dis « Tu peux me prendre sans préservatif, si tu le désire ». Il accepte et me pénètre doucement. Je le regarde et nous nous embrassons à nouveau pendant qu’il me baise. Au bout d’un petit moment, sa respiration s’accélère au rythme de son excitation, jusqu’à sa jouissance exprimée par des râles.

Nous restons encore un moment allongés, puis échangeons nos 06 avant de se quitter chacun de son côté.