L’heure du gardien après le Complexe Aquitain

Ce jour-là, Bordeaux m’accueillait sous un ciel gris et doux. J’étais en déplacement professionnel, mais mon esprit était ailleurs. Je n’avais pas besoin de déguisement aujourd’hui – j’étais déjà vêtue pour l’occasion : une mini-jupe en simili cuir, un top rouge qui laissait deviner mes seins, et des bas résille qui s’arrêtaient juste assez haut pour attirer le regard. Pas de string – juste la peau nue sous le simili cuir, prête à être découverte.

Le Complexe Aquitain, une adresse connue à côté de la gare, était ma destination. L’entrée était sobre, presque banale. J’ai payé ma place sans un mot, le cœur battant. À l’intérieur, J’effectue un premier repérage des lieux en me baladant entre les salles. L’atmosphère était lourde, saturée d’un mélange de désinfectant et de musc. Un film hétéro projetait des images pâles sur un écran, éclairant faiblement une salle où des silhouettes immobiles observaient, patientes.

Je me suis directement dirigée vers le couloir principal, un passage étroit plongé dans une pénombre épaisse. L’air y était chaud, humide, chargé de souffles et de gémissements étouffés. Des hommes se tenaient adossés aux murs, certains nus, d’autres à moitié habillés. Leurs regards me déshabillaient, m’évaluaient. J’ai senti mon ventre se serrer d’excitation.

Une main s’est posée sur ma hanche. Je me suis retournée. Un homme, la quarantaine, barbe naissante, m’a attirée contre lui. Sa bouche a trouvé la mienne, vorace. Ses doigts ont remonté ma jupe, trouvant directement la peau nue, déjà chaude et humide. « Tu cherches quoi ? » a-t-il murmuré. J’ai souri et lui répondit. « Me faire sauter ! »

Il m’a poussée contre le mur, froid et humide. Sa bouche a parcouru mon cou, mes seins. Puis il s’est agenouillé, écartant mes jambes. Sa langue, habile, m’a fait frémir. J’ai fermé les yeux, m’abandonnant à la sensation. Autour de nous, d’autres hommes s’approchaient, formant un cercle silencieux. Des mains m’effleuraient, me palpaient. J’étais leur proie consentante.

Quand il est entré en moi, ce fut brutal, délicieux. Je me suis penchée en avant, ses mains appuyées sur mes épaules. Un autre homme s’est présenté devant moi, la bite dressée. Je l’ai prise en bouche, goûtant le sel de sa peau. Les va-et-vient se sont multipliés, rythmés par des grognements et des halètements. J’étais pénétrée, possédée, utilisée. Une éjaculation chaude a strié mon visage, puis une autre, sur mes seins.

L’après-midi a filé, entre pauses essoufflées et reprises fiévreuses. J’ai enchaîné les partenaires, les positions, les plaisirs. Le couloir sombre est devenu le théâtre de mes excès. Je n’avais rien à perdre, rien à chercher – juste à jouir, encore et encore, jusqu’à l’oubli.

L’heure de la fermeture approchant, et la fatigue commençant à se faire sentir, je me suis extirpée des bras d’un dernier inconnu. Mon corps était couvert de sueur et de sperme séché, ma tenue, défaite, collait à ma peau. Mes yeux brillaient, ma peau était marquée. J’ai souri. Ma jupe courte, mon top rouge et mes bas déchirés racontaient mon histoire mieux que des mots.

Dehors, la nuit tombait. Les rues de Bordeaux étaient calmes. Je me dirigeais vers mon hôtel, marchant vite, les jambes tremblantes. Quelques regards de passants me brûlaient, mais je gardais la tête haute.

Arrivée devant l’hôtel, je tape le code d’ouverture de la porte du hall. Une fois entrée, j’attendais l’ascenseur. Le gardien de nuit me salua d’un hochement de tête, son sourire légèrement intrigué. Mes vêtements défraîchis, mes bas déchirés et cette odeur de sexe et de sueur qui m’enveloppe ne lui ont certainement pas échappé. Je lui lance un petit sourire complice en retour et lui dit simplement « Chambre 604 »

C’était un black dans la vingtaine, regard coquin et carrure solide. Quelques minutes plus tard, alors que je viens de retirer mes chaussures et que je m’apprête à prendre une douche bien méritée, un coup discret frappé à la porte me fait sursauter. J’ouvre et je vois le gardien devant moi. Il tient une bouteille d’eau et un sourire complice. « J’ai pensé que vous pourriez avoir soif », dit-il.

Je l’invite à rentrer dans ma chambre. Il entre, pose la bouteille sur la table et son regard parcourt mon corps sans retenue. « Vous avez passé une soirée… mouvementée ? » Sa voix est basse, presque caressante. Je rougis, mais son assurance m’excite. « On pourrait dire ça », répondis-je en m’asseyant au bord du lit.

Il s’approche de moi, ses doigts effleurent mon épaule nue. « Vous savez, je vois beaucoup de choses la nuit. Des gens qui vivent leurs fantasmes en secret. » Sa main glisse le long de mon bras, puis remonte vers ma nuque. « Et parfois, je deviens une partie de ces fantasmes. »

Je ne résiste pas. Sa bouche trouve la mienne, vorace, expérimentée. Il sent le savon et la nuit. En quelques gestes précis, il défait mon top, fait tomber ma jupe. Ses mains explorent mon corps, traçant des chemins sur ma peau encore sensible des étreintes de l’après-midi. « Allongez-vous », murmure-t-il.

Je m’exécute, le regard rivé au sien. Il retire ses vêtements, révélant un corps musclé et puissant. Il s‘allonge à côté de moi, et rapidement je me trouvais à sucer son sexe bien gonflé. Ses mains chaudes me caressent les seins, puis plus bas, découvrant ma chatte encore gonflée, offerte. Ma langue est habile, j’alterne patiemment entre son sexe tendu et ses boules bien gonflées. A un moment il me fait signe de me cambrer en levrette sur le lit.

Quand il entre en moi, c’est avec une lenteur calculée, une maîtrise qui me surprend. Ses mouvements sont profonds, réguliers, comme s’il connaissait chaque centimètre de mon corps. « Vous aimez ça ? » grogne-t-il à mon oreille. Je ne réponds que par un gémissement, les yeux fermés, perdue dans cette vague de plaisir.

Il accélère, ses mains maintenant mes hanches, me possédant avec une intensité croissante. Je sens son corps se tendre, prêt à exploser. C’est plus fort que moi, je lui dis « Féconde moi ! ». Il jouit de plusieurs saccades. La vague me submerge, violente, libératrice. Quelques instants plus tard, il se retire, le souffle lourd.

Il se rhabille en silence et sur le pas de la porte, il se retourne : « Si vous avez encore besoin de quoi que ce soit… appelez la réception »

Je reste allongée, le corps vibrant, l’esprit en paix. Parfois, les hasards de la nuit offrent les plus belles surprises.

 

Vacances au Cap d’Agde – La baie des cochons

Avec mon compagnon, nous nous étions installés sur la plage, le plus haut possible contre les barrières de la dune. Le soleil était voilé, laissant filtrer une lumière laiteuse, et je sentais l’air chaud de l’été caresser ma peau. J’étais nue comme un ver, munie seulement d’une perruque, d’une paire de lunettes de soleil et d’un plug anal. Ici, à la baie des cochons, tout le monde sait pourquoi on vient et ce n’est pas que pour bronzer.

Nous étions allongés sur une grande serviette, mon sac de plage contenant entre autres mon paréo et mon string. J’étais allongée sur le ventre et mon corps réclamait un peu d’excitation. Mon compagnon versait une généreuse quantité d’huile de massage sur ma peau, et ses mains commencèrent à me masser avec lenteur, faisant glisser ses mains sur mes courbes. Ses doigts s’attardèrent sur mes fesses, les écartant légèrement pour exposer mon petit trou pluggé. Rapidement des regards coquins pouvaient nous suivre.

Un homme d’une cinquantaine d’années non loin de nous nous matait la bite à la main. Mon compagnon lui fit signe d’approcher, ce qu’il fit avec un sourire.

Son torse était couvert d’une toison poivre-et-sel. Son érection, déjà bien formée, se balançait au rythme de ses pas.

Il s’agenouilla sur notre serviette.

Mon compagnon passa une main possessive sur ma hanche avant de me donner une petite claque sur les fesses, signe qu’il approuvait la suite.

« Elle adore être prise comme une vraie salope » murmura-t-il à l’inconnu, qui sourit en ajustant son érection d’une main.

Je sentis sa main explorer mon trou et découvrir que j’étais pluggée. Il effleura le contour de ma chatte et m’ôta le plug. Je sentis ses doigts écarter mes lèvres déjà trempées, puis sa langue me surprit en traçant un chemin brûlant entre mes fesses. Un frisson me parcourut quand il goûta à mon petit trou, encore distendu par le plug.

« T’es déjà bien préparée… » grogna-t-il avant de m’asséner une claque plus forte, faisant claquer ma chair.

Mon compagnon complice nous regardait en se branlant.

Je gémissais doucement dans le sable, le ventre noué par le désir. Son souffle chaud sur ma peau me donnait des frissons. Puis, sans prévenir, l’homme cracha sur mon trou avant d’y enfoncer quelques doigts avec autorité, ma chatte étant déjà bien humide d’anticipation.

L’homme s’était agenouillé près de ma tête. Je saisissais alors sa bite déjà gonflée dans ma main. La peau était douce comme du velours sur la longueur de son membre, avec cette veine saillante que j’aimais tant suivre du bout de la langue.

Quand mes lèvres se refermèrent sur son gland, un grognement sourd lui échappa. Je pris mon temps, savourant chaque centimètre, ma langue tournant autour de son prépuce avant de plonger plus profondément.

— « T’as une belle bouche de pute, ça se voit que t’aimes sucer » haleta-t-il en faisant des vas-et-viens prononcés avec ses doigts dans ma chatte.

Je sentais sa queue durcir davantage, son goût salé se mêlant à l’odeur de la mer. Quand il commença à pousser ma tête vers son bas-ventre, je savais qu’il était proche.

— « Je vais venir… » murmura-t-il d’une voix rauque.

Je ne ralentis pas, au contraire. J’accélérai le mouvement, ma main branlant la base de sa queue tandis que ma bouche aspirait goulûment. Ses hanches s’agitèrent, puis il éjacula en une série de jets puissants qui inondèrent le fond de ma gorge. Son sperme était épais, salé, et j’avalai chaque goutte avec plaisir, ne voulant rien perdre.

Quand il fut vide, sa bite tremblait encore entre mes lèvres.

Alors que j’essuyais mes lèvres, une ombre se projeta sur nous. Un homme d’une soixantaine d’années se tenait là, sa bite impressionnante déjà bien dressée.

« Besoin d’un deuxième service ? » demanda-t-il avec un sourire canaille.

Je répondis en me mettant à quatre pattes, offrant mes fesses encore marquées par la fouille de mon premier partenaire.

Il ne fit pas dans la dentelle. Une main sur ma hanche, il m’écarta brutalement avant d’enfoncer toute sa longueur d’un seul coup. Je gémissais, mais le son se perdit dans le vent marin.

« T’aimes ça, hein ?  T’aimes te faire défoncer comme une chienne sur la plage ? » gronda-t-il en m’agrippant les cheveux.

Je ne pus que gémir en acquiesçant, sentant mon orgasme monter à une vitesse folle. Mon compagnon, voyant mon état, se pencha et commença à me branler avec énergie, ses doigts habiles stimulant ma petite bite à chaque poussée de l’inconnu.

Je sentais chaque centimètre de lui me déchirer, ses couilles claquant contre mes fesses à chaque poussée. L’huile naturelle de mon excitation se mêlait à la sueur qui coulait le long de mes cuisses.

La sensation était trop intense. Mon corps trembla, et je jouis violemment, mon sphincter se contractant autour de son sexe qui continuait de me labourer. L’homme grogna, sentant mon spasme, et accéléra, ses coups devenant plus saccadés.

« Je vais te remplir, salope… »

D’une ultime poussée, il s’enfonça jusqu’à la garde, et un grognement rauque s’échappa de sa gorge alors qu’il se vidait en moi, inondant mes entrailles.

Alors que le deuxième homme se retirait, laissant son sperme tiède couler entre mes cuisses, j’entendis des rires et des murmures autour de nous.

La plage restait animée et personne ne me jetais un regard particulier – à la baie des cochons, c’est juste une journée ordinaire.

Mon compagnon s’agenouilla près de moi et m’embrassa profondément avant d’aller nous baigner

Plan Q en déplacement

Chacun de mes déplacements professionnels suit désormais un rituel immuable : quelques annonces postées sur des sites de rencontre en y joignant mon numéro WhatsApp, et mes soirées se retrouvent agrémentées de rencontres aussi brèves qu’intenses. Des hommes de tous âges, de toutes origines, aux désirs aussi variés que leurs corps. Certains me glissent des adresses, des coins discrets pour des parties fines en plein air ; d’autres, plus audacieux, me proposent des plans à plusieurs.

Comme ce soir-là, dans ma chambre d’hôtel Lilloise.

Un Black africain, imposant et bien monté, m’a d’abord prise avec une brutalité calculée. Sa queue a envahi ma bouche, puis ma chatte, avant de déverser son foutre chaud en poussant des râles rauques. « Je reviens plus tard avec des potes », m’a-t-il soufflé en se rhabillant, « Ils vont kiffer te baiser, sale pute. ». J’étais flattée par sa proposition mais à l’hôtel je reçois un mec après l’autre dans ma chambre, question de sécurité et de discrétion et cela je n’en dérogerais pas.

C’est ainsi que pendant mes déplacements Lillois qui ont suivis, un rituel s’était engagé avec lui.

Il arrivait avec un pote qui patientait en voiture. Il montait le premier, me baisait la bouche en gorge profonde avant de me retourner comme une crêpe et de m’enculer sans préambule avec sa queue bien raide. Il me défonçait pendant une bonne dizaine de minutes puis se contractait et déversait tout son foutre au fond de ma chatte. Il partait alors, laissant la porte entrebâillée… et son pote black lui aussi prenait le relais, me trouvant à quatre pattes au bord du lit, le cul tendu, pour me défoncer en pataugeant dans le sperme de son pote, puis se contracter et jouir à son tour.

Mais ce soir-là, après un passage en début de soirée, il me prévient que ce soir ce sera différent. Je vais revenir te chercher plus tard pour t’emmener sur un parking à quelques kilomètres au sud de Lille.

Comme j’avais lié un certain lien de complicité avec lui, j’acceptais sa proposition.

Toute la soirée, pendant que d’autres hommes venaient se soulager en moi en plans rapides comme j’aime, sans blabla, je ne pensais qu’à ça. J’adore ces moments où je ne suis plus qu’un trou à bites, mais quand c’est orchestré par quelqu’un qui sait y faire, ça me met encore plus en confiance.

Peu avant minuit, il m’appelle et me dit : « Je t’attends dans la voiture en bas ».

J’étais prête, j’ai enfilé mon manteau par-dessus ma tenue de pute, guêpière en dentelle, bas résille et talons hauts, rien d’autre et l’ai rejoint. Pendant le trajet, il m’a doigté tandis que je palpais sa queue déjà dure sous son jogging. Nous passons Seclin et nous voici arrivé en lisière d’une forêt ou trois voitures sont garées sur le parking.

Il me dit : « Laisse ton manteau et ton sac dans la voiture et va te mettre à 4 pattes, cul tendu sur la deuxième table de pique-nique là-bas ».

Mon excitation est intense et j’obéis rapidement. Il reste dans la voiture à observer.

J’entends plusieurs portes de voiture se claquer et deviner des silhouettes s’approcher de moi. Rapidement un gland se positionne contre l’entrée de ma chatte. Je sens que la queue est bien dure mais peu importe je suis déjà bien ouverte et lubrifiée par les exploits de la soirée. Elle pousse et me pénètre sans difficulté, pataugeant dans tout le foutre déjà pris dans la soirée. L’homme derrière moi m’encule fort maintenant.

Un autre homme vient d’arriver. Il me présente sa queue à sucer. L’homme qui m’encule lui dit : « Attends, je vais te donner la place » et au bout de 3 minutes, il se contracte et me féconde. Humm, j’adore ce moment.

Il ressort et se met en retrait. L’autre en profite pour se positionner derrière moi et m’annonce qu’il va tout tasser. Il rentre sa queue et commence à m’enculer avec fougue. J’aperçois dans la nuit quasi noire qu’il y a 2 ou 3 mecs autour de nous la bite à la main. Tout en me prenant, il me fait faire un quart de tour sur la table de pique-nique et je me retrouve avec une nouvelle queue dans la bouche. Je m’applique à bien la sucer. L’homme derrière moi gémit et jouit dans ma chatte qui ne restera pas longtemps inoccupée. Celui que je suce, lâche la sauce à son tour dans ma bouche de pute, j’avale tout. Mon dernier baiseur ressort sa queue de ma chatte et se finira en faciale. Et là je reconnais la voix de l’homme qui m’a amené ici dire « J’ai vu que ça t’a plus, grosse pute ». Je lui réponds « Oui, j’ai adoré tes potes ». Il me répond : « Maintenant ne bouge pas je vais tout tasser ». Et comme en début de soirée à l’hôtel je sens cette queue bien raide patauger dans mon cul et le foutre qui s’y échappe en coulant le long de mes cuisses inondant la table de pique-nique. Au bout de trois minutes à m’enculer il se raidit et me féconde une dernière fois de son foutre chaud se mêlant à celui des autres dans mon cul béant.

Avant de remonter dans la voiture, je prends dans mon sac un plug prévu dans ce genre de situation et le place entre mes fesses en guise de bouchon pour limiter les fuites pendant le trajet du retour à l’hôtel de mon cul complétement souillé de foutre.

Mon manteau cachait les traces de la soirée, mais pas le sourire de satisfaction sur mes lèvres. Quelle soirée !!!

Demain matin au travail personne ne devinera qu’hier soir, j’étais à quatre pattes sur une table de pique-nique en train de me faire remplir comme une chienne en chaleur.