Des bites au sauna

Dans une petite ville de province, un mercredi après-midi ou je peux me libérer de mon travail, je pars me détendre dans un sauna gay.
Après avoir payé les 21€ et récupéré une clé et une serviette, direction le vestiaire pour me libérer de  mes vêtements troqués contre une serviette que je noue autour de ma taille.
Découverte des lieux : Il y a un hammam, deux saunas secs, un jacuzzi, des cabines privées, des compartiments à glory-hole, une backroom, des emplacements sombres dans les couloirs et une petite pièce avec des canapés et un grand écran ou passe une vidéo porno, bref l’équipement que devrait avoir n’importe quel sauna.
Une bonne douche, et préparation de l’anus avec du gel pour ne pas me faire déchirer le cul par le premier homme à me fouiller l’intimité.

Allez hop, direction le hammam.
  waloou_32 Sitôt après avoir passé la porte du hammam, mes yeux n’étant pas encore habitués à l’obscurité, je trébuche plusieurs fois sur des pieds inconnus avant de trouver à m’asseoir sur un rebord en carrelage.
Je me dis, chouette du monde, c’est un signe prometteur.
Peu à peu, mes yeux s’habituent à l’obscurité, et je découvre l’homme assis à côté de moi. Il a une main sous sa serviette et se caresse lentement.
Après un échange de regards, il ouvre sa serviette et je vois sa bite qui bande déjà bien… je comprends qu’il veut que je le suce.
Ni une, ni deux, je me penche vers cet objet de plaisir moyennement long rose et trapu que j’engloutis en entier et je me mets à le sucer doucement en prenant bien soins d’écarter mes jambes pour lui laisser libre accès à mon cul. Pendant que je le suce, je lui masse les couilles avec mon autre main. Mon cul est tout humide de désir. Mon homme, s’y aventure et me mets un doigt. Je gémis un peu et je me mets à le sucer de plus en plus goulument alternant entre sa bite et lui lécher les couilles. Il me masse le cul la chatte et entre un deuxième doigt en elle.
Je suis certain qu’il va vouloir me baiser, il prépare le passage et vérifie probablement la propreté intérieure. Aucun soucis, je me prépare toujours bien le rectum avant mes sorties, je n’ai pas envie de rater une bonne baise à cause d’une propreté intérieure douteuse.

Au bout d’un moment (en effet, il a vérifié que j’étais propre), il me demande si je ne veux pas aller en cabine avec lui, j’ai bien entendu accepté sa proposition.
«Allez, là-bas, nous serons tranquille » dit-il en m’emmenant dans une cabine. Il ferme la porte derrière nous, et sans trop hésiter, il se met derrière moi debout, et pénètre ma chatte très accueillante avec sa bite bien dure, ses mains malaxent mes seins, et il me mordille le lobe de l’oreille.
J’ouvre la bouche et j’écarte les jambes un peu plus pour qu’il puisse être capable de me pénétrer encore plus profondément et il commence des va et vient lents. Son rythme s’accélère est devient plus fort et il pousse à chaque fois un peu plus fort et plus profond dans mes entrailles, je m’élargis peu à peu. Je me branle et ses coups de bites me procurent un orgasme et j’éjacule de grosses giclées de foutre par terre, je gémis et tremble debout, et je peux à peine rester sur mes pieds.
D’un air satisfait, il retire sa bite de ma chatte et me fait m’agenouiller devant lui.
« Viens, ouvre la bouche, je vais jouir sur toi » dit-il, et il se met à se masturber contre ma joue puis explose dans ma bouche. Le premier jet de foutre coule sur ma langue, puis il gicle sur mon visage et mes seins et une fois ses couilles vidées, je prends sa bite dans la bouche pour la nettoyer et sucer goulûment les dernières gouttes de son foutre chaud.
Je le remercie avec un baiser foutreux, puis je pars me prendre une douche rapide et je suis maintenant prêt à faire face à mon lieu de prédilection.

waloou_005Je prends l’escalier pour aller dans la backroom. Je mets ma serviette autour du cou et marche dans cette salle complétement obscure. J’avance lentement en tendant bien les oreilles pour me faire une idée précise de ce qui s’y passe.
J’écoute les sons des hommes qui se déplacent, les sons de succion de bite, les lourdes respirations, les claques sur les fesses, les gémissements de plaisir.
Vous passez par le contact (le toucher) et ça devient étonnement facile de dire s’il y a beaucoup de corps à côté de vous, s’ils sont grands, petits, minces, lisses, musclés ou enrobés.
Bien sûr, c’est très excitant et à force de toucher, de se faire toucher par plusieurs mains en même temps, ma bite molle redevient dure. Mes yeux commencent à s’adapter à l’obscurité, et lentement les formes sont perceptibles, assez vagues mais reconnaissables.
Je donne cinq fellations à des hommes attrayants dans l’obscurité, un seul jouit sous mes coups de langue et un autre me donne quelques jets de pisse dans la bouche que je m’empresse d’avaler. Ces hommes sont des baiseurs en série « serial fucker », et pour réussir à choper le premier orgasme de la journée d’un homme, il faut arriver dès l’ouverture du sauna.
Même pour moi, deux bouches se sont succédé sur ma bite, et sont reparties sans le jus espéré.
Il est délicieux de se déplacer parmi toute cette masculinité excitée, cette moiteur, ces odeurs différentes, ces bites de différentes tailles, affamées ou satisfaites, mais j’ai envie de faire une petite pause bien méritée.

En sortant de la backroom pour aller au bar, je vois un homme chinois mince enlever sa serviette.
Il marche devant moi et nos regards se croisent. Je frôle ma main sur son cul. Un léger sourire m’encourage donc et je fais demi-tour et je le suit dans la backroom.
Nous nous touchons, explorons nos corps, et moi, dos contre le mur, je l’enserre dans mes bras et nos langues se mélangent dans un long baiser.
Il m’embrasse doucement, utilise sa langue bien profondément dans ma bouche, presse sa bite raide contre moi. A tour de rôle nous nous suçons mutuellement, d’autres hommes nous caressent, voulant participer, mais nous ne voulons pas partager ce moment et nous partons nous isoler dans une cabine.
Il prend un préservatif et une dosette de gel, et toujours en m’embrassant, nous nous allongeons sur le lit, moi sur le dos et lui sur moi face à moi. Il a envie de me baiser. Il déchire l’emballage du préservatif, et je lui dis « Tu peux me prendre sans préservatif, si tu le désire ». Il accepte et me pénètre doucement. Je le regarde et nous nous embrassons à nouveau pendant qu’il me baise. Au bout d’un petit moment, sa respiration s’accélère au rythme de son excitation, jusqu’à sa jouissance exprimée par des râles.

Nous restons encore un moment allongés, puis échangeons nos 06 avant de se quitter chacun de son côté.

 

Les routiers sont sympas

En mars, je suis parti en déplacement en province pour mon boulot. Pour éviter les soirées ennuyeuses à l’hôtel, je me mets en quête de trouver un lieu de drague pas trop éloigné de mon hôtel.

Après quelques recherches sur internet, je me suis fixé sur un parking à environ une cinquantaine de kilomètres, ou normalement il se passe une certaine activité nocturne.

C’est décidé, j’irai demain soir.

Ma journée de travail terminée, je repasse à l’hôtel prendre une douche, bien me laver le cul pour être prêt au cas où se présenterait une occasion.

Je mets un string, des bas résilles, une petite robe, des escarpins, un jogging et un manteau, je prends une serviette et me voilà partie toute excitée en direction de ce lieu.

Après quelques kilomètres je vire mon jogging, ajuste une perruque, je mets un coup de rouge à lèvres mais je garde mon manteau sur ma robe car les soirées de mars sont encore fraiches, bien qu’il fasse beau et chaud en journée.

Une petite heure plus tard aux environs de 21h, j’arrive sur ce parking.

Trois camions étaient garés, très peu de voitures étaient là, quelques appels de phare, bref tout ce que l’on peut trouver sur un parking à cette heure-ci.

Je me gare pas loin des toilettes et prends mes marques et mes repérages de ce lieu.

Je sors de la voiture en direction des toilettes pour aller uriner et me faire voir de ceux qui viennent là pour ça, puis revient vers ma voiture.

Je décide alors d’aller me placer en face d’un camion ou j’ai remarqué que le chauffeur m’a regardé aller aux toilettes.

Le chauffeur a les pieds sur le tableau de bord et là, bien en face je le fixe bien. Il écarte les jambes pour me regarder et me fait signe de m’approcher de sa fenêtre en voiture.

  • Lui : Bonsoir, tu cherches quoi à me regarder !!
  • Moi : Bonsoir, je cherche quelque chose à me mettre dans la bouche.
  • Lui : OK, tu montes dans la cabine.

Il n’est pas très grand, type arabe, la trentaine.

  • Lui : Tu t’appelles comment ?
  • Moi : « La lope » et toi
  • Lui : Karim… et alors t’aimes quoi ?
  • Moi : Sucer, lécher, et plus
  • Lui : En fait t’es une chienne
  • Moi : Oui, une chienne chaude

Dans la cabine, il fait chaud, je retire mon manteau. Il ferme les rideaux et se colle à moi, sa bouche se pose sur la mienne et sa langue force ma bouche. Il a une haleine de tabac et de bière, ce mélange m’excite énormément. Je déboutonne son pantalon, et sort une bite de bonne taille déjà en érection. Il m’embrasse toujours mais je senti dans mes mains déjà le volume de cette bite dure et chaude, je veux la voir… à défaut je commence à le masturber pendant que ses mains se posent sur ma poitrine et vinrent titiller mes tétons, ce qui m’excite de plus en plus. Ne tenant plus, ma bouche stoppe ce baisé pour aller s’occuper plus bas de sa bite. Je la sens encore gonfler. Lui, me pince les tétons, je commence à gémir. Il s’est occupé de mes tétons pendant un petit moment avant de commencer à fouiller sous mon string avec sa main.

J’ai sa bite dans ma bouche, il ne bouge pas. Je commence à enrouler ma langue sur son gland en le tétant. C’est lui qui maintenant pousse des soupirs de plaisir. Je recule ma tête pour ressortir une partie de sa bite avant de la ravaler. Une de mes mains caresse ses couilles. Il se laisse faire un moment, me laissant seul rythmer ma fellation sur sa queue. Mais au bout d’un moment, il prend ma tête à deux mains et commence à baiser ma bouche. Ses va et viens deviennent de plus en plus puissant, son gland vient cogner ma gorge, me donnant des haut le cœur. Ma salive coule sur sa bite, je manque d’air, mais pourtant j’aime que Karim baise ma bouche, comme il en a envie.

  • Lui : Tu veux que je t’encule ?
  • Moi : Oui et comment !!

On se mets dans la couchette, moi en levrette en tendant bien mes fesses, il enlève son pantalon et son caleçon. Il écarte mon string, écarte mes fesses, puis crache sur mon anus.

Je sent bientôt son gland se frotter dans ma raie, sur mon anus. Il le pose dessus et force un peu, il dérape, mais bientôt il trouve l’entrée et se fraye un passage.

  • Moi : Doucement tu es gros.
  • Lui : Pousse salope ça va passer.

Un nouveau coup de rein de sa part et j’engloutis une partie de sa bite, il me prend par les hanches et ressort sa bite avant de l’enfoncer entièrement jusqu’aux couilles. Je serre les poings.

Il commence à faire des aller-retour dans mon cul, je le sens bien, il me fait du bien, je gémis.

  • Lui : Alors, la lope elle est bonne ma queue dans ton cul, ça te fait du bien ?
  • Moi : Oui elle est bonne je la sens bien elle est dure, elle tape au fond.
  • Lui : Tu es une grosse lope, tu vas avoir ce que tu es venue chercher
  • Lui : Tu le veux mon jus ?
  • Moi : Oui
  • Lui : Je vais t’engrosser, je vais te féconder …

Ses mots m’excitent… je me fais enculer par un inconnu dans son camion.

Karim se déchaine dans mon cul, je reçois des claques de plus en plus forte sur mes fesses alors que son plaisir monte dans ses reins. Je sens qu’il va jouir, sa bite me défonce en vibrant. Il donne un dernier coup de rein et reste au fond de mon cul ou je le sens jouir, son foutre brulant m’inonde le rectum.

Alors qu’il sort de moi il tourne ma tête vers sa queue ramollie.

  • Lui : Putain mec tu m’as bien vidé avec ton cul, c’était bon.
  • Lui : Lèche… salope… nettoie ma bite qui sort de ton cul.

J’ouvre la bouche et sort ma langue pour nettoyer son gland recouvert de son foutre, je le prends en bouche pour sucer et avaler.

Je reprends mes esprits, lui aussi et on se dit en revoir.

Je réajuste mon string, mes bas et ma robe, et sort de sa cabine et me dirige vers les toilettes.

Sur le coup, il faut que je me fasse jouir. J’ai passé plus d’une heure avec ce baiseur,  j’ai les fesses endolories et je sens le foutre perler sur mon string.

Arrivé aux toilettes, je m’enferme dans une cabine, je m’accroupis; j’ai l’anus, très sensible, j’ai l’impression qu’il est ouvert et ressorti, j’y passe mes doigts, j’enfonce un doigt, ma bite se raidi. J’en ai encore envie, les cuisses écartées, les doigts de la main droite sur mon anus et ma bite dans la main gauche, je m’enfile deux doigts bien profonds alors que ma main branle ma bite raide. Je ressors mes doigts souillés de foutre de mon cul pour les lécher et les sucer avant de me les renfiler. Je jouis rapidement en poussant un râle de plaisir. J’envoie deux grosses giclées de foutre sur la porte.

Je me remets debout et sort. Je ne suis pas seul, un gars m’a vu me diriger vers les toilettes et m’a suivi et entendu me faire du bien dans la cabine.

Il était grand, mince, la cinquantaine et avait déjà sa bite dans la main encore molle.

  • Lui : Tu veux la sucer ?
  • Moi : Oh que oui…

On se renferme dans les toilettes et je m’accroupis devant lui.

Je lui prends sa bite entre mes lèvres, et je me mets tantôt à le pomper, tantôt à lui lécher les couilles en redescendant vers ses fesses et je reviens sur son gland avec ma langue. Au bout d’un moment il prit ma tête et commence à bourrer ma bouche comme Karim tout à l’heure.

A ce moment-là je ne suis plus qu’un vide couilles. Il enfonce de plus en plus profond sa bite bien dure. Il n’hésite pas à me donner des coups de rein pour que je sente bien ses couilles sur mon visage. Son jus arrivait. Il se retire de ma bouche et jute de bons petit jets qui souillent ma figure et ma robe. Je continue à le branler tout en le regardant. Il est content d’avoir pu vider ses couilles sur la lope.

Je me remets debout, et m’essuie avec un kleenex.

  • Lui : J’aurais bien aimé te baiser, j’ai attendu une heure que tu en termine avec le routier là-bas.

En regardant sa queue ramollie,

  • Moi : Une autre fois, alors…
  • Lui : Je veux te pisser sur ta raie, retourne-toi

Je me retourne, je lève bien ma robe, et écarte bien mon string pour lui tendre mes fesses.

Il colle sa bite sur mon anus et se mets à m’arroser. La sensation de la pisse chaude qui coule sur mes fesses, qui asperge ma raie, qui dégouline sur mes bas me fait remonter mon excitation.

Après en avoir fini, je suis trempé par la pisse.

Il me lèche le cul pour me sécher, à l’occasion, il a dû récupérer un peu de foutre de Karim le routier. Pendant ce temps, je me branle et je joui à nouveau.

Il a ouvert les toilettes, on se dit au revoir, on part chacun de notre côté… Je commence à avoir froid.

Arrivé à la voiture je mets la serviette sous mon siège pour ne pas salir la voiture de location, et je repars souillé en direction de mon hôtel prendre une douche bien chaude.

Un vrai régal cette sortie, c’est à recommencer lors d’un prochain déplacement.

Grosse fessée pour une chienne

Tant pis, la fessée est interdite en France en 2016, heureusement pas pour tout le monde.

Dernièrement, un mec rencontré par l’intermédiaire d’un site de petites annonces, m’invite à passer un moment chez lui.

Le moment venu, j’enfile une paire de bas, met une petite culotte rose, et enfile une robe légère qui couvre juste mon cul. Je me maquille soigneusement et met des bottes, prends un long manteau et me voilà de sortie.

Après environ une heure de route me voici arrivé devant son lieu de résidence. Je gare la voiture et marche jusqu’à l’interphone en bas de la résidence. Je sonne et une voix m’invite à entrer dans le hall. En attendant l’ascenseur, je m’imagine des tas de choses… Est-il seul ou a t’il invité des potes pour cette occasion.

Arrivé sur le palier une porte s’ouvre et j’entre à l’intérieur de son appartement.

Il me débarrasse de mon manteau et m’offre un verre dans le canapé. Rapidement je me retrouve à toucher sa bite à travers son pantalon. Il se met debout et me demande de me mettre à genoux. Il sort sa bite, je la prends dans mes mains pendant quelques instants, je le caresse doucement, il lâche quelques soupirs.

« Suce-moi, bébé ! », dit-il, « Sois une bonne petite chienne »

Je lèche la pointe de son gland, déjà le pré-cum perle au bout. Mes lèvres alternent entre engloutir entièrement sa bite et passer ma langue sur les veines épaisses de sa bite. Comme d’habitude je suis toute dévouée à faire plaisir à mon amant.

 « Oh chérie ! » gémit-il, « Tu es une bonne petite chienne, j’ai envie de toi »

Il me saisit le poignet pour me lever et m’invite à le suivre dans sa chambre. Il me pousse sur le lit. Il se déshabille rapidement pendant que je le regarde. Il monte sur le lit et me roule énergiquement sur le ventre, puis soulève mon cul jusqu’à ce que je sois agenouillée. Il saisit ma culotte et la fait glisser le long de mes jambes. Je me sens tellement salope avec mon cul nu découvert sous ma robe. Il monte sur le lit derrière moi et je sens son visage entre mes fesses et sa langue commence à lécher mon petit trou. Il me lèche pendant un moment, ce qui me procure énormément de plaisir. En même temps il prend ma bite dure dans sa main, la tire doucement en enfonçant sa langue dans mon trou du cul. « Miam, miam ! » il me baise avec sa langue, et je sens des spasmes d’excitation dans tout mon corps.

Je suis à la limite d’éjaculer dans ses mains, j’halète assez fort.

« Attends ! » me dit-il, « Je veux d’abord te baiser, ma petite chienne ».

A pas mal jouer avec sa langue sur mon trou du cul, ce dernier est assez ouvert et prêt pour que sa bite me remplisse. En bonne chienne j’ai envie d’être prise, je ne contrôle plus mes sens.

« Allez ! » gémis-je, « Donne-moi ta bite ! »

« Oui, ma petite chienne ! » dit-il en poussant lentement sa bite dans mon trou tout trempé.
Il se saisit de mes hanches et effectue un lent va et vient, mais poussant un peu plus profond à chaque fois jusqu’à ce que je sente ses couilles frapper mes fesses.

D’une façon inattendue, il commence à me frapper le cul, ce qui décuple mon plaisir.

« Encore maître ! » Je crie à haute voix.

« Tu aimes ça, n’est-ce pas ma petite chienne ? »

« Oui maître ! »

« Je vais te donner quelque chose pour ne pas oublier que tu es une chienne »

« Oui maître, faites ! »

Il me frappe à nouveau les fesses, mais cette fois, ça me pique vraiment. Je commence à pleurer de douleur et d’excitation. J’attends un autre coup, il arrive quelques secondes plus tard, me faisant crier. Mes fesses sont toutes endolories par ses fessées et ma bite est vraiment prête à exploser. A ce moment je sens son foutre chaud remplir mon intérieur dans de grands spasmes. Après avoir pris soin de bien mettre les dernières gouttes de son sperme dans mon cul, il prend ma bite dans sa main et juste le contact de sa main est suffisant pour faire éjaculer tout mon sperme dans ses mains et sur les draps. Il retire sa bite de mon cul, je me retourne et reprend sa bite en bouche pour bien nettoyer la dernière goutte au bout de son gland.

Foutre à déguster

J’aime sucer et j’ai un grand appétit à assouvir, je raffole de ce précieux nectar. En fait, je pratique dans différents lieux de drague ou je peux trouver de multiples partenaires qui aiment les bonnes suceuses comme moi. Les hommes qui ont l’occasion d’en profiter me disent que je suis une pute à jus, une chienne vide-couilles.

Et moi, en bonne lope soumise, ma récompense est une bonne éjaculation faciale ou buccale. Lorsque le plaisir de mon partenaire monte et que l’orgasme commence, j’essaie de tirer le maximumwaloou_010 de jus à chaque saccade, et pour que mon partenaire ait une jouissance maximale, je continue de lécher le gland pendant que les giclées de sperme s’écrasent au fond de ma gorge, ou sur mon visage. En fin d’éjaculation, je lèche délicatement le gland jusqu’à obtenir la dernière goute de ce bon jus de couilles.

Le gout et la texture du sperme varient tellement d’une bite à l’autre, que c’est un plaisir gustatif à chaque fois que j’avale une dose de foutre tant convoitée. Le plaisir anal est pour moi du même niveau que le plaisir buccal, et mes partenaires aiment beaucoup mon gros cul. En général il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu’un partenaire décide de me retourner et de me tenir par les hanches pour me baiser vigoureusement. Souvent, après un certain nombre de va-et-vient, mon partenaire préfère rester bien au chaud au fond de ma chatte pour exprimer sa jouissance plutôt que de m’inonder la bouche.

Je suis une lope et donc au service des hommes, et s’ils veulent jouir dans mon cul, je n’irai pas à l’encontre de leur plaisir. Ainsi il m’arrive de récupérer la semence des capotes usagées de mes partenaires et de remplir des éprouvettes afin d’avoir des doses pour me nourrir régulièrement. Certains de mes partenaires habitués connaissent mon addiction, si bien que lors d’une rencontre ils m’apportent une ou plusieurs capotes nouées remplies de foutre.

Promenade nocturne

Un soir d’automne à la tombée de la nuit, je me promenais dans une rue déserte en lisière d’un parc, comme j’aime le faire pour me sentir libre d’aller et venir en talons et en tenue un peu sexy.

En marchant, j’ai vu au loin une bande de jeunes arriver dans ma direction. J’ai un peu peur des bandes qui risquent de vous insulter si ce n’est pas plus. Alors j’ai fait demi-tour, et je me suis vite réfugiée dans une entrée de parking d’un petit immeuble à une centaine de mètre de là. Mais ils m’ont suivie, et j’ai été très rapidement entourée de mecs pas vraiment agressifs, mais  moqueurs et machos. Parmi eux il y en avait un qui était homo et les autres l’ont poussé à me tâter les fesses, la poitrine et l’entrejambe, sous ma mini-jupe.

Cela à vite excité les autres qui tentaient de voir ce que cela faisait de …

waloou_027Puis ils m’ont tenue alors que leur copain tentait de me baiser. Ce qu’il a réussi à faire après plusieurs essais. Il avait une queue assez fine, et bien que pas très longue, j’ai tout de suite senti le va-et-vient avec d’autant plus de fougue que les circonstances étaient tendues. Mon excitation grandissait, j’étais encore sous contrôle, mais assumant totalement pourquoi je me retrouvais dans cette situation, mon corps à choisi de me faire jouir du derrière, comme pour oublier le danger. Cela les a tous très excité et lorsque le mec à éjaculé, plusieurs se masturbaient et me présentaient leur queue à sucer. Alors un autre mec voulu « essayer », et la pénétration me procurait encore plus de plaisir, tout comme l’ambiance qui devenait plus « festive ».

En fait ils étaient sept et chacun à leur tour, ils m’ont tenue par les hanches, pour me marteler les fesses de leur ventre. L’un après l’autre ils ont vidé leur semence soit dans ma bouche, soit sur mes fesses, soit dans mes fesses.

Ensuite, quatre ont poursuivi leur virée nocturne, et avec les trois autres restants nous sommes allés nous asseoir sur un banc dans le parc voisin. Leur attitude était très amicale et je me doutais bien de ce qui pouvait se passer… et ils m’ont à nouveau fait l’amour, moi me tenant au dossier du banc penchée en avant et eux défilant derrière chacun à leur tour pour quelques minutes de plaisir. Lorsque le troisième fut fatigué, le premier revint à la charge et le manège a continué de tourner. Deux ont fini par éjaculer à nouveau et ont quitté l’endroit épuisé. Le dernier, lui semblait infatigable. Il faut dire qu’il stoppait souvent ses assauts pour me peloter, et lorsqu’il avait repris des forces, il recommençait de plus belle. Lorsqu’il a enfin explosé, on est resté béat, et on s’est quitté sans un mot.

J’avais une drôle de sensation dans le ventre, ma chatte anale était toute dégoulinante et me chauffait bougrement. J’ai réajusté ma culotte et rejoins ma voiture à petits pas précautionneux. Une fois rentrée chez moi je me suis jetée sur le lit sans même me déshabiller, une sorte de joie incontrôlable me serrait la poitrine alors que mon ventre et mes reins étaient tout endoloris.

Baise au bois

En une rare journée ensoleillée de ce pourri mois de mai, j’avais envie de bites, je décidais d’aller dans un bois bien connu de la région parisienne de par son activité.

En fin d’après midi, après mon taf, je pris une bonne douche, un bon lavement et je glissais dans le sphincter anal un peu de gel pour bien me préparer l’anus. Je m’habillais en bonne lopette, histoire d’exciter au mieux la gente masculine qui serait présente sur les lieux.

waloou_026J’enfilais une petite culotte rose, une mini jupe noire, une tunique, des bas noirs, mes bottes à gros talons (c’est plus facile pour marcher dans les sous-bois) et un jogging par-dessus pour sortir et faire le trajet discrètement.

J’arrivais sur place, il était à peut prêt 18h, il faisait encore jour, des voitures étaient déjà présentes. Je gare ma voiture sur le petit parking, jette un œil;  quelques hommes faisaient des aller et venues dans les allées et les sous-bois.

J’ôtais donc mon jogging et descendait de la voiture, marchait en direction de la petite colline ou j’avais décidé d’aller m’installer.

En chemin je sentais que j’étais suivi, ce qui me ravissait et m’inquiétait un peu, c’était un sentiment étrange. Arrivé sur la petite colline, je me mis à genou sur un drap de bain que j’étalais dans l’herbe. J’étais observé et les voyeurs sortaient leurs queues et commençaient à se l’astiquer.

Je fis un signe pour qu’un mec ose venir vers moi, et en moins de deux minutes ils étaient deux ; puis trois autour de moi à me tendre leur bite à sucer.

Ca m’excitait de plus en plus. Les mecs plus loin continuaient de se branler et moi je suçais à tour de rôle les trois zobs. Un des trois mecs ôtait ma culotte et commençait à me toucher ma petite bite qui mouillait déjà bien et me l’englouti en bouche; c’était très doux et j’étais obligé de le freiner un peu, sinon j’allais jouir très vite.

Entre temps, d’autres voyeurs se sont rapprochés et un d’eux voulu me baiser à 4 pattes, offert à la vue des vicieux. Je me sentais totalement impudique et j’adorais ça… Après m’avoir ouvert le cul et y avoir inséré plusieurs doigts, qu’il faufilait bien partout, il mit un préservatif et me rentrait son pieu comme dans du beurre, tant j’étais excité de cette situation en plein air. Il commençait par de grands mouvements lents qui s’accéléraient progressivement.

Les voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit n’était plus très loin. Je les voyais se masturber frénétiquement, puis ils se le faisaient mutuellement.

J’entendais des mecs crier « Défonce-là, bourre son cul, baise la salope ».

L’homme derrière moi me baisait de plus en plus fort. Il haletait, je sentais qu’il allait cracher son foutre, et moi je suçais, branlais tant que je pouvais les deux, trois ou quatre queues présentes. L’une d’eux m’explosait son jus épais en pleine bouche et je sentais que l’homme derrière moi déchargeait sa semence dans la capote.

Il se retirait, jetait  la capote et me présentait son membre pour que je le nettoie des restes de sperme. Un autre que je suçais pris le relais mais en m’allongeant sur le dos… Je relevais et écartais bien les jambes, la chatte anale bien offerte. Il enfilait une capote et plantait son pieu dans mon intimité luisante et chaude. Ses coups de boutoir de plus en plus rapide massaient ma prostate ce qui me faisait jouir du fion, un filet de liquide séminal coulait de ma queue molle.

J’entendais des mecs dire : « elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »

Dans cette position il était difficile de bien sucer les queues qui se présentaient, les mecs se branlaient sur ma tronche, tantôt l’un ou l’autre me baisait la bouche.

L’homme en missionnaire ne tardait pas à jouir en moi en longues saccades, et presqu’en même temps les autres queues se vidangeaient sur mon visage.

Après avoir repris mes esprits, je rassemble les restes de sperme en passant ma main sur mon visage, et en léchant mes doigts avec délectation.

Un des voyeurs au loin s’était rapproché en se masturbant et voulait se finir sur mes fesses que je lui tendais. Après quelques râles je sentis des petites giclées chaudes sur mon sillon anal. Les autres voyeurs avaient déjà déchargés leur foutre au sol ou ailleurs.

Je remis ma culotte et en repartant vers ma voiture, je sentais le sperme coller le nylon sur mes fesses… Agréable sensation de cette fin d’après midi.

 

Rencontre avec Elvis

Mes dernières expériences se limitent ces derniers temps à sucer et me faire baiser lorsqu’une occasion réelle se présente.

Ma dernière lubie en date est la zoophilie, découverte il y a environ un an. La vue de ces queues canines et chevalines tendues à l’extrême et fourrageant ces bouches et ces anus me met dans un état d’excitation avancé.

Il y a quelques jours, je fus comblé…

J’ai fait la connaissance d’un homme, cultivé et sympathique, avec qui je me suis lié d’amitié.

Il possède une petite maison à la campagne et au fil de nos discussions, il m’invita naturellement à venir passer une journée chez lui, prétexte à un bon repas et une bonne discussion.

J’arrivais vers onze heures chez lui, dans un petit paradis isolé. Il m’accueillit avec plaisir et une franche accolade. Il me fit visiter sa demeure, le jardin et me présenta sa fierté, Elvis un beau rottweiler de deux ans et demi.

Nous passâmes à table, pour un fort bon dîner copieusement arrosé, il en va de soi.

Après le repas, je pris un peu l’air, histoire de faire passer mes vapeurs d’alcool.

Pendant ce temps, mon hôte mis des chaussettes aux pattes d’Elvis et m’appela pour me dire qu’il était prêt. Je revenais dans le salon et mon hôte me dit de me dévêtir.

Ivre de sensations, je me dévêtis rapidement, le sexe tendu, prêt à exploser et je me mis à 4 pattes, et, sous l’effet de l’alcool, je réclamais finalement à me faire baiser comme une salope!

Le moment était enfin arrivé! Elvis tournait autour de moi et la vue de la taille du sexe entre les pattes de l’animal fixa mon attention! Quel engin!

Mon hôte sembla remarquer mon trouble mais ne dit rien. Il parlait à Elvis, nous mettant en confiance mutuelle, touchait au fourreau d’Elvis, d’où commençait à émerger une queue monumentale!

Je salivais d’avance!

Mon hôte caressait le flanc d’Elvis d’une main et pris l’engin dans l’autre et le dirigeait vers mon anus déjà tout lubrifié, puis le poussant au plus profond de mon intimité.

Je sentais cette bite énorme grossir en moi et je savais qu’Elvis allait verrouiller cette saillie.

La sensation de cette queue qui me ravageait les entrailles, les flots de sperme chauds qui m’inondaient  me faisait gémir de plaisir et mon sexe se tendait, prêt à exploser. Je bandais comme rarement dans ma vie.

Mon hôte me fourra sa bite énorme dans ma bouche pour faire taire ces râles de plaisir et je me mis à le sucer avec avidité, ce qui n’eut pas l’air de lui déplaire! J’aspirais avant tout à le faire jouir pour en prendre le plus possible. Son gland tapait contre le fond de ma gorge, et je sentis à ses grognements de plaisir que j’allais étancher ma soif…

Une énorme giclée de sperme chaud et épais vint éclabousser mon palais, et j’avalais tout sous l’effet de la surprise mais surtout de la gourmandise!

J’en eu le souffle coupé et j’ai joui instantanément, mon foutre allant gicler sur le carrelage du salon.

Elvis continuait à me remplir royalement pendant de longues minutes, puis se retira d’un coup de mon cul, me laissant la rondelle bien ouverte ruisseler le trop plein de semence le long de mes cuisses.

Mon hôte me tendit le sexe d’Elvis que je me mis à sucer pour le récompenser de la longue saillie et de l’extase reçue, ce qui me refit bander.

Mon hôte le constatant, entreprit de me sucer, prenant soin de bien nettoyer le sperme encore présent de ma précédente éjaculation.

Le résultat ne se fit pas attendre! J’explosais à nouveau, lui inondant le visage et la bouche.

Quel pied j’ai pris ce jour là !

 

A l’hôtel, et un, et deux, et trois !

Cette semaine, j’étais en déplacement pour mon boulot. Je m’étais donc activé à passer une annonce sur Vivastreet  « Lope passive s’offre à l’hôtel… » afin d’obtenir quelques rendez-vous pour une soirée à mon hôtel.

La soirée tant attendue fut arrivée…

waloou_024Un premier homme est arrivé sur le coup de 19h30; un jeune mec assez baraqué. Après être entré dans la chambre, je me suis allongé, il s’est déshabillé entièrement puis, debout, me tendit sa queue qui bandait déjà en me disant « Mets toi à genoux et suces moi salope … ». Je  m’exécutais, je saisissais sa queue, la décalottait ; le méat est rouge, le gland luisait, gros, plein de sang. Sa queue grossissait, se tendait, se dressait, je la suçais longtemps à genoux, mon autre main sur ses fesses et caressait, les doigts prêts à filer dans la fente. Je bandais aussi  (un exploit !), et soudain il a pressé ma tête contre son sexe pour m’envoyer une pleine gorgée de sperme que j’ai rapidement avalé… Il m’a alors demandé de m’allonger, s’est allongé à coté de moi et m’a redonné sa bite à sucer… J’ai bien évidemment recommencé à pomper cette belle queue qui rebandait déjà… Ça n’a pas duré bien longtemps non plus avant que, à nouveau, il éjacule dans ma bouche en disant « Allez, avales encore, salope … ». Ce que je réalisais avec grand plaisir. Il s’est rhabillé, m’a demandé si j’avais aimé et il a filé…

J’avais une petite demi-heure à tuer avant l’arrivée d’un second rencart. A son arrivée, il s’est déshabillé et est venu à coté de moi. Aussitôt et sans même qu’il bande vraiment, il voulait que je le suce… J’ai compris pourquoi car dans les quelques instants qui ont suivis son sperme  envahissait ma bouche !  Moins de deux minutes, il était temps qu’il arrive…, un peu plus il faisait dans le pantalon avant d’arriver, enfin, il m’a dit que la prochaine fois il ferait mieux.

Moins d’une heure plus tard, j’avais un autre rencard… qui s’est pointé. Un beau brun la quarantaine passée qui me mit sa main direct au cul, il éteignit la lumière et dans la pénombre je m’étais même pas encore penché pour sucer sa bite, qu’il pointait ma rondelle avec un doigt, la transperçait. Sa bite était très raide, assez large à la base, circoncise. Quand je l’ai eu bien pompé et que je me suis retourné, il a mis une capote et il m’a enfilé tout en une fois, jusqu’à ses burnes, puis a commencé à me baiser à grands coups de reins. Il me bourrinait, ce n’était pas du grand art mais les coups étaient bien plantés, et je sentais ses burnes taper contre mes fesses…  ses mains douces qui pendant ce temps caressaient mon torse, s’arrêtaient à mes seins, comme un mec baise une femme par derrière en la tenant par les nichons.

Au bout d’un long moment il se retourna et engouffrait sa bite dans ma bouche. Il me baisait la gueule et jutait dedans une dose tellement copieuse qu’à un moment je n’en pu plus : « s’il continue de cracher je vais le dégueuler… ». Et il continue. Alors, pour évacuer ce trop-plein de foutre, j’avalais, j’avalais au fur et à mesure qu’il me remplissait. Un bon jus épais et chaud qui dégoulinait de ma bouche, sa bite coulissait dans ma bouche poisseuse, ma langue chaude et humide sur le gland, son sperme et ma salive, ma déglutition.

Que c’est bon d’être une vraie salope vide couilles.

Dernière sortie de l’année dans un ciné X

waloou_023j’avais envie pour une dernière fois cette année d’aller dans un ciné X.

En cette occasion je m’étais fait un léger bondage des couilles dont voici une photo, oui j’avais envie d’avoir cette sensation supplémentaire ce jour là.

Arrivé dans l’après midi, j’enlevai mon bas de jogging, il ne me restait juste une culotte en dentelle blanche et un manteau pour cacher juste le minimum.

Assis au fond de la salle, des hommes sont venus s’asseoir à coté de moi, tripotant ma petite bite qui sortit rapidement de la dentelle. Je peux dire qu’ils ont apprécié toucher mes testicules bien serrés, m’ont présenté leur membre au garde à vous, et moi, en bonne lope gourmande, j’engloutissais recto verso tout ce qui se présentait à moi.