Promenade nocturne

Un soir d’automne à la tombée de la nuit, je me promenais dans une rue déserte en lisière d’un parc, comme j’aime le faire pour me sentir libre d’aller et venir en talons et en tenue un peu sexy.

En marchant, j’ai vu au loin une bande de jeunes arriver dans ma direction. J’ai un peu peur des bandes qui risquent de vous insulter si ce n’est pas plus. Alors j’ai fait demi-tour, et je me suis vite réfugiée dans une entrée de parking d’un petit immeuble à une centaine de mètre de là. Mais ils m’ont suivie, et j’ai été très rapidement entourée de mecs pas vraiment agressifs, mais  moqueurs et machos. Parmi eux il y en avait un qui était homo et les autres l’ont poussé à me tâter les fesses, la poitrine et l’entrejambe, sous ma mini-jupe.

Cela à vite excité les autres qui tentaient de voir ce que cela faisait de …

waloou_027Puis ils m’ont tenue alors que leur copain tentait de me baiser. Ce qu’il a réussi à faire après plusieurs essais. Il avait une queue assez fine, et bien que pas très longue, j’ai tout de suite senti le va-et-vient avec d’autant plus de fougue que les circonstances étaient tendues. Mon excitation grandissait, j’étais encore sous contrôle, mais assumant totalement pourquoi je me retrouvais dans cette situation, mon corps à choisi de me faire jouir du derrière, comme pour oublier le danger. Cela les a tous très excité et lorsque le mec à éjaculé, plusieurs se masturbaient et me présentaient leur queue à sucer. Alors un autre mec voulu « essayer », et la pénétration me procurait encore plus de plaisir, tout comme l’ambiance qui devenait plus « festive ».

En fait ils étaient sept et chacun à leur tour, ils m’ont tenue par les hanches, pour me marteler les fesses de leur ventre. L’un après l’autre ils ont vidé leur semence soit dans ma bouche, soit sur mes fesses, soit dans mes fesses.

Ensuite, quatre ont poursuivi leur virée nocturne, et avec les trois autres restants nous sommes allés nous asseoir sur un banc dans le parc voisin. Leur attitude était très amicale et je me doutais bien de ce qui pouvait se passer… et ils m’ont à nouveau fait l’amour, moi me tenant au dossier du banc penchée en avant et eux défilant derrière chacun à leur tour pour quelques minutes de plaisir. Lorsque le troisième fut fatigué, le premier revint à la charge et le manège a continué de tourner. Deux ont fini par éjaculer à nouveau et ont quitté l’endroit épuisé. Le dernier, lui semblait infatigable. Il faut dire qu’il stoppait souvent ses assauts pour me peloter, et lorsqu’il avait repris des forces, il recommençait de plus belle. Lorsqu’il a enfin explosé, on est resté béat, et on s’est quitté sans un mot.

J’avais une drôle de sensation dans le ventre, ma chatte anale était toute dégoulinante et me chauffait bougrement. J’ai réajusté ma culotte et rejoins ma voiture à petits pas précautionneux. Une fois rentrée chez moi je me suis jetée sur le lit sans même me déshabiller, une sorte de joie incontrôlable me serrait la poitrine alors que mon ventre et mes reins étaient tout endoloris.

Baise au bois

En une rare journée ensoleillée de ce pourri mois de mai, j’avais envie de bites, je décidais d’aller dans un bois bien connu de la région parisienne de par son activité.

En fin d’après midi, après mon taf, je pris une bonne douche, un bon lavement et je glissais dans le sphincter anal un peu de gel pour bien me préparer l’anus. Je m’habillais en bonne lopette, histoire d’exciter au mieux la gente masculine qui serait présente sur les lieux.

waloou_026J’enfilais une petite culotte rose, une mini jupe noire, une tunique, des bas noirs, mes bottes à gros talons (c’est plus facile pour marcher dans les sous-bois) et un jogging par-dessus pour sortir et faire le trajet discrètement.

J’arrivais sur place, il était à peut prêt 18h, il faisait encore jour, des voitures étaient déjà présentes. Je gare ma voiture sur le petit parking, jette un œil;  quelques hommes faisaient des aller et venues dans les allées et les sous-bois.

J’ôtais donc mon jogging et descendait de la voiture, marchait en direction de la petite colline ou j’avais décidé d’aller m’installer.

En chemin je sentais que j’étais suivi, ce qui me ravissait et m’inquiétait un peu, c’était un sentiment étrange. Arrivé sur la petite colline, je me mis à genou sur un drap de bain que j’étalais dans l’herbe. J’étais observé et les voyeurs sortaient leurs queues et commençaient à se l’astiquer.

Je fis un signe pour qu’un mec ose venir vers moi, et en moins de deux minutes ils étaient deux ; puis trois autour de moi à me tendre leur bite à sucer.

Ca m’excitait de plus en plus. Les mecs plus loin continuaient de se branler et moi je suçais à tour de rôle les trois zobs. Un des trois mecs ôtait ma culotte et commençait à me toucher ma petite bite qui mouillait déjà bien et me l’englouti en bouche; c’était très doux et j’étais obligé de le freiner un peu, sinon j’allais jouir très vite.

Entre temps, d’autres voyeurs se sont rapprochés et un d’eux voulu me baiser à 4 pattes, offert à la vue des vicieux. Je me sentais totalement impudique et j’adorais ça… Après m’avoir ouvert le cul et y avoir inséré plusieurs doigts, qu’il faufilait bien partout, il mit un préservatif et me rentrait son pieu comme dans du beurre, tant j’étais excité de cette situation en plein air. Il commençait par de grands mouvements lents qui s’accéléraient progressivement.

Les voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit n’était plus très loin. Je les voyais se masturber frénétiquement, puis ils se le faisaient mutuellement.

J’entendais des mecs crier « Défonce-là, bourre son cul, baise la salope ».

L’homme derrière moi me baisait de plus en plus fort. Il haletait, je sentais qu’il allait cracher son foutre, et moi je suçais, branlais tant que je pouvais les deux, trois ou quatre queues présentes. L’une d’eux m’explosait son jus épais en pleine bouche et je sentais que l’homme derrière moi déchargeait sa semence dans la capote.

Il se retirait, jetait  la capote et me présentait son membre pour que je le nettoie des restes de sperme. Un autre que je suçais pris le relais mais en m’allongeant sur le dos… Je relevais et écartais bien les jambes, la chatte anale bien offerte. Il enfilait une capote et plantait son pieu dans mon intimité luisante et chaude. Ses coups de boutoir de plus en plus rapide massaient ma prostate ce qui me faisait jouir du fion, un filet de liquide séminal coulait de ma queue molle.

J’entendais des mecs dire : « elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »

Dans cette position il était difficile de bien sucer les queues qui se présentaient, les mecs se branlaient sur ma tronche, tantôt l’un ou l’autre me baisait la bouche.

L’homme en missionnaire ne tardait pas à jouir en moi en longues saccades, et presqu’en même temps les autres queues se vidangeaient sur mon visage.

Après avoir repris mes esprits, je rassemble les restes de sperme en passant ma main sur mon visage, et en léchant mes doigts avec délectation.

Un des voyeurs au loin s’était rapproché en se masturbant et voulait se finir sur mes fesses que je lui tendais. Après quelques râles je sentis des petites giclées chaudes sur mon sillon anal. Les autres voyeurs avaient déjà déchargés leur foutre au sol ou ailleurs.

Je remis ma culotte et en repartant vers ma voiture, je sentais le sperme coller le nylon sur mes fesses… Agréable sensation de cette fin d’après midi.

 

Rencontre avec Elvis

Mes dernières expériences se limitent ces derniers temps à sucer et me faire baiser lorsqu’une occasion réelle se présente.

Ma dernière lubie en date est la zoophilie, découverte il y a environ un an. La vue de ces queues canines et chevalines tendues à l’extrême et fourrageant ces bouches et ces anus me met dans un état d’excitation avancé.

Il y a quelques jours, je fus comblé…

J’ai fait la connaissance d’un homme, cultivé et sympathique, avec qui je me suis lié d’amitié.

Il possède une petite maison à la campagne et au fil de nos discussions, il m’invita naturellement à venir passer une journée chez lui, prétexte à un bon repas et une bonne discussion.

J’arrivais vers onze heures chez lui, dans un petit paradis isolé. Il m’accueillit avec plaisir et une franche accolade. Il me fit visiter sa demeure, le jardin et me présenta sa fierté, Elvis un beau rottweiler de deux ans et demi.

Nous passâmes à table, pour un fort bon dîner copieusement arrosé, il en va de soi.

Après le repas, je pris un peu l’air, histoire de faire passer mes vapeurs d’alcool.

Pendant ce temps, mon hôte mis des chaussettes aux pattes d’Elvis et m’appela pour me dire qu’il était prêt. Je revenais dans le salon et mon hôte me dit de me dévêtir.

Ivre de sensations, je me dévêtis rapidement, le sexe tendu, prêt à exploser et je me mis à 4 pattes, et, sous l’effet de l’alcool, je réclamais finalement à me faire baiser comme une salope!

Le moment était enfin arrivé! Elvis tournait autour de moi et la vue de la taille du sexe entre les pattes de l’animal fixa mon attention! Quel engin!

Mon hôte sembla remarquer mon trouble mais ne dit rien. Il parlait à Elvis, nous mettant en confiance mutuelle, touchait au fourreau d’Elvis, d’où commençait à émerger une queue monumentale!

Je salivais d’avance!

Mon hôte caressait le flanc d’Elvis d’une main et pris l’engin dans l’autre et le dirigeait vers mon anus déjà tout lubrifié, puis le poussant au plus profond de mon intimité.

Je sentais cette bite énorme grossir en moi et je savais qu’Elvis allait verrouiller cette saillie.

La sensation de cette queue qui me ravageait les entrailles, les flots de sperme chauds qui m’inondaient  me faisait gémir de plaisir et mon sexe se tendait, prêt à exploser. Je bandais comme rarement dans ma vie.

Mon hôte me fourra sa bite énorme dans ma bouche pour faire taire ces râles de plaisir et je me mis à le sucer avec avidité, ce qui n’eut pas l’air de lui déplaire! J’aspirais avant tout à le faire jouir pour en prendre le plus possible. Son gland tapait contre le fond de ma gorge, et je sentis à ses grognements de plaisir que j’allais étancher ma soif…

Une énorme giclée de sperme chaud et épais vint éclabousser mon palais, et j’avalais tout sous l’effet de la surprise mais surtout de la gourmandise!

J’en eu le souffle coupé et j’ai joui instantanément, mon foutre allant gicler sur le carrelage du salon.

Elvis continuait à me remplir royalement pendant de longues minutes, puis se retira d’un coup de mon cul, me laissant la rondelle bien ouverte ruisseler le trop plein de semence le long de mes cuisses.

Mon hôte me tendit le sexe d’Elvis que je me mis à sucer pour le récompenser de la longue saillie et de l’extase reçue, ce qui me refit bander.

Mon hôte le constatant, entreprit de me sucer, prenant soin de bien nettoyer le sperme encore présent de ma précédente éjaculation.

Le résultat ne se fit pas attendre! J’explosais à nouveau, lui inondant le visage et la bouche.

Quel pied j’ai pris ce jour là !