Au Lynx à Toulouse

Comme souvent lors de mes déplacements professionnels, je vais passer un moment de détente dans un sexshop local. Celui que j’ai sélectionné en cette rentrée accepte les travestis, je planifiais naturellement un après-midi pour me donner dans cet endroit.

Mercredi dernier en début d’après-midi je me pointais en tenue féminine au Lynx. Après avoir réglé mon entrée, le caissier fort sympathique me faisait un grand sourire en me disant :

« Amusez-vous bien… Si vous êtes d’accord, je dirai à la clientèle qu’une trav est présente ».

« Oui bien sûr ! je suis venue pour ça et j’adore faire la salope ! ».

« Ça vous amènera du monde comme ça ! de savoir qu’il y a une putain de trav à baiser sur place ».

Je passais une première porte et me rendis dans une petite salle ou un film trans passait en boucle. Dans l’obscurité je remarquais quelques silhouettes et décidait d’aller m’asseoir près du fond de la salle.

Le jeu allait commencer. Quelques allées et venues s’opéraient surement entre les différentes salles et le couloir.

Il ne fallut pas trop longtemps à attendre pour que certains hommes bougent et viennent me rejoindre. Les hommes commençaient à se tripoter le sexe d’une main et de l’autre à me tripoter. C’est souvent comme ça que ça commence. A un moment un homme qui commençait à bander se mit devant ma bouche pour que je le suce. Au bout de 2 min, sa queue a bien durci et se révélait d’une taille bien supérieure à la moyenne. Je changeais de position, me mettant à genoux sur le fauteuil, relevais ma jupe et lui tendis mon cul. Pas d’hésitation de son côté, il s’enfonçait direct dans mon cul et s’y finit rapidement en poussant des râles bestiaux. Ça débutait pas mal.

Excité par le bruit, un métis vient me rouler une pelle magistrale. On se tripotait, il était super gaulé, il saisissait ma petite bite molle sous ma culotte. Instinctivement, je descendis vers sa queue pour le sucer et là il devient enragé. Il me tenait durement la tête pour se branler avec, m’obligeant à le sucer au plus profond possible en fond de gorge. Après il me fit me relever, relevait ma jupe et me prit par les hanches pour être dans l’axe de mon cul. Pas d’hésitation là non plus, il enfournait sa bite direct et entamait une défonce en règle en se plaquant dans mon dos, et en me maintenant comme pour m’empêcher de m’échapper. Je lui murmurait alors « Vas-y ! Jouis moi dans le cul ! Y a déjà un mec qui est passé ; tu patauges dans son jus, rajoute-le tiens ! », et là il se plaque à moi et je sens sa queue tressaillir violemment dans mon cul dilaté par un volume important de jus déversé. Il se retirait, j’arrive à ne rien perdre. Et au moment de me retourner pour lui nettoyer la queue d’un coup de langue, je vois que deux hommes étaient aux premières loges et nous mataient la bite à la main. Un blanc d’une bonne soixantaine d’années et un rebeu pas très grand assez jeune. Je me penchais pour nettoyer les dernières gouttes de jus sur la queue du métis, et je sentis alors des mains sur mes hanches et une bite  (plus modeste que celle du métis) qui se planta d’un coup dans mon œillet. Le métis remballa et alors que j’essayais de le retenir pour lui filer mon numéro, il me dit à l’oreille : « j’ai pas le temps, je suis déjà à la bourre », et il se cassa.

Je me retournais pour voir lequel des deux autres étaient dans mon cul, c’était le rebeu. Il dit méchamment au vieux de se casser, ce qu’il fait, et nous voilà seuls. Il me limait en se cramponnant à mes hanches, je passais la main pour lui toucher les couilles et il me lança « T’inquiètes, j’ai pas mis de capote, les putes comme toi c’est fait pour prendre le jus des mecs ! ».

Évidemment, je confirme et réponds « T’as vu le métis cracher dans mon cul, c’était le 2ème, tu patauges dans le jus de 2 mecs différents. Tu kif les culs de mecs ? ». Sa réponse « Moi je baise pas les mecs, je baise les meufs ou les putes ! Et toi t’es une pute ! » Et il se met à haleter en me jouissant dans le cul. A peine terminé, il se retira, remballa et se cassa. Je me retrouvais seul, le cul à l’air, le bide rempli de semences différentes.

Petite pause en attendant de voir ce que la suite de l’après-midi allait me donner comme surprise.

Salope à pisse et à jus

Un jour je suis contactée par un homme qui me dit être fan des jeux humides. Il me dit aimer pisser sur une bonne salope mais son kiff est de pisser dans une bonne salope, ce qui m’excite au plus haut point.

Après quelques échanges avec lui, remarquant qu’il était bien pervers et vicieux et surtout qu’il avait l’air fiable, nous convenons d’un rendez-vous chez lui à l’heure de l’apéro.

Pour cette soirée arrosée chez Denis, je me suis préparée comme ceci : Un string et un soutien-gorge rouge avec une paire de bas auto-fixant couleur chair. Tout ça sous une petite robe tube noire avec une large ceinture à la taille, perruque blonde et mes sandales beige clair à hauts talons.

Je reçois un SMS : « Alors tu arrives, salope ? »

Je réponds : « je pars »

J’enfile un manteau, et après une petite heure de trajet, j’arrive devant chez Denis ; Il habite dans un joli pavillon en banlieue parisienne. Je me gare, je sonne et Denis m’ouvre la porte.

Perchée sur mes hauts talons, j’apparais bien offerte à son regard. Denis me fait la bise et m’annonce que je vais avoir une surprise.

Humm, j’adore les surprises.

Denis m’invite à le suivre au salon. Un de ses potes est là, une pinte de bière posée devant lui sur la table du salon. Dans ma tête je me réjouis déjà, deux mecs pervers pour moi seule ce soir.

Denis m’invite à me mettre à l’aise, prends mon manteau et me propose un apéritif.

Je me retrouve assise à côté de son pote à siroter mon apéritif, et Denis assis sur un fauteuil à notre droite, lui aussi une pinte de bière devant lui.

J’en profite pour vérifier, en passant une main entre les jambes du pote de Denis, si je lui fais de l’effet et je crois que oui. Il sorti sa queue de son pantalon et m’attrapa la tête pour que je commence à le sucer. Son membre grossit très vite et quel plaisir de sentir cette queue m’envahir la bouche.

Denis ne resta pas insensible à ce spectacle.

Je me mis à genoux toujours en train de sucer son pote pendant qu’il remontait ma robe. Il enlève le Rosebud XL de mon cul et le remplace par sa queue déjà très dure. J’étais bien prise des deux côtés. Après quelques va et vient en douceur pour bien m’ouvrir la chatte anale, Denis retire sa queue et la remplace par un gros plug avec une ouverture centrale pour garder ma chatte bien dilatée. Je sens au moins 3 ou 4 doigts tester mon trou ainsi mis à sa disposition.

Le pote de Denis ôte ma bouche goulue de son membre pour ne pas exploser tout de suite. Nous continuons notre apéritif et Denis retire ma robe. Je me retrouve ainsi uniquement en sous-vêtements.

J’étais déjà bien excitée et, ils m’ont attirée vers le fond de la salle de bain. Je me retrouve à 4 pattes dans une grande douche à l’italienne qui laisse beaucoup de place pour des jeux humides.

« Tu aimes la queue salope ? Tu sais que tu es là pour qu’on te remplisse à la pisse et au jus »

Denis remplace son pote dans ma bouche et commence quelques va et vient. J’ai déjà la bouche pleine et il continue à s’enfoncer au fond de ma gorge, me faisant déglutir et baver de plus en plus. J’évite un haut le cœur, crache de la bave gluante qui contribue à les exciter encore plus tous les deux.

« Montre un peu ton cul !!! »

Denis enfonce un entonnoir dans le trou central du plug anal. Il demande à son pote s’il veut commencer à me remplir à la pisse. Celui-ci propose à Denis de démarrer pendant que je me fais baiser la bouche par lui.

Denis lâche deux ou trois petits jets chauds et je sens que l’entonnoir commence à faire son travail, la pisse s’écoule à l’intérieur de mon cul.

« Humm, j’adore ça. »

Denis invite son pote à pisser à son tour en lui disant qu’il veut garder sa pisse pour me gaver ma gueule de pute.

Son pote ne se fait pas prier et commence à remplir l’entonnoir, il laisse le temps que toute sa pisse s’écoule à l’intérieur de ma chatte anale puis recommence. Je sens que mon cul se remplit avec toute la pisse qui y entre.

Une fois fini, il retire l’entonnoir et le plug tunnel et je serre fortement les fesses pour retenir le maximum de pisse à l’intérieur.

Je suis complètement excitée par cette situation, moi en levrette sur le carrelage de la douche remplie de pisse avec ces deux mecs pervers qui veulent me gaver. Je me suis assise dans la douche, j’en veux encore plus, et je supplie Denis de me remplir la gorge de pisse. Il ne se fait pas prier et lâche quelques jets de pisse bien contrôlés pour que je puisse tout avaler. Il laisse la place à son pote qui dirige sa queue vers ma bouche de salope et lâche aussi un grand jet de pisse. Je n’arrive pas à tout avaler, ça coule sur mes sous-vêtements. Sa pisse a une odeur plus forte, ça m’excite encore plus.

A tour de rôle, ils me pissent à volonté dans la bouche ou dans la gorge. J’évite plusieurs fois d’avaler de travers et je me sens mentalement comme une pute souillée à la pisse, remplie des deux côtés par leur pisse chaude.

Une fois qu’ils ont bien vidé leur vessie, le pote de Denis me dit de me mettre à 4 pattes et qu’il va me laisser me vider le cul dans un saladier. Je sens plusieurs jets chauds sortir de mon cul et s’écraser au fond du saladier. Ensuite Denis prend le saladier et me le vide sur le visage. J’ouvre grand la bouche et lape pour en boire le maximum.

Mes deux amants étaient très excités par cette situation. Ils commencent ainsi à tour de rôle à enfoncer leur queue dans ma gorge puis se masturbent chacun juste devant ma bouche grande ouverte et langue tirée. Je vois leur queue grossir à nouveau et leur gland se gonfler de sang. Denis vient le premier et lâche son jus avec deux petits jets qui atterrissent directement dans ma bouche avant de finir de frotter et nettoyer son gland sur mon visage. Son pote vient terminer par une belle éjac faciale avec un jus plus abondant et épais.

Après, j’attends dans un coin de la salle de bain couverte de pisse et de jus que mes deux amants prennent leur douche.

Avant mon tour pour la douche, ils avaient encore envie de pisser. Normal avec les bières bues tout à l’heure. Je me suis mise accroupie dans la douche et chacun à leur tour ils m’ont encore pissé dans la bouche.

Cette soirée s’est poursuivie en continuant de leur faire plaisir avec ma bouche et ma chatte au fil de leur envies pendant le repas.

Après cette soirée je suis repartie uniquement vêtue de ma robe tube avec mes affaires souillées dans un sac. Pendant le trajet, en me remémorant cette soirée, mon bas ventre me chauffait encore et ma chatte mouillait. Je fais donc un petit détour par un parking de drague connu de la région.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs

Après la fermeture du Ciné-Nord en 2013 et du Beverley en 2019, l’Atlas est le dernier cinéma porno de Paris. Après cette pandémie, j’espère qu’il pourra ré-ouvrir car ses séances de l’après-midi y voient des hommes, la plupart maghrébins ou blacks qui viennent trouver ici un lieu de rencontres et de partage de plaisirs.

Ces dernières années les lieux de rencontres extérieurs pour travesties comme les bois de Boulogne et de Vincennes ou autres bois en banlieue parisienne deviennent de plus en plus risqués et désertés, alors que ce cinéma reste à mes yeux le seul endroit de débauche ou les travesties peuvent encore se lâcher sans retenue.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs.

Je prends une chambre au « GOLDHOTEL » boulevard de Clichy, ce qui à un double intérêt. Je peux aller à l’Atlas à 500 m directement vêtue en fille, et je peux ramener un ou plusieurs mecs dans ma chambre en sortant de l’Atlas. De plus il y a un parking souterrain à 500 m de là pour garer la voiture.

Samedi, début d’après-midi, je suis prête, maquillage léger et parfumée. Je porte une petite robe noire, moulante, ras du cou, dos nu, bas résille et talons pas trop hauts (sinon c’est trop casse gueule une fois à l’intérieur du ciné). Je prends ma pochette avec mon rouge à lèvres, des lingettes, du parfum, une fiole de poppers et 10€ pour l’entrée.

C’est toute excitée que je pénètre dans l’Atlas, et une fois en salle, je range mon petit string dans ma pochette pour que ma chatte anale soit en accès direct à toutes les queues.

Je commence à déambuler devant les hommes qui restent debout, appuyés au mur pour surveiller les rencontres et mater les caresses qui s’y échangent entre spectateurs. Je les frôle en suscitant leurs caresses au passage et les inciter à me suivre dans le halo que dégage mon parfum féminin.

Lorsque j’atteins les toilettes, j’aime m’adosser à la céramique sale. Je sniffe profondément du poppers, l’effet est presque instantané et une très forte chaleur envahie mon corps. Un homme ou deux, parfois trois, blacks et maghrébins m’y rejoignent. Je les regarde en passant ma langue sur mes lèvres écarlates, puis je remonte lentement ma robe noire, offrant ainsi à leurs regards avides mon clito de trav.

Je me retourne face au mur pour qu’ils découvrent entièrement mes fesses, comme une offrande pour leurs mains agiles qui s’empressent de se poser sur mon corps ainsi exposé et offert. Des doigts se glissent alors entre mes lobes fessiers en s’immisçant au cœur de mon intimité. Les doigts s’agitent, tournent et distendent doucement mes sphincters, tandis que d’autres mains se sont glissées vers ma poitrine, titillant mes seins, pinçant et étirant mes tétons, en faisant monter lentement mon excitation. Je commence à gémir doucement, une main se pose sur mon cou et attire mon visage vers celui d’un beau magrébin qui pose ses lèvres sur les miennes en glissant sa langue agile au fond de ma bouche, s’entortillant autour de la mienne dans un baiser torride. J’écarte au maximum mes cuisses, dégageant ainsi mon anus pour l’offrir à la première bite qui me pénètrera. Je sens des mains se poser sur mes hanches, et le gland humide d’une bite que je sens bien dressée, se présenter alors à l’entrée de mon trou d’amour. Je me penche un peu plus en arrière et m’empale alors sur le sexe qui glisse en moi avec force en me faisant pousser un petit cri de plaisir, que la bouche de l’homme qui m’enlace fait aussitôt taire. L’homme qui m’a pénétrée se met alors à me limer d’abord lentement, puis il accélère ses mouvements m’arrachant des petits râles de plaisir, tandis que le second m’embrasse à pleine bouche et que les doigts du troisième tordent violemment mes tétons. Je m’arc-boute contre le mur carrelé, mes mains posées à plat devant moi, et je m’abandonne à l’excitation qui est en train de me submerger, mes petits râles deviennent une longue plainte lorsque les doigts de celui qui m’encule se posent sur mon petit clito tout flasque en le caressant jusqu’à mon râle de plaisir accompagnant un filet de mon liquide séminal, et alors que je sens le foutre de l’homme couler de mes fesses sur mes cuisses et mes bas.

Je reprends petit à petit mes esprits. Je me retourne vers eux, mon enculeur avec la bite encore humide et dressée, et les deux autres la bite sortie, et se caressant face à moi. Je me baisse vers le plus proche et enfourne entre mes lèvres sa belle bite décalottée épaisse et longue ; j’ai failli m’étouffer. Il pose se mains sur ma tête pour imprimer le rythme de la fellation qui l’amène très vite à la jouissance, projetant de longs jets de foutre tiède au fond de ma bouche, son foutre est un peu amer, mais j’adore. Je me tourne alors vers le troisième au moment où sa bite caressée projette tout son foutre sur mon visage.

Je me relève, le visage souillé, les fesses humides et ma bouche encore pleine de sperme, je redescends ma jupe, réajuste mon top, je leur murmure « Merci ! » en leur lançant un baiser, puis je me faufile hors des toilettes pour rejoindre la salle du haut et peut-être en exciter d’autres tout aussi bien montés et désireux de profiter de mes orifices intimes encore tout humides. Je m’assois au dernier rang, contre le mur et déjà un beau black tenant son long sexe à la main vient s’asseoir à côté de moi. Je glisse ma main pour le caresser tandis que lui glisse son bras autour de mes épaules et posant sa main sur mon cou m’oblige à me pencher vers son superbe engin. J’ai beau écarter mes lèvres, j’en reste au gland qui emplit ma bouche. Lui, appuie sur ma tête pour que j’enfonce ma bouche sur son pieu dressé, mais son gland bute sur mon palais et je manque de déglutir, tandis que ma langue est coincée par son gland qui ramone l’intérieur de mes joues. Quelques allers et retours de mes lèvres sur le haut de sa hampe suffisent pour que je sente son foutre exploser dans ma bouche et ma gorge. Dégageant alors mes lèvres de son sexe, je reçois ses dernières éjaculations en plein visage. J’avale avec délice son nectar et pose mes lèvres encore souillées de son sperme sur les siennes. Il me glisse sa langue dans ma bouche et répond à mon baiser.

Puis il se lève et se penchant vers moi et me dit « Merci ma salope, c’était super. Tu as aimé ? »

Je lui réponds « J’ai adoré, mec »

Un black qui venait d’assister à cette pipe royale s’approche et s’assoie à côté de moi. Il me tire vers lui pour que je m’empale sur sa grosse queue. Je commence à aller et venir sur ce pieux jusqu’à ce qu’il me plaque contre lui et m’inonde le cul de sa semence, se lève et se tire sans un mot.

Peu de temps après, un homme blanc plus âgé vient s’assoir à coté de moi. Il me dit « Je t’ai vu dans les chiottes petite pute, ta chatte c’est un autoroute »

Je lui réponds « c’est à cause de vous, c’est de votre faute »

Il m’agenouille sur un fauteuil à côté de lui, robe relevée, fesses bien en face de lui. Il commence par me caresser le cul et sort d’une de ses poches une bouteille de gel et me badigeonne bien le cul.

Je reprends ma fiole de poppers et la sniffe profondément. L’homme entreprend de me fister. Je tortille mes lobes fessiers sous les caresses de plus en plus pénétrantes de cet homme. Sa main s’enfonce tout doucement dans mon trou d’amour. J’émets de petits râles de plaisir. Sa main ressort doucement et replonge aussitôt. Le va et vient tantôt poing fermé, tantôt poing ouvert, s’intensifie sans violence, un filet de liquide séminal s’échappe de mon clito et mes râles se font de plus en plus entendre.

L’homme retire doucement sa main et m’aide à me relever. Du monde s’était agglutiné autour de nous et venait d’assister à ce fist. Je reconnais mon beau magrébin des toilettes, je lui prends la main et l’entraine vers le bout du rang où je m’agenouille sur un fauteuil, ma robe relevée et lui tournant le dos avec les mains sur le dossier, il se colle à moi et je sens sa bite me pénétrer aussitôt, m’arrachant une plainte tandis qu’il commence à me pilonner vigoureusement. Cela dure de longues minutes, et je commence à sentir l’excitation monter au fur et à mesure de son enculage rythmé. Ses mains sur mes hanches serrent très fort ma taille et je le sens se projeter en avant, tandis que des saccades de son généreux foutre inondent mon cul généreusement offert. Il se dégage lentement, laissant son engin à moitié enfourné dans mon anus, je serre mes sphincters pour le retenir en moi et il se colle à moi, m’enlaçant de ses bras musclés.

Il me murmure à l’oreille « Tu es une bonne kahba, j’ai encore envie de toi »

Je retourne à demi mon visage vers lui et je lui dis « Salam Aleikoum » d’une voix lascive.

Il me regarde et me dit « Tu aimes les Arabes ? »

Je lui réponds « Oh oui, mec, ce sont eux qui me baisent le mieux »

Alors il sourit et je sens sa bite se ré-enfoncer lentement en moi, je feule de plaisir et je lui dis « Je suis ta kahba, baises moi encore plus fort »

Alors il écarte le black qui est en train de sucer mes tétons, et me les prends entre ses doigts, les pinçant très fortement « Oh Ouiiii, pinces les forts, j’adore ça »

En même temps sa bite est redevenue dure, et il s’enfonce d’un coup de reins me faisant pousser un petit gémissement, et s’appuyant sur moi, il me fait courber sur le dossier du fauteuil et me lime maintenant très rapidement, ses coups de butoir me rendent folle d’excitation, je sens que je bascule dans une jouissance totale et tandis que mon clito crache un filet de liquide séminal, faisant montrer que je suis en train de jouir de mon trou d’amour, lui continue de me labourer jusqu’à ce qu’il explose à nouveau en moi. Il s’affale sur moi en jouissant et je sens sa semence déborder de mon cul ouvert et couler sur mes bas. Je m’effondre dans le fauteuil et il vient me prendre dans ses bras en m’embrassant goulûment. Je prends sa langue et colle mes lèvres aux siennes, il pose sa tête contre mon front en me disant essoufflé « Tu es à moi, ma kahba, je t’ai fécondé de mon sperme, et je te veux pour moi, tu vas m’obéir, car je suis devenu ton Maître » Je le regarde dans les yeux en murmurant « Oui Maitre, je suis ta kahba désormais, et j’obéirai à tous tes désirs et à tous tes ordres ».

Nous sommes sortis ensemble du cinéma et nous sommes allé tous les deux passer un moment dans ma chambre d’hôtel.

Gang bang dans un sex-shop

Je veux vous faire part de ma dernière expérience de pluralité masculine. Elle se passe dans un sex-shop de la capitale où je m’offre en lope soumise et docile à des inconnus. C’est un sex-shop connu par son esprit d’ouverture pas très loin d’une tour. Le soir venu, sur les coups de 18h, je me présente à l’entrée, passe un « bonjour » au patron, très sympa d’ailleurs, je file au fond de la pièce et m’engage dans l’escalier en colimaçon qui descend au sous-sol. A droite, il y a deux cabines assez spacieuses (3 places) et un WC, à gauche un couloir et des cabines des deux côtés. C’est une heure de grande affluence, beaucoup de parisiens passent par-là après le travail. J’entre dans une cabine libre (j’ai dû attendre 10 minutes), allume la lumière et ferme le loquet de la porte derrière moi.

J’enlève mes vêtements de mecs pour ne plus porter que les dessous préalablement enfilés : un soutien-gorge noir seins nus, un porte jarretelle noir avec des bas résilles, un string rose fluo, une minijupe en vinyle noire. Je complète ma tenue en ajustant ma perruque brune, j’enfile mes escarpins noirs et un coup de rouge à lèvre pour apporter la touche finale. Me voilà travestie soumise et sexy. Je range mes vêtements de mec dans mon sac à dos.

Les fesses de la lope Waloou

Déjà toute excitée par l’ambiance, je mets ma carte pour visualiser un film de travestis, éteint la lumière, et entrouvre légèrement la porte de la cabine. Le couloir est éclairé, du monde passe et je sais que rapidement des mecs vont jeter un œil à l’intérieur de la cabine. Je m’assieds dans le fauteuil devant l’écran de télévision et patiente en matant le film.

Des mecs passent, jettent un regard à l’intérieur de la cabine… Un premier candidat, la cinquantaine, passe plusieurs fois. Je lui fais signe d’entrer, ce qu’il fait rapidement. Il baisse sa braguette, sort sa queue qui bande déjà fort et me la présente à sucer. Je m’exécute, je suis là pour ça, et commence à le pomper en restant assise dans le fauteuil. J’aperçois du coin de l’œil un deuxième candidat, la quarantaine un peu ventru. Je me lève pour lui donner un accès plus facile à ma personne. Il me caresse les fesses après avoir remonté ma jupe. Je me laisse faire car je suis trop occupé à sucer le premier. Je sens que l’homme derrière moi à envie de me baiser, du coup je vais aussi le prendre en bouche pour l’exciter. J’alterne entre la queue du premier et la queue du second que j’engouffre à pleine bouche. Je lui mets une capote et le laisse retourner derrière moi pendant que je reprends le premier en bouche, qui ne tardera pas à cracher tout son jus au fond de ma gorge au rythme des va et vient entre mes fesses du second. Son ventre martèlera mes fesses de plus en plus rapidement jusqu’à l’explosion. Il a dû me limer 5 minutes avant de tout cracher son jus dans la capote. Des voyeurs sont là sur le pas de la porte, la bite à la main, et dès qu’une place se libère, je me retrouve rapidement avec une bite dans la bouche, des doigts qui me fouillent le cul ou des mains qui me claquent les fesses avec plus ou moins de douceur.

Je suis de plus en plus excitée et je me retrouve assez rapidement avec trois queues différentes à sucer. Ma bouche est occupée à 100%, j’adore ça, quel plaisir d’avoir plusieurs hommes, sentir les mains me caresser sur tout le corps. L’un des trois que je suce me donne du poppers, il en sniffe aussi, puis met une capote et se positionne derrière moi pour me baiser, je mouille du cul tellement je suis excitée. Je suis d’ailleurs toute trempée, il commence à faire très chaud dans cette cabine. Les deux hommes que je suce finissent par gicler sur mon visage. Pendant ce temps l’homme de derrière me baise toujours, il a très chaud à force de me pilonner, et il décide de changer de position. Il s’assoit sur le fauteuil et moi je viens m’empaler sur sa queue, et je rythme les va et viens. J’ai chaud, j’ai du sperme qui dégouline de mon visage, j’essaie d’en avaler une goutte au passage. Nous resterons encore comme ça un quart d’heure avant qu’un râle assez fort de mon amant m’informe qu’il jouit. Je resserre mes sphincters pour qu’il se vide bien à fond. Il reprend ses esprits, « au revoir et merci » et s’en va. Je m’essuie le visage et me rafraichit un peu.

Dans l’heure qui suit, je suce encore trois autres hommes dont un qui m’a fisté en douceur. D’ailleurs si tu te reconnais j’aimerais bien recommencer cette séance de fisting.

J’ai hâte de recommencer cette expérience que je conseille à toutes les lopes travesties comme moi.

Les routiers sont sympas

En mars, je suis parti en déplacement en province pour mon boulot. Pour éviter les soirées ennuyeuses à l’hôtel, je me mets en quête de trouver un lieu de drague pas trop éloigné de mon hôtel.

Après quelques recherches sur internet, je me suis fixé sur un parking à environ une cinquantaine de kilomètres, ou normalement il se passe une certaine activité nocturne.

C’est décidé, j’irai demain soir.

Ma journée de travail terminée, je repasse à l’hôtel prendre une douche, bien me laver le cul pour être prêt au cas où se présenterait une occasion.

Je mets un string, des bas résilles, une petite robe, des escarpins, un jogging et un manteau, je prends une serviette et me voilà partie toute excitée en direction de ce lieu.

Après quelques kilomètres je vire mon jogging, ajuste une perruque, je mets un coup de rouge à lèvres mais je garde mon manteau sur ma robe car les soirées de mars sont encore fraiches, bien qu’il fasse beau et chaud en journée.

Une petite heure plus tard aux environs de 21h, j’arrive sur ce parking.

Trois camions étaient garés, très peu de voitures étaient là, quelques appels de phare, bref tout ce que l’on peut trouver sur un parking à cette heure-ci.

Je me gare pas loin des toilettes et prends mes marques et mes repérages de ce lieu.

Je sors de la voiture en direction des toilettes pour aller uriner et me faire voir de ceux qui viennent là pour ça, puis revient vers ma voiture.

Je décide alors d’aller me placer en face d’un camion ou j’ai remarqué que le chauffeur m’a regardé aller aux toilettes.

Le chauffeur a les pieds sur le tableau de bord et là, bien en face je le fixe bien. Il écarte les jambes pour me regarder et me fait signe de m’approcher de sa fenêtre en voiture.

  • Lui : Bonsoir, tu cherches quoi à me regarder !!
  • Moi : Bonsoir, je cherche quelque chose à me mettre dans la bouche.
  • Lui : OK, tu montes dans la cabine.

Il n’est pas très grand, type arabe, la trentaine.

  • Lui : Tu t’appelles comment ?
  • Moi : « La lope » et toi
  • Lui : Karim… et alors t’aimes quoi ?
  • Moi : Sucer, lécher, et plus
  • Lui : En fait t’es une chienne
  • Moi : Oui, une chienne chaude

Dans la cabine, il fait chaud, je retire mon manteau. Il ferme les rideaux et se colle à moi, sa bouche se pose sur la mienne et sa langue force ma bouche. Il a une haleine de tabac et de bière, ce mélange m’excite énormément. Je déboutonne son pantalon, et sort une bite de bonne taille déjà en érection. Il m’embrasse toujours mais je senti dans mes mains déjà le volume de cette bite dure et chaude, je veux la voir… à défaut je commence à le masturber pendant que ses mains se posent sur ma poitrine et vinrent titiller mes tétons, ce qui m’excite de plus en plus. Ne tenant plus, ma bouche stoppe ce baisé pour aller s’occuper plus bas de sa bite. Je la sens encore gonfler. Lui, me pince les tétons, je commence à gémir. Il s’est occupé de mes tétons pendant un petit moment avant de commencer à fouiller sous mon string avec sa main.

J’ai sa bite dans ma bouche, il ne bouge pas. Je commence à enrouler ma langue sur son gland en le tétant. C’est lui qui maintenant pousse des soupirs de plaisir. Je recule ma tête pour ressortir une partie de sa bite avant de la ravaler. Une de mes mains caresse ses couilles. Il se laisse faire un moment, me laissant seul rythmer ma fellation sur sa queue. Mais au bout d’un moment, il prend ma tête à deux mains et commence à baiser ma bouche. Ses va et viens deviennent de plus en plus puissant, son gland vient cogner ma gorge, me donnant des haut le cœur. Ma salive coule sur sa bite, je manque d’air, mais pourtant j’aime que Karim baise ma bouche, comme il en a envie.

  • Lui : Tu veux que je t’encule ?
  • Moi : Oui et comment !!

On se mets dans la couchette, moi en levrette en tendant bien mes fesses, il enlève son pantalon et son caleçon. Il écarte mon string, écarte mes fesses, puis crache sur mon anus.

Je sent bientôt son gland se frotter dans ma raie, sur mon anus. Il le pose dessus et force un peu, il dérape, mais bientôt il trouve l’entrée et se fraye un passage.

  • Moi : Doucement tu es gros.
  • Lui : Pousse salope ça va passer.

Un nouveau coup de rein de sa part et j’engloutis une partie de sa bite, il me prend par les hanches et ressort sa bite avant de l’enfoncer entièrement jusqu’aux couilles. Je serre les poings.

Il commence à faire des aller-retour dans mon cul, je le sens bien, il me fait du bien, je gémis.

  • Lui : Alors, la lope elle est bonne ma queue dans ton cul, ça te fait du bien ?
  • Moi : Oui elle est bonne je la sens bien elle est dure, elle tape au fond.
  • Lui : Tu es une grosse lope, tu vas avoir ce que tu es venue chercher
  • Lui : Tu le veux mon jus ?
  • Moi : Oui
  • Lui : Je vais t’engrosser, je vais te féconder …

Ses mots m’excitent… je me fais enculer par un inconnu dans son camion.

Karim se déchaine dans mon cul, je reçois des claques de plus en plus forte sur mes fesses alors que son plaisir monte dans ses reins. Je sens qu’il va jouir, sa bite me défonce en vibrant. Il donne un dernier coup de rein et reste au fond de mon cul ou je le sens jouir, son foutre brulant m’inonde le rectum.

Alors qu’il sort de moi il tourne ma tête vers sa queue ramollie.

  • Lui : Putain mec tu m’as bien vidé avec ton cul, c’était bon.
  • Lui : Lèche… salope… nettoie ma bite qui sort de ton cul.

J’ouvre la bouche et sort ma langue pour nettoyer son gland recouvert de son foutre, je le prends en bouche pour sucer et avaler.

Je reprends mes esprits, lui aussi et on se dit en revoir.

Je réajuste mon string, mes bas et ma robe, et sort de sa cabine et me dirige vers les toilettes.

Sur le coup, il faut que je me fasse jouir. J’ai passé plus d’une heure avec ce baiseur,  j’ai les fesses endolories et je sens le foutre perler sur mon string.

Arrivé aux toilettes, je m’enferme dans une cabine, je m’accroupis; j’ai l’anus, très sensible, j’ai l’impression qu’il est ouvert et ressorti, j’y passe mes doigts, j’enfonce un doigt, ma bite se raidi. J’en ai encore envie, les cuisses écartées, les doigts de la main droite sur mon anus et ma bite dans la main gauche, je m’enfile deux doigts bien profonds alors que ma main branle ma bite raide. Je ressors mes doigts souillés de foutre de mon cul pour les lécher et les sucer avant de me les renfiler. Je jouis rapidement en poussant un râle de plaisir. J’envoie deux grosses giclées de foutre sur la porte.

Je me remets debout et sort. Je ne suis pas seul, un gars m’a vu me diriger vers les toilettes et m’a suivi et entendu me faire du bien dans la cabine.

Il était grand, mince, la cinquantaine et avait déjà sa bite dans la main encore molle.

  • Lui : Tu veux la sucer ?
  • Moi : Oh que oui…

On se renferme dans les toilettes et je m’accroupis devant lui.

Je lui prends sa bite entre mes lèvres, et je me mets tantôt à le pomper, tantôt à lui lécher les couilles en redescendant vers ses fesses et je reviens sur son gland avec ma langue. Au bout d’un moment il prit ma tête et commence à bourrer ma bouche comme Karim tout à l’heure.

A ce moment-là je ne suis plus qu’un vide couilles. Il enfonce de plus en plus profond sa bite bien dure. Il n’hésite pas à me donner des coups de rein pour que je sente bien ses couilles sur mon visage. Son jus arrivait. Il se retire de ma bouche et jute de bons petit jets qui souillent ma figure et ma robe. Je continue à le branler tout en le regardant. Il est content d’avoir pu vider ses couilles sur la lope.

Je me remets debout, et m’essuie avec un kleenex.

  • Lui : J’aurais bien aimé te baiser, j’ai attendu une heure que tu en termine avec le routier là-bas.

En regardant sa queue ramollie,

  • Moi : Une autre fois, alors…
  • Lui : Je veux te pisser sur ta raie, retourne-toi

Je me retourne, je lève bien ma robe, et écarte bien mon string pour lui tendre mes fesses.

Il colle sa bite sur mon anus et se mets à m’arroser. La sensation de la pisse chaude qui coule sur mes fesses, qui asperge ma raie, qui dégouline sur mes bas me fait remonter mon excitation.

Après en avoir fini, je suis trempé par la pisse.

Il me lèche le cul pour me sécher, à l’occasion, il a dû récupérer un peu de foutre de Karim le routier. Pendant ce temps, je me branle et je joui à nouveau.

Il a ouvert les toilettes, on se dit au revoir, on part chacun de notre côté… Je commence à avoir froid.

Arrivé à la voiture je mets la serviette sous mon siège pour ne pas salir la voiture de location, et je repars souillé en direction de mon hôtel prendre une douche bien chaude.

Un vrai régal cette sortie, c’est à recommencer lors d’un prochain déplacement.

Foutre à déguster

J’aime sucer et j’ai un grand appétit à assouvir, je raffole de ce précieux nectar. En fait, je pratique dans différents lieux de drague ou je peux trouver de multiples partenaires qui aiment les bonnes suceuses comme moi. Les hommes qui ont l’occasion d’en profiter me disent que je suis une pute à jus, une chienne vide-couilles.

Et moi, en bonne lope soumise, ma récompense est une bonne éjaculation faciale ou buccale. Lorsque le plaisir de mon partenaire monte et que l’orgasme commence, j’essaie de tirer le maximumwaloou_010 de jus à chaque saccade, et pour que mon partenaire ait une jouissance maximale, je continue de lécher le gland pendant que les giclées de sperme s’écrasent au fond de ma gorge, ou sur mon visage. En fin d’éjaculation, je lèche délicatement le gland jusqu’à obtenir la dernière goute de ce bon jus de couilles.

Le gout et la texture du sperme varient tellement d’une bite à l’autre, que c’est un plaisir gustatif à chaque fois que j’avale une dose de foutre tant convoitée. Le plaisir anal est pour moi du même niveau que le plaisir buccal, et mes partenaires aiment beaucoup mon gros cul. En général il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu’un partenaire décide de me retourner et de me tenir par les hanches pour me baiser vigoureusement. Souvent, après un certain nombre de va-et-vient, mon partenaire préfère rester bien au chaud au fond de ma chatte pour exprimer sa jouissance plutôt que de m’inonder la bouche.

Je suis une lope et donc au service des hommes, et s’ils veulent jouir dans mon cul, je n’irai pas à l’encontre de leur plaisir. Ainsi il m’arrive de récupérer la semence des capotes usagées de mes partenaires et de remplir des éprouvettes afin d’avoir des doses pour me nourrir régulièrement. Certains de mes partenaires habitués connaissent mon addiction, si bien que lors d’une rencontre ils m’apportent une ou plusieurs capotes nouées remplies de foutre.

PrEP – La révolution du barback et du nokpote

Je vais vous parler d’un sujet qui me tiens à cœur car malgré les efforts il y a une recrudescence de nouveaux cas d’infection au VIH.

Un partenaire occasionnel m’a parlé en 2015 d’une étude effectuée par l’agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS) « Ipergay, la PrEP à la demande ».

Je me suis tout de suite documenté et pris un rendez-vous à l’hôpital avec un médecin pour faire partie de cette étude, car je me suis senti dans la population concernée.

Plus tard, les résultats de cette étude ont montré qu’on pouvait réduire en moyenne de 85% le risque d’infection lors de rapports nokpote, et depuis mars 2016, il me semble …, la haute autorité de la santé (HAS) a donné une autorisation pour délivrer le fameux médicament qui est pris en charge à 100% par l’assurance maladie (la boite de 30 comprimés coute entre 450 et 500 euros). Le protocole de PrEP nécessite un suivi trimestriel : Une consultation de médecin et une recherche en laboratoire (fonction rénale, VIH, Hépatites B et C, Syphilis, Gonocoque, Chlamydia), autant dire peu de chose pour avoir le maximum de chances de son coté pour rester « Clean ».

Je rencontre beaucoup de partenaires et une grande majorité sont fan du nokpote (pères de familles, hommes mariés, etc… ) et ne connaissent pas la PrEP, c’est fou 😥 !!!

Malgré les sorties de AIDES sur les lieux de drague gay (plusieurs fois, j’ai discuté avec des bénévoles de AIDES sur ces lieux), la PrEP est toujours aussi méconnue.

Alors, on baise nokpote, OK, mais la recherche évolue, on applaudie alors il faut aider à la connaissance des nouveaux traitements. N’hésitez pas à faire une petite recherche sur Google ou bien à aller lire l’article qui répondra à vos interrogations sur le site de La PrEP | AIDES

Des questions, on peut en parler ici.