Au Lynx à Toulouse

Comme souvent lors de mes déplacements professionnels, je vais passer un moment de détente dans un sexshop local. Celui que j’ai sélectionné en cette rentrée accepte les travestis, je planifiais naturellement un après-midi pour me donner dans cet endroit.

Mercredi dernier en début d’après-midi je me pointais en tenue féminine au Lynx. Après avoir réglé mon entrée, le caissier fort sympathique me faisait un grand sourire en me disant :

« Amusez-vous bien… Si vous êtes d’accord, je dirai à la clientèle qu’une trav est présente ».

« Oui bien sûr ! je suis venue pour ça et j’adore faire la salope ! ».

« Ça vous amènera du monde comme ça ! de savoir qu’il y a une putain de trav à baiser sur place ».

Je passais une première porte et me rendis dans une petite salle ou un film trans passait en boucle. Dans l’obscurité je remarquais quelques silhouettes et décidait d’aller m’asseoir près du fond de la salle.

Le jeu allait commencer. Quelques allées et venues s’opéraient surement entre les différentes salles et le couloir.

Il ne fallut pas trop longtemps à attendre pour que certains hommes bougent et viennent me rejoindre. Les hommes commençaient à se tripoter le sexe d’une main et de l’autre à me tripoter. C’est souvent comme ça que ça commence. A un moment un homme qui commençait à bander se mit devant ma bouche pour que je le suce. Au bout de 2 min, sa queue a bien durci et se révélait d’une taille bien supérieure à la moyenne. Je changeais de position, me mettant à genoux sur le fauteuil, relevais ma jupe et lui tendis mon cul. Pas d’hésitation de son côté, il s’enfonçait direct dans mon cul et s’y finit rapidement en poussant des râles bestiaux. Ça débutait pas mal.

Excité par le bruit, un métis vient me rouler une pelle magistrale. On se tripotait, il était super gaulé, il saisissait ma petite bite molle sous ma culotte. Instinctivement, je descendis vers sa queue pour le sucer et là il devient enragé. Il me tenait durement la tête pour se branler avec, m’obligeant à le sucer au plus profond possible en fond de gorge. Après il me fit me relever, relevait ma jupe et me prit par les hanches pour être dans l’axe de mon cul. Pas d’hésitation là non plus, il enfournait sa bite direct et entamait une défonce en règle en se plaquant dans mon dos, et en me maintenant comme pour m’empêcher de m’échapper. Je lui murmurait alors « Vas-y ! Jouis moi dans le cul ! Y a déjà un mec qui est passé ; tu patauges dans son jus, rajoute-le tiens ! », et là il se plaque à moi et je sens sa queue tressaillir violemment dans mon cul dilaté par un volume important de jus déversé. Il se retirait, j’arrive à ne rien perdre. Et au moment de me retourner pour lui nettoyer la queue d’un coup de langue, je vois que deux hommes étaient aux premières loges et nous mataient la bite à la main. Un blanc d’une bonne soixantaine d’années et un rebeu pas très grand assez jeune. Je me penchais pour nettoyer les dernières gouttes de jus sur la queue du métis, et je sentis alors des mains sur mes hanches et une bite  (plus modeste que celle du métis) qui se planta d’un coup dans mon œillet. Le métis remballa et alors que j’essayais de le retenir pour lui filer mon numéro, il me dit à l’oreille : « j’ai pas le temps, je suis déjà à la bourre », et il se cassa.

Je me retournais pour voir lequel des deux autres étaient dans mon cul, c’était le rebeu. Il dit méchamment au vieux de se casser, ce qu’il fait, et nous voilà seuls. Il me limait en se cramponnant à mes hanches, je passais la main pour lui toucher les couilles et il me lança « T’inquiètes, j’ai pas mis de capote, les putes comme toi c’est fait pour prendre le jus des mecs ! ».

Évidemment, je confirme et réponds « T’as vu le métis cracher dans mon cul, c’était le 2ème, tu patauges dans le jus de 2 mecs différents. Tu kif les culs de mecs ? ». Sa réponse « Moi je baise pas les mecs, je baise les meufs ou les putes ! Et toi t’es une pute ! » Et il se met à haleter en me jouissant dans le cul. A peine terminé, il se retira, remballa et se cassa. Je me retrouvais seul, le cul à l’air, le bide rempli de semences différentes.

Petite pause en attendant de voir ce que la suite de l’après-midi allait me donner comme surprise.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs

Après la fermeture du Ciné-Nord en 2013 et du Beverley en 2019, l’Atlas est le dernier cinéma porno de Paris. Après cette pandémie, j’espère qu’il pourra ré-ouvrir car ses séances de l’après-midi y voient des hommes, la plupart maghrébins ou blacks qui viennent trouver ici un lieu de rencontres et de partage de plaisirs.

Ces dernières années les lieux de rencontres extérieurs pour travesties comme les bois de Boulogne et de Vincennes ou autres bois en banlieue parisienne deviennent de plus en plus risqués et désertés, alors que ce cinéma reste à mes yeux le seul endroit de débauche ou les travesties peuvent encore se lâcher sans retenue.

Quand je vais à l’Atlas c’est pour me faire baiser et défoncer par un maximum de mecs.

Je prends une chambre au « GOLDHOTEL » boulevard de Clichy, ce qui à un double intérêt. Je peux aller à l’Atlas à 500 m directement vêtue en fille, et je peux ramener un ou plusieurs mecs dans ma chambre en sortant de l’Atlas. De plus il y a un parking souterrain à 500 m de là pour garer la voiture.

Samedi, début d’après-midi, je suis prête, maquillage léger et parfumée. Je porte une petite robe noire, moulante, ras du cou, dos nu, bas résille et talons pas trop hauts (sinon c’est trop casse gueule une fois à l’intérieur du ciné). Je prends ma pochette avec mon rouge à lèvres, des lingettes, du parfum, une fiole de poppers et 10€ pour l’entrée.

C’est toute excitée que je pénètre dans l’Atlas, et une fois en salle, je range mon petit string dans ma pochette pour que ma chatte anale soit en accès direct à toutes les queues.

Je commence à déambuler devant les hommes qui restent debout, appuyés au mur pour surveiller les rencontres et mater les caresses qui s’y échangent entre spectateurs. Je les frôle en suscitant leurs caresses au passage et les inciter à me suivre dans le halo que dégage mon parfum féminin.

Lorsque j’atteins les toilettes, j’aime m’adosser à la céramique sale. Je sniffe profondément du poppers, l’effet est presque instantané et une très forte chaleur envahie mon corps. Un homme ou deux, parfois trois, blacks et maghrébins m’y rejoignent. Je les regarde en passant ma langue sur mes lèvres écarlates, puis je remonte lentement ma robe noire, offrant ainsi à leurs regards avides mon clito de trav.

Je me retourne face au mur pour qu’ils découvrent entièrement mes fesses, comme une offrande pour leurs mains agiles qui s’empressent de se poser sur mon corps ainsi exposé et offert. Des doigts se glissent alors entre mes lobes fessiers en s’immisçant au cœur de mon intimité. Les doigts s’agitent, tournent et distendent doucement mes sphincters, tandis que d’autres mains se sont glissées vers ma poitrine, titillant mes seins, pinçant et étirant mes tétons, en faisant monter lentement mon excitation. Je commence à gémir doucement, une main se pose sur mon cou et attire mon visage vers celui d’un beau magrébin qui pose ses lèvres sur les miennes en glissant sa langue agile au fond de ma bouche, s’entortillant autour de la mienne dans un baiser torride. J’écarte au maximum mes cuisses, dégageant ainsi mon anus pour l’offrir à la première bite qui me pénètrera. Je sens des mains se poser sur mes hanches, et le gland humide d’une bite que je sens bien dressée, se présenter alors à l’entrée de mon trou d’amour. Je me penche un peu plus en arrière et m’empale alors sur le sexe qui glisse en moi avec force en me faisant pousser un petit cri de plaisir, que la bouche de l’homme qui m’enlace fait aussitôt taire. L’homme qui m’a pénétrée se met alors à me limer d’abord lentement, puis il accélère ses mouvements m’arrachant des petits râles de plaisir, tandis que le second m’embrasse à pleine bouche et que les doigts du troisième tordent violemment mes tétons. Je m’arc-boute contre le mur carrelé, mes mains posées à plat devant moi, et je m’abandonne à l’excitation qui est en train de me submerger, mes petits râles deviennent une longue plainte lorsque les doigts de celui qui m’encule se posent sur mon petit clito tout flasque en le caressant jusqu’à mon râle de plaisir accompagnant un filet de mon liquide séminal, et alors que je sens le foutre de l’homme couler de mes fesses sur mes cuisses et mes bas.

Je reprends petit à petit mes esprits. Je me retourne vers eux, mon enculeur avec la bite encore humide et dressée, et les deux autres la bite sortie, et se caressant face à moi. Je me baisse vers le plus proche et enfourne entre mes lèvres sa belle bite décalottée épaisse et longue ; j’ai failli m’étouffer. Il pose se mains sur ma tête pour imprimer le rythme de la fellation qui l’amène très vite à la jouissance, projetant de longs jets de foutre tiède au fond de ma bouche, son foutre est un peu amer, mais j’adore. Je me tourne alors vers le troisième au moment où sa bite caressée projette tout son foutre sur mon visage.

Je me relève, le visage souillé, les fesses humides et ma bouche encore pleine de sperme, je redescends ma jupe, réajuste mon top, je leur murmure « Merci ! » en leur lançant un baiser, puis je me faufile hors des toilettes pour rejoindre la salle du haut et peut-être en exciter d’autres tout aussi bien montés et désireux de profiter de mes orifices intimes encore tout humides. Je m’assois au dernier rang, contre le mur et déjà un beau black tenant son long sexe à la main vient s’asseoir à côté de moi. Je glisse ma main pour le caresser tandis que lui glisse son bras autour de mes épaules et posant sa main sur mon cou m’oblige à me pencher vers son superbe engin. J’ai beau écarter mes lèvres, j’en reste au gland qui emplit ma bouche. Lui, appuie sur ma tête pour que j’enfonce ma bouche sur son pieu dressé, mais son gland bute sur mon palais et je manque de déglutir, tandis que ma langue est coincée par son gland qui ramone l’intérieur de mes joues. Quelques allers et retours de mes lèvres sur le haut de sa hampe suffisent pour que je sente son foutre exploser dans ma bouche et ma gorge. Dégageant alors mes lèvres de son sexe, je reçois ses dernières éjaculations en plein visage. J’avale avec délice son nectar et pose mes lèvres encore souillées de son sperme sur les siennes. Il me glisse sa langue dans ma bouche et répond à mon baiser.

Puis il se lève et se penchant vers moi et me dit « Merci ma salope, c’était super. Tu as aimé ? »

Je lui réponds « J’ai adoré, mec »

Un black qui venait d’assister à cette pipe royale s’approche et s’assoie à côté de moi. Il me tire vers lui pour que je m’empale sur sa grosse queue. Je commence à aller et venir sur ce pieux jusqu’à ce qu’il me plaque contre lui et m’inonde le cul de sa semence, se lève et se tire sans un mot.

Peu de temps après, un homme blanc plus âgé vient s’assoir à coté de moi. Il me dit « Je t’ai vu dans les chiottes petite pute, ta chatte c’est un autoroute »

Je lui réponds « c’est à cause de vous, c’est de votre faute »

Il m’agenouille sur un fauteuil à côté de lui, robe relevée, fesses bien en face de lui. Il commence par me caresser le cul et sort d’une de ses poches une bouteille de gel et me badigeonne bien le cul.

Je reprends ma fiole de poppers et la sniffe profondément. L’homme entreprend de me fister. Je tortille mes lobes fessiers sous les caresses de plus en plus pénétrantes de cet homme. Sa main s’enfonce tout doucement dans mon trou d’amour. J’émets de petits râles de plaisir. Sa main ressort doucement et replonge aussitôt. Le va et vient tantôt poing fermé, tantôt poing ouvert, s’intensifie sans violence, un filet de liquide séminal s’échappe de mon clito et mes râles se font de plus en plus entendre.

L’homme retire doucement sa main et m’aide à me relever. Du monde s’était agglutiné autour de nous et venait d’assister à ce fist. Je reconnais mon beau magrébin des toilettes, je lui prends la main et l’entraine vers le bout du rang où je m’agenouille sur un fauteuil, ma robe relevée et lui tournant le dos avec les mains sur le dossier, il se colle à moi et je sens sa bite me pénétrer aussitôt, m’arrachant une plainte tandis qu’il commence à me pilonner vigoureusement. Cela dure de longues minutes, et je commence à sentir l’excitation monter au fur et à mesure de son enculage rythmé. Ses mains sur mes hanches serrent très fort ma taille et je le sens se projeter en avant, tandis que des saccades de son généreux foutre inondent mon cul généreusement offert. Il se dégage lentement, laissant son engin à moitié enfourné dans mon anus, je serre mes sphincters pour le retenir en moi et il se colle à moi, m’enlaçant de ses bras musclés.

Il me murmure à l’oreille « Tu es une bonne kahba, j’ai encore envie de toi »

Je retourne à demi mon visage vers lui et je lui dis « Salam Aleikoum » d’une voix lascive.

Il me regarde et me dit « Tu aimes les Arabes ? »

Je lui réponds « Oh oui, mec, ce sont eux qui me baisent le mieux »

Alors il sourit et je sens sa bite se ré-enfoncer lentement en moi, je feule de plaisir et je lui dis « Je suis ta kahba, baises moi encore plus fort »

Alors il écarte le black qui est en train de sucer mes tétons, et me les prends entre ses doigts, les pinçant très fortement « Oh Ouiiii, pinces les forts, j’adore ça »

En même temps sa bite est redevenue dure, et il s’enfonce d’un coup de reins me faisant pousser un petit gémissement, et s’appuyant sur moi, il me fait courber sur le dossier du fauteuil et me lime maintenant très rapidement, ses coups de butoir me rendent folle d’excitation, je sens que je bascule dans une jouissance totale et tandis que mon clito crache un filet de liquide séminal, faisant montrer que je suis en train de jouir de mon trou d’amour, lui continue de me labourer jusqu’à ce qu’il explose à nouveau en moi. Il s’affale sur moi en jouissant et je sens sa semence déborder de mon cul ouvert et couler sur mes bas. Je m’effondre dans le fauteuil et il vient me prendre dans ses bras en m’embrassant goulûment. Je prends sa langue et colle mes lèvres aux siennes, il pose sa tête contre mon front en me disant essoufflé « Tu es à moi, ma kahba, je t’ai fécondé de mon sperme, et je te veux pour moi, tu vas m’obéir, car je suis devenu ton Maître » Je le regarde dans les yeux en murmurant « Oui Maitre, je suis ta kahba désormais, et j’obéirai à tous tes désirs et à tous tes ordres ».

Nous sommes sortis ensemble du cinéma et nous sommes allé tous les deux passer un moment dans ma chambre d’hôtel.