Salope à pisse et à jus

Un jour je suis contactée par un homme qui me dit être fan des jeux humides. Il me dit aimer pisser sur une bonne salope mais son kiff est de pisser dans une bonne salope, ce qui m’excite au plus haut point.

Après quelques échanges avec lui, remarquant qu’il était bien pervers et vicieux et surtout qu’il avait l’air fiable, nous convenons d’un rendez-vous chez lui à l’heure de l’apéro.

Pour cette soirée arrosée chez Denis, je me suis préparée comme ceci : Un string et un soutien-gorge rouge avec une paire de bas auto-fixant couleur chair. Tout ça sous une petite robe tube noire avec une large ceinture à la taille, perruque blonde et mes sandales beige clair à hauts talons.

Je reçois un SMS : « Alors tu arrives, salope ? »

Je réponds : « je pars »

J’enfile un manteau, et après une petite heure de trajet, j’arrive devant chez Denis ; Il habite dans un joli pavillon en banlieue parisienne. Je me gare, je sonne et Denis m’ouvre la porte.

Perchée sur mes hauts talons, j’apparais bien offerte à son regard. Denis me fait la bise et m’annonce que je vais avoir une surprise.

Humm, j’adore les surprises.

Denis m’invite à le suivre au salon. Un de ses potes est là, une pinte de bière posée devant lui sur la table du salon. Dans ma tête je me réjouis déjà, deux mecs pervers pour moi seule ce soir.

Denis m’invite à me mettre à l’aise, prends mon manteau et me propose un apéritif.

Je me retrouve assise à côté de son pote à siroter mon apéritif, et Denis assis sur un fauteuil à notre droite, lui aussi une pinte de bière devant lui.

J’en profite pour vérifier, en passant une main entre les jambes du pote de Denis, si je lui fais de l’effet et je crois que oui. Il sorti sa queue de son pantalon et m’attrapa la tête pour que je commence à le sucer. Son membre grossit très vite et quel plaisir de sentir cette queue m’envahir la bouche.

Denis ne resta pas insensible à ce spectacle.

Je me mis à genoux toujours en train de sucer son pote pendant qu’il remontait ma robe. Il enlève le Rosebud XL de mon cul et le remplace par sa queue déjà très dure. J’étais bien prise des deux côtés. Après quelques va et vient en douceur pour bien m’ouvrir la chatte anale, Denis retire sa queue et la remplace par un gros plug avec une ouverture centrale pour garder ma chatte bien dilatée. Je sens au moins 3 ou 4 doigts tester mon trou ainsi mis à sa disposition.

Le pote de Denis ôte ma bouche goulue de son membre pour ne pas exploser tout de suite. Nous continuons notre apéritif et Denis retire ma robe. Je me retrouve ainsi uniquement en sous-vêtements.

J’étais déjà bien excitée et, ils m’ont attirée vers le fond de la salle de bain. Je me retrouve à 4 pattes dans une grande douche à l’italienne qui laisse beaucoup de place pour des jeux humides.

« Tu aimes la queue salope ? Tu sais que tu es là pour qu’on te remplisse à la pisse et au jus »

Denis remplace son pote dans ma bouche et commence quelques va et vient. J’ai déjà la bouche pleine et il continue à s’enfoncer au fond de ma gorge, me faisant déglutir et baver de plus en plus. J’évite un haut le cœur, crache de la bave gluante qui contribue à les exciter encore plus tous les deux.

« Montre un peu ton cul !!! »

Denis enfonce un entonnoir dans le trou central du plug anal. Il demande à son pote s’il veut commencer à me remplir à la pisse. Celui-ci propose à Denis de démarrer pendant que je me fais baiser la bouche par lui.

Denis lâche deux ou trois petits jets chauds et je sens que l’entonnoir commence à faire son travail, la pisse s’écoule à l’intérieur de mon cul.

« Humm, j’adore ça. »

Denis invite son pote à pisser à son tour en lui disant qu’il veut garder sa pisse pour me gaver ma gueule de pute.

Son pote ne se fait pas prier et commence à remplir l’entonnoir, il laisse le temps que toute sa pisse s’écoule à l’intérieur de ma chatte anale puis recommence. Je sens que mon cul se remplit avec toute la pisse qui y entre.

Une fois fini, il retire l’entonnoir et le plug tunnel et je serre fortement les fesses pour retenir le maximum de pisse à l’intérieur.

Je suis complètement excitée par cette situation, moi en levrette sur le carrelage de la douche remplie de pisse avec ces deux mecs pervers qui veulent me gaver. Je me suis assise dans la douche, j’en veux encore plus, et je supplie Denis de me remplir la gorge de pisse. Il ne se fait pas prier et lâche quelques jets de pisse bien contrôlés pour que je puisse tout avaler. Il laisse la place à son pote qui dirige sa queue vers ma bouche de salope et lâche aussi un grand jet de pisse. Je n’arrive pas à tout avaler, ça coule sur mes sous-vêtements. Sa pisse a une odeur plus forte, ça m’excite encore plus.

A tour de rôle, ils me pissent à volonté dans la bouche ou dans la gorge. J’évite plusieurs fois d’avaler de travers et je me sens mentalement comme une pute souillée à la pisse, remplie des deux côtés par leur pisse chaude.

Une fois qu’ils ont bien vidé leur vessie, le pote de Denis me dit de me mettre à 4 pattes et qu’il va me laisser me vider le cul dans un saladier. Je sens plusieurs jets chauds sortir de mon cul et s’écraser au fond du saladier. Ensuite Denis prend le saladier et me le vide sur le visage. J’ouvre grand la bouche et lape pour en boire le maximum.

Mes deux amants étaient très excités par cette situation. Ils commencent ainsi à tour de rôle à enfoncer leur queue dans ma gorge puis se masturbent chacun juste devant ma bouche grande ouverte et langue tirée. Je vois leur queue grossir à nouveau et leur gland se gonfler de sang. Denis vient le premier et lâche son jus avec deux petits jets qui atterrissent directement dans ma bouche avant de finir de frotter et nettoyer son gland sur mon visage. Son pote vient terminer par une belle éjac faciale avec un jus plus abondant et épais.

Après, j’attends dans un coin de la salle de bain couverte de pisse et de jus que mes deux amants prennent leur douche.

Avant mon tour pour la douche, ils avaient encore envie de pisser. Normal avec les bières bues tout à l’heure. Je me suis mise accroupie dans la douche et chacun à leur tour ils m’ont encore pissé dans la bouche.

Cette soirée s’est poursuivie en continuant de leur faire plaisir avec ma bouche et ma chatte au fil de leur envies pendant le repas.

Après cette soirée je suis repartie uniquement vêtue de ma robe tube avec mes affaires souillées dans un sac. Pendant le trajet, en me remémorant cette soirée, mon bas ventre me chauffait encore et ma chatte mouillait. Je fais donc un petit détour par un parking de drague connu de la région.

Aujourd’hui, ma vie de salope

Depuis l’épidémie de covid, je suis partie m’installer dans une petite ville de Bourgogne, tout en gardant un lien fort avec Paris.

Dès lors, mon activité de salope est devenue assez souvent monotone. Les quelques pêches, ici et là, ne me rendent pas grand-chose, je suis devenue une intermittente du plaisir en quelque sorte, au coup par coup la plupart du temps.

J’ai un peu de regrets de cette vie Parisienne de l’avant covid ou l’on s’usait à avaler, recevoir, et avaler encore. Quand on avait avalé cinq ou six fois dans la journée, que l’on s’était prise des queues entre et après, on se retrouvait à reprendre souffle, reprendre forme, la bouche encore mouillée et la chatte toute dégoulinante de la dernière dose de sperme reçue.

Pourtant, je sors assez souvent en fille, mais je dois admettre que c’est souvent entre chien et loup et que ma destination reste souvent le bois ou le parking. Mais la plupart du temps, les rares voyeurs me lorgnent, me donnent parfois leur sexe à sucer. Plaisir pris, ils repartent. Parfois, je les revois un autre jour, parfois pas.

Pour éteindre mon excitation, je suis obligée de me caresser doucement seins et chatte. Mais dehors, il y a toujours la caresse de l’air, le bruit des autos, que sais-je encore. Et quand je rentre, c’est toujours la nuit, et de plus à ces heures, la ville est quasi déserte, comme abandonnée. Ma seule compagnie reste le bruit de mes talons sur le macadam.

Après-midi avec un amant

J’étais un peu nerveuse mais tout était prêt. J’ai passé deux heures à me faire une beauté, chaque partie de mon corps était douce, tous les coins et recoins prêts à être utilisés au cas où sa langue viendrait se poser sur mon corps.

J’ai décidé de porter quelque chose de simple mais sexy, un haut rouge scintillant, des bas et une petite culotte noire et chaussée d’escarpins rose. Me sentant bien dans mon regard, j’ajuste le dernier maquillage et je me souris face au miroir.

C’est bientôt l’heure ou un amant que je ne connais pas va venir me rendre visite dans cette chambre d’hôtel qu’il a réservé pour moi.

J’attendais cet homme sur le lit en position de levrette, le dos cambré, le cul bien dégagé, un attrayant point focal quand il entrera dans la chambre. J’avais tout préparé comme il me l’avait auparavant demandé. La pièce était sombre, éclairée par une petite lumière et une musique lunch qui contribuera à créer l’ambiance.

De manière pratique, je lui ai placé une chaise devant le lit avec une vue directe sur mes fesses, exposées et prêtes.

J’entendais la porte s’ouvrir. La musique le guida pendant que je berçais mes fesses, les pas se rapprochant jusqu’à ce que je puisse sentir sa main chaude se poser sur moi.

« Bonjour ma pute », me dit-il.

Je sentais une étincelle immédiate et me ressaisissais encore plus, m’efforçant de m’assurer que chaque fraction de mon corps était offerte. Ses mains descendaient le long de mes jambes, cet amant adore la sensation de mes jambes enserrées qui me laisse une traînée de chair de poule quand il me caresse. De retour à l’endroit où il a commencé, l’homme a écarté la culotte que je portais et s’est arrêté une minute maintenant que j’étais exposé.

Mon cœur commençant à battre avec impatience.

Je sentis ses lèvres embrasser mes fesses et puis, doucement, sa langue léchait mon trou impatient. Mes yeux se révulsèrent et je gémissais à haute voix alors que je recevais la meilleure bouffe de chatte de ma vie, il ne se retint pas et j’étais en extase. Ramené sur terre par le toucher ferme de sa main et une petite fessée sur le derrière, il a ensuite commencé à me demander où il me voulait et comment il voulait que je pose.

J’ai adoré ça, rien n’est plus sexy qu’un homme qui sait ce qu’il veut et qui l’exige en conséquence ! À ce moment-là, je devenais folle, je voulais sa queue dans ma bouche.

Et, le moment que j’attendais est enfin arrivé. Me portant à genoux, un oreiller m’attendait alors que je m’installais devant mon objet de plaisir. Avec sa ceinture toujours attachée, il dégrafa son pantalon, et à l’intérieur tirant lentement son sexe et ses couilles glorieuses.

« Je vais te baiser ta douce bouche, tu vois comme je suis dur ? »

« Hummm, oui », ai-je répondu.

« Bonne pute » me répondit-il alors qu’il s’approchait un peu plus près sa queue, maintenant directement devant mes lèvres.

Épais et dur, il glissait lentement sa queue dans ma bouche, s’arrêtant une fois que sa tête palpitante était complètement à l’intérieur. Nous avons fermé les yeux et j’ai à moitié souri. J’aime sucer la bite, ça me rend tellement excitée et humide, l’un des moyens les plus intimes de se connecter avec une autre personne à mon avis. Le sentir dans ma bouche après tant d’anticipations, tout était parfait et j’y suis entré directement, suçant le bout avec ma langue, travaillant le manche puis prêtant une attention particulière à ses boules délicieusement façonnées. Je pouvais goûter des notes de délicieux pré-cum et cela me rendait encore plus excitée ! Douce et humide, profonde et chaude, sa bite remplissait chaque partie de ma bouche et de ma gorge. J’ai étouffé et bâillonné sur sa queue alors que je faisais de mon mieux pour lui plaire.

Après un long moment de succion sucrée, il m’a arrêté, me tirant vers le haut, il m’a ordonné de poser à quatre pattes pour lui sur la chaise sur laquelle il était assis à l’origine. Je faisais comme ordonné et attendais avec mon dos voûté, le cul relevé. Je pouvais l’entendre se masturber, puis, venant derrière moi, je sentis sa queue palpitante se presser contre ma chatte humide et impatiente.

« Oh oui », je me suis dit …

« Enfin, sa queue ! »

Et avec ça, il me pressait fort et profondément, je le sentais bien, pas du tout douloureux mais assez puissant pour le sentir réellement s’étirer et me remplir instantanément. Maintenant, je n’ai pas envie de me faire mal mais j’aime être prise, possédée, utilisée comme un jouet pour l’amusement et le plaisir sexuel de mes amants. J’adore être baisée intensément puis récompensée par un amant doux et chaud !

Et c’est exactement ce que j’ai. Commençant à me baiser, il me pilonnait la chatte avec ce type de baise profonde qui dit que je possède ton cul de salope. J’aime faire ma part aussi, alors j’ai gardé le dos voûté, le cul maintenu en position pour une profondeur maximale. Mon amant frappait sa cible avec précision et je l’aimais putain ! Vibrant à chaque coup mais à moitié retenu par ma culotte écartée, je fuyais avec plaisir, les fluides chauds ruisselant sur mes cuisses trempées alors que ses couilles me tapaient à chaque coup. Reprenant le rythme, il m’a averti qu’il était sur le point de jouir et, avec plusieurs poussées fortes, il a déversé toute sa semence en moi.

« Oh Oui, oui, oui !!! » ai-je pleuré en repoussant mes fesses pour correspondre à ses dernières poussées.

« Oh, putain oui » disait-il en haletant.

Les deux mains de mon amant tenaient fermement mes hanches, que je pouvais sentir sa queue palpiter au fond de moi et je réagissais en me dandinant. Nous avons attendu un moment dans cette position, puis il a lentement sorti son membre encore gonflé, le reposant sur le côté de mon cul.

« Putain qu’il est chaud » disait-il en regardant mon trou légèrement béant. Je savais qu’il y avait encore du travail à faire et je me suis tout de suite mise à genoux pour le nettoyer. De plus, je ne voulais pas perdre une goutte !

« Tu es vraiment une bonne pute » me dit-il en répondant gentiment à mon geste.

J’ai pris sa bite dégoulinante de foutre dans ma bouche pour la première partie de son bain de langue. Dégustant le jus sucré de ma chatte et sentant la chaleur de son foutre, j’ai commencé à le nettoyer. Très doucement, je donnais des coups de langue à sa queue encore palpitante, goûtant les dernières goutes de foutre qui restait.

Ensuite mon amant pris un verre que j’avais préparé et le mis sous ma chatte tout en me disant de pousser fort pour que toute sa semence tombe dans le verre. Je sentais tout ce liquide de plaisir ressortir de ma chatte baveuse pour maculer ce verre.

Après, je me suis retournée et légèrement inclinée en arrière. C’était si délicieux que je ne pouvais pas résister et avec les yeux fermés, j’ai ouvert la bouche et tiré la langue. Il tenait le verre au-dessus de ma bouche et me donnait ce que je voulais. Le retournant légèrement au début quelques gouttes tombaient sur ma langue, puis en s’arrêtant.

« Est-il délicieux mon foutre ? »

« Oui » répondis-je, puis j’ajoutais,

« Plus s’il te plait » en repoussant ma langue.

En dirigeant le reste de son foutre sur ma langue, il la regarda s’égoutter avant de couler lentement dans le fond de ma gorge avec un petit sourire. Je lui rendis mon sourire du mieux que je pouvais, la bouche toujours ouverte. Frappant mes lèvres et les avalant, je ne pouvais pas m’empêcher de me baisser et de me toucher. J’avais été sur le point de jouir tout le temps mais ces moments sont ceux où je suis le plus excitée mentalement.

Savoir que mon amant s’est complétement vidé et satisfait, ma chatte lâche et bien baisée.

« Puis-je ? »

« Allez bébé, j’aime regarder »

Déjà levée et poussée à mes limites, j’ai giclé sur mes jambes agenouillées. Mon amant a adoré voir mon sperme peindre mes bas sexy.

« Merci pour ce merveilleux moment, bébé »

Après qu’il soit parti, j’ai gardé un moment ce délicieux goût de sperme frais sur mes lèvres en attendant d’autres amants.

Baisée par des inconnus dans un sous-bois

C’est par une chaude soirée d’été, quand le temps le permet, que j’ai souvent envie de me faire baiser par des inconnus.

Avant de sortir, je me suis habillée en pute BCBG, escarpins à plateforme, des bas, un string dentelle, une petite jupe et un top sur un soutien-gorge.

Je prends la voiture et prends la direction de ce lieu de drague assez connu en Seine et Marne (entre la D21 et la D10, pour le situer).

J’arrive vers le parking, je ralentis, je vois une vingtaine de voitures arrêtées.

Je me gare, j’ajuste ma tenue, prends mon sac et descend de la voiture. Je traverse la route du parking, je marche le long de la route pour bien me montrer et j’emprunte un chemin en sous-bois et je m’y enfonce lentement.

Des gars tournent dans les chemins du sous-bois ; normal vu le nombre de voitures.

Je m’enfonce un peu plus dans le sous-bois, la luminosité diminue doucement, et rapidement, plusieurs hommes me suivent. Je sais que les regards sont fixés sur mes fesses.

Mon petit cul mouille déjà et « mange » la ficelle de mon string.

Lorsque j’ai trouvé ma place, c’est un arbre et je me penche en étant appuyée contre lui. Je remonte légèrement ma jupe sur mes cuisses pour montrer clairement mes envies aux mâles.

Un homme passe derrière moi et pose sa main sur mes fesses, remonte au-dessus de mes bas, passe sa main entre mes cuisses sous la dentelle de mon string pour caresser mon clito resté flasque.

C’est fou comme les mecs aiment les trav si elles sont féminines et salopes.

Sa main remonte jusqu’à mon soutien-gorge, il se fraye un passage en dessous pour caresser mes seins avec fougue. Il m’embrasse dans le cou et je palpe sa bite à travers sa braguette. Il bande déjà bien. Il va certainement me décharger une bonne quantité de foutre. J’ouvre son pantalon et je sors sa queue. Elle sent bon, de bonne taille sans être exagérée et je n’ai qu’une envie la prendre en bouche. Je le branle doucement.

– « Elle est bonne ta grosse queue… je vais la sucer, la bouffer à fond… Je vais boire ta liqueur de bite, avaler tout ton foutre… J’aôôôôre ça… toi aussi tu vas adorer ma bouche de pute ».

Sur ces bonnes paroles, je me penche sur sa bite bien dressée et lisse. J’aime les mecs épilés. Je le flatte avec ma langue puis je le lèche comme un esquimau. Je titille son gland. Enfin je l’avale jusqu’au fond de ma gorge et bute contre son pubis. Je ne bouge plus les lèvres, je me contente de l’aspirer.
Il apprécie en gémissant. Il tripote mon petit trou et comme avant chaque sortie je le prépare bien, il y enfonce deux doigts sans difficulté. Il me branle le cul pendant que je le pompe avec vigueur. Je remonte le long de sa hampe puis je replonge avec avidité. Je palpe ses bourses pleines. Il tressaille, il ne tiendra pas longtemps. Un soubresaut et il décharge une longue giclée de sperme au fond de ma gorge. Il y en a trop et je n’arrive pas à tout avaler, son foutre coule sur mon menton. Je fais sa toilette, il m’en a mis partout. J’ai encore très envie et je voudrais même qu’il prenne mon petit trou. Mais le monsieur n’est pas de cet avis… il s’enfuit la queue entre les jambes.

Un autre gars s’approche de moi et me dit :

– « Il t’a bien arrosé avec son foutre ? »

– « Ouiiiii … »

Il soulève directement ma jupe découvrant mes fesses. Il les caresse, les palpes puis me donne quelques fessées assez appuyées.

J’adore !!!

– « Oh Ouiiiii … »

– « Ouvre-toi bien que je t’encule ».

Demandé si gentiment je me fais un plaisir de m’exécuter. Le monsieur est trop gentil… il écarte mon string et plonge sans ménagement deux doigts, puis trois, puis quatre dans mon fondement. Je fais un bond en avant.

– « T’aime ça ma salope… t‘es venu chercher de la queue… du jus de mâle !! »

– « Oh ouiiiiii… je veux que tu me la mettes dans le cul… que tu me défonce !! »

Il se libère et je sens son sexe contre mes fesses. Il retire ses doigts, je reste ouverte, mon anus palpite. Il butte contre mon œillet, il est gros. Son gland rentre sans difficulté, il m’écarte, je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Une violente poussée et il est entièrement en moi. Il me donne des coups violents. On ne peut pas dire que monsieur donne dans la douceur. Il claque mes fesses tout en me besognant. Je commence à gémir de plaisir. C’est moi qui vais à la rencontre de ses coups de boutoirs. Il me rend folle et s’en rend compte.

– « Ça te fais du bien ma salope… c’est bon de se faire enculer comme une pute… T’aime ça te faire défoncer le cul ».

– « Ouiiiii… ouiiiiii … Vas-y fort, bourre moi l’anus… j’suis une vraie chienne qui veut se faire monter… »

– « Tu vas en prendre plein les fesses de mon jus… »

– « Oui, oui vas-y rempli moi de ton foutre !!! »

– « J’aime les salopes comme toi… branle toi la queue en même temps !!! »

– « Non je veux jouir par le cul avec ta grosse queue qui me défonce ».

– « Oh c’est bon… je vais jouir… je vais cracher mon foutre dans ton gros cul de chienne ».

– « Ouiiiiiiiii… Ouiiiiiiii… moi aussi je viens… c’est fort… vide toi les couilles !!! »

Je pars dans un orgasme délirant. Le monsieur me donne un dernier coup de queue et je le sens se vider et me remplir le cul. Il reste en moi, il est encore gros. Quand il se retire je le sens de nouveau passer… quelle bite. Je reste accoudé à l’arbre tellement je suis comblée. Le monsieur n’est pas plus correct. Sans un mot il remballe tout et s’en va sans même un merci. Je sens mon anus ouvert, et son jus couler sur mes bas.

Des hommes se branlent autour de moi.

Là je commence par en tripoter un, une superbe queue que je prends en bouche.

– « Suce aussi les deux mecs autour de nous »

Ce que je fais sans me faire prier. D’autres hommes étaient là car je sens des mains me tripoter avec plaisir ce qui me rend encore plus chienne et gourmande. Certains jouissent très vite sur moi et d’autres rapprochent leurs queues pour se faire pomper. Je sens des doigts proches de mon cul puis dans mon cul, deux, puis trois, et très vite ce fut une main qui me fiste. Des hommes que je suce goulument crachent dans ma bouche et sur mon visage. D’autres m’insultent, puis je sens un liquide chaud me couler dessus. Un des hommes me pisse dessus, suivi d’un autre, pendant que la main que j’ai dans le cul vient d’être remplacée par une bite que j’apprécie. L’homme sait y faire avec les putes comme moi, et je ne veux pas que cela s’arrête !

Bientôt sa bite crache sa semence en moi et un autre pris rapidement la place ce qui me rend encore plus salope. Je suis recouverte de foutre et de pisse que je sens couler sur mon corps et entre mes cuisses. Lorsque tous ces hommes se sont vidés, je suis repartie vers ma voiture et je suis rentrée rassasiée jusqu’à ma prochaine sortie.

Entre foot et foutre, moi j’ai décidé

Durant l’euro 2016, le mois de juin n’était pas folichon en ce qui concerne la météo, il était frais et pluvieux. Heureusement il y a l’euro de foot à la télé.

Entre « foot » et « foutre », moi j’ai décidé. Eh oui, on ne se refait pas, le besoin de sucer et prendre de la bite est toujours présent.

Pour cela, je sors faire quelques escapades dans les bois de la région en tenue de salope, et pour ceux qui me croiseront, ce sera comme d’habitude, la bouche et la chatte en libre-service pour vous soulager.

Ma récompense : Donnez moi votre foutre sans modération.

Une lope blanche au service de la queue

 waloou_034En tant que bonne lope, j’éprouve un grand bonheur d’être mise à la disposition de mâles aux couilles pleines (peu importe le physique et l’âge du moment que l’hygiène est parfaite).

J’aime leur réaction quand ils ont compris quelle pute se trouve à genoux devant leur queue mais aussi à quatre pattes quand ils découvrent mon gros cul et ma chatte de femelle.

Là, ils comprennent que ne suis qu’un trou à remplir sans ménagement.

Les mots crus tels que : salope, pute, chienne, pétasse, truie, sac à foutre se mêlent aux gémissements et aux claques sur mes fesses.

 

Sa queue et mon cul … une belle histoire

Je vais vous raconter cette histoire car j’ai toujours un énorme plaisir à rencontrer cet amant qui en est le personnage clé. Je peux vous dire que c’est un fidèle et que je suis accro à sa queue et qu’il est accro à ma chatte.

Au fil de mes rencontres, j’ai rencontré Marc; je vais l’appeler Marc mais ce n’est pas son véritable prénom, je souhaite rester discret car cet homme et marié et père.

Marc est un bel homme qui sent toujours bon, maintenant la cinquantaine, 1m80 environ, cheveux gris coupés très courts, un torse velu, une queue dans la moyenne supérieure et très endurante. Il vit dans une belle région du sud de la France.

Pour son travail, il vient régulièrement sur Paris, et dès qu’il réserve sa chambre, il m’envoie un texto pour bloquer une soirée à deux. C’est à chaque fois une excitation grandissante jusqu’à cette soirée.

Quand je viens rendre visite à Marc, on garde toujours le même rituel pour garder cette magie d’une rencontre sans qu’il me voit en homme. Une fois sur place devant sa chambre, je frappe à sa porte, il entrouvre la porte et m’invite à me faufiler directement dans la salle de bains sans que l’on puisse se regarder.

Je me prépare tranquillement, me maquille, ajuste ma perruque, me parfume pour me présenter à lui en bonne chienne à baiser.

Pendant ce temps, Marc boit une bière et se met à son aise sur le lit et s’allonge sur le dos.

Quand je sors de la salle de bains et vient rejoindre Marc sur le lit, il m’embrasse… Nous échangeons des baisers, lèvres et langues.

Je commence à caresser son torse, ses couilles, sa queue qui ne tarde jamais longtemps à durcir, puis ma bouche, mes lèvres s’occupent de ses tétons et descendent s’occuper de son biberon qui est toujours très agréable en bouche. Je n’oublie pas ses couilles que je gobe délicatement et que je roule doucement sous ma langue et son anus que je lèche avec ma langue.

Marc se laisse faire, il se détend …

Pendant que je le biberonne bien délicatement, Marc me caresse et me titille les tétons, mes seins sont à lui, il aime aussi m’introduire un doigt, puis deux, trois, etc … Il me claque les fesses, ce qui à tendance à m’exciter encore plus.

Dès qu’il est bien dur, je me mets en levrette devant lui, croupe bien relevée, genoux repliés sous moi, Marc avance sa queue, et l’introduis entre mes fesses dans ma chatte anale, déjà bien humide d’excitation et très chaude. Sa queue s’enfonce lentement bien à fond. Il entreprend des vas et viens lents, je contracte mes sphincters anaux pour lui procurer un massage de sa queue des plus experts. Sa queue s’enfonce jusqu’à la garde et il rythme les vas et viens à sa guise. Il se détend totalement, ferme les yeux, il se laisse aller, et nous profitons pleinement de cet instant de bonheur sexuel. Ce moment dure un long moment …

Puis Marc accélère les vas et viens jusqu’à ce qu’il se lâche totalement. Ses giclées de foutre envahissent mon bas ventre, c’est ici mon moment de vrai plaisir, le sentir et l’entendre jouir. Je resserre mon fourreau anal pour extraire de sa queue les dernières goûtes de jus chaud.

Je reprend le biberon de Marc en bouche jusqu’à ce que Marc sente monter une envie de pisser. A ce moment là,  il se met debout sur le bord du lit, et je lui présente mes fesses.

Il remet sa queue dans ma chatte anale, je contracte à nouveau mes sphincters anaux , et un long jet puissant de pisse chaude envahit à nouveau mon bas ventre, c’est encore un long moment de vrai plaisir pour moi que de sentir mon rectum se remplir de liquide chaud.

Une fois la miction terminée, Marc se retire prudemment de ma chatte et me tend un récipient que je glisse sous mon trou en position accroupie. Ce sera ma récompense finale. Je lâche doucement tout ce mélange de foutre et de pisse qu’il m’a inséminé.

Marc ne perd pas une miette de ce spectacle et ne tarde pas à remettre une nouvelle dose de foutre dans le récipient. Une fois la chatte bien vidée, j’amène ce récipient à mes lèvres et je déguste avec délectation cette liqueur.

Marc me dit « Tu sais que tu es bonne ma salope !! ».

Je hoche la tête en lui souriant et il sourit aussi.