Baisée sur une table de pique-nique

Les temps sont difficiles en ce moment de pandémie et mes besoins sexuels sont toujours aussi importants.

Un ami hétéro que je connais bien car nous nous sommes déjà amusés ensemble à plusieurs reprises avant la pandémie, m’a contacté car il avait lui aussi les mêmes besoins que moi.

C’était en début de semaine, il commençait à faire bon dehors, et il m’a dit qu’il passerait me prendre en voiture un soir après le couvre-feu.

Il est arrivé à l’heure dite, et m’a dit de monter dans sa voiture pour m’emmener quelque part. Pendant qu’il conduisait, il a pris ma main et l’a posée sur sa bite dure à travers son short. Après quelques instants à le branler, mon cul s’humidifiait de désir et je me penchais vers son bas ventre pour le sucer.

Après 15 minutes de route, nous nous sommes garés sur une aire de repos qui est aussi un lieu de drague nocturne. Mais pas une voiture n’était présente ce soir-là uniquement un camion. Il m’a dit de sortir avec lui et nous nous dirigions vers les tables de pique-nique. Je me suis accroupie devant lui et je continuais l’activité que j’ai commencé pendant le trajet. Ce faisant, il m’a alors forcé à sucer sa bite en prenant ma tête entre ses mains. Je sentais sa bite palpitante dans ma bouche et ça ne faisait que m’exciter davantage alors qu’il me soulevait et me disait de me coucher sur la table de pique-nique. Il a ensuite levé la robe que j’avais et a écarté mon string. Il a ensuite passé mes jambes sur ses épaules et a passé son gland humide sur mon trou du cul. Il a commencé par me doigter, ça rentrait comme dans du beurre. Je laissais sortir quelques gémissements et me sentais très excitée d’être doigtée dans un lieu public. Puis j’ai senti sa bite frotter contre mon trou du cul, et finalement il l’a poussé dedans. Me faisant gémir comme une salope alors qu’il commençait à me baiser il prit son temps… J’appréciais trop chaque poussée de sa grosse bite dure au fond de mon ventre qui massait ma prostate ce qui me faisait jouir du cul, un filet de liquide séminal coulait de ma bite molle. Il a ensuite sorti sa bite et m’a dit de descendre de la table et de me pencher en avant, ce que j’ai fait, je m’attendais à ce qu’il me baise en levrette mais au lieu de cela, il a mis 4 doigts dans mon trou du cul puis sa main entière pour me fister. Là, je sentis des spasmes d’excitation dans tout mon corps. Il retira sa main et mis sa bite dure dans mon trou du cul béant. Il a commencé à accélérer et je sentais ses couilles frapper mes fesses. Je savais qu’il était sur le point de jouir, il s’est retiré et s’est masturbé devant ma bouche grande ouverte. Quelques instants plus tard je sentis son foutre chaud sur mon visage et remplir ma bouche dans de grands spasmes.

J’ai léché sa bite pour la nettoyer des dernières goutes, je faisais de même avec le foutre que j’avais sur le visage.

J’étais chaude comme de la braise, dommage que personne d’autre n’ai bravé le couvre-feu ce soir-là. Le routier devait dormir ou n’était pas intéressé.

Nous sommes retournés vers la voiture, le routier était là, la bite à la main. Il a du tout voir, et je ne pouvais pas repartir sans le soulager. Je me suis mise accroupie devant lui et il m’a enfoui sa bite toute entière dans la bouche. J’ai commencé à le pomper, j’ai senti sa bite palpiter et tout son foutre est venu maculer le fond de ma gorge. Il se retira et me remercia.

Nous avons repris la voiture et mon ami m’a déposé à la maison avant de repartir chez lui.

Exhibition nocturne, une vocation de travestie

J’assume totalement un côté exhibitionniste. Toutes les occasions, en tous lieux, à tous moments, sont pour moi prétexte à m’exhiber. Il va sans dire qu’avoir un goût pour l’exhib omet volontairement dans sa pratique toutes atteintes à la pudeur.

J’en viens naturellement à mes envies liées à la pluralité.

Oui !!! j’aime me faire saillir par plusieurs mâles en rut, des mâles bien vicieux dans la quarantaine ou la cinquantaine obsédés par le « trou ». Si j’ai une préférence pour les groupes déjà constitués, j’apprécie aussi les rencontres improvisées, surtout nocturnes dans des endroits glauques ou les mâles en rut rodent à la recherche d’une chienne à saillir. J’aime être cette chienne qui ne demande qu’à être remplie, sentir une grosse queue s’enfoncer en moi, me défoncer et me dilater la chatte à grands coup de reins. Aussi, dès l’arrivée des beaux jours, je donne mes trous dans les environs de Paris, la nuit.

Pute aux toilettes sur une aire d’autoroute

Suite à une de mes petites annonces, un maitre m’a contacté pour me faire tourner sur un parking à routiers.

Le jour venu, en attendant mon maitre, je me suis maquillée juste ce qu’il faut et je me suis vêtue d’une mini-jupe rose qui laissait apparaitre mes fesses et mon porte jarretelle, un soutien-gorge sous un top, des bas et mes escarpins.

17h, mon maitre arriva à l’heure à la maison, je lui ouvris la porte et le fit entrer. Il me dit qu’il faut qu’il teste la pute avant de partir afin d’être certain qu’elle sera à la hauteur.

Il s’approcha alors face à moi et sans un mot souleva mon top au-dessus de mes seins, pendant que son autre main vint à la rencontre de mon entrejambe. Rapidement, ses doigts se glissèrent sous mon string et il extirpa mon clito et mes couilles en les malaxant.

Il baissa son jogging et m’apparut une grosse bite très sombre, presque noire au gland marron foncé, circoncise et très nervurée. D’un coup violent, il me retourna et je sentis son gland pousser sur ma rondelle. Il me pénétra violemment en commença immédiatement à me limer en me traitant de pute. Ma chatte s’ouvra un peu plus à chaque coup de bite. Il était très excité, mais très endurant et me défonça la chatte de plus en plus fort, motivé par mes gémissements et mes invitations à défoncer sa petite salope. Je sentis de longs jets chauds envahir mon bas ventre. Il se retira et me présenta sa bite ruisselante de foutre et m’ordonna de la nettoyer. Je sentis son sperme couler de ma chatte sur mon string et la sensation de cette ficelle humide sur ma chatte commença à m’exciter.

Puis, nous voilà partis en voiture en direction d’une aire de repos ou des camions s’arrêtent pour passer la nuit.

Plus nous approchons de l’aire de repos, plus j’étais excitée. Mon maitre m’ayant déjà bien excité quand il est venu me chercher, il n’a pas mis longtemps pour remarquer que j’étais une pute accroc à la bite.

Puis, nous voilà arrivés sur l’aire de repos.

Mon maître m’ordonna de le suivre. Chaussée d’escarpins, le son de mes pas résonnant sur le bitume cadence le balancement de mon cul. J’aime sentir le vent s’engouffrer sous ma jupe et venir caresser mes fesses que seul mon string tout humide protège.

Mon maitre se dirigea vers l’entrée des toilettes hommes et me fit entrer. Il m’ordonna de me mettre à quatre pattes dos à la porte et me présenta sa bite déjà bien raide que je pris goulument en bouche. Tout à l’heure avant de partir, je n’ai même pas eu le plaisir de la sucer. Après quelques minutes dans cette position, j’entendis la porte s’ouvrir. Un jeune routier entra et remarqua immédiatement mon gros cul de salope. Invité par mon maitre je l’entendis ouvrir sa braguette puis écarter la ficelle de mon string et sans dire un mot, il présenta son gland sur ma rondelle.

Au moment où sa bite s’enfonça dans ma chatte la porte s’ouvrit à nouveau et deux hommes d’âge mûr entrèrent. Ils ne tardèrent pas à sortir leur bite et de me les présenter pour une bonne pipe.

Mon maitre quant à lui s’était mis de côté pour admirer le spectacle.

Le jeune me pilonnait la chatte et sa bite de bon diamètre m’arrachait des cris étouffés par celle qui se trouvait dans ma bouche.

Pendant que je léchais consciencieusement un gland, l’homme murmurait des « Allez suces bien salope, hummmm, c’est bon, suces aussi mes couilles » et aussi « t’es une bonne pute, bouffeuse de bites ».

L’homme derrière moi ne tarda pas à inonder ma chatte de son sperme. Il se retira et invita les deux autres à venir baiser la petite salope, ce que l’un d’eux s’empressa de faire. Il me prit sans ménagement et m’encula bien profondément. Pendant ce temps d’autres hommes entrèrent, certainement invités par le jeune routier. Je me retrouvai encerclée de bites.

Quand je sens du sperme chaud me couler sur le visage, je prends immédiatement cette bite dans ma bouche pour gouter son nectar.

Au même moment, je sentis des jets de sperme envahir à nouveau ma chatte. Puis je ressenti qu’une bite nettement plus grosse que les précédentes, tenta de me pénétrer. Le plaisir m’envahit et au fur et à mesure que cette bite s’enfonça dans ma chatte, mes cris augmentaient. Puis il commença à me limer. Il enfonça sa bite bien au fond de ma chatte en me traitant de chienne alors qu’un autre déchargea une grosse quantité de foutre sur mon visage. Je ne savais plus combien ils étaient, ils défilaient chacun leur tour devant moi et derrière moi et déchargeaient aléatoirement dans ma chatte ou sur mon visage.

Après un long moment le dernier d’entre eux finit son affaire dans ma chatte, me donna à nettoyer sa bite et sortit en se satisfaisant d’avoir enculé une bonne chienne.

Il était tard, mon maitre me ramenait à la maison, je sentais fort le sperme, je sentais le jus couler de mon trou sur la ficelle de mon string, je suis épuisée et totalement satisfaite et dilatée.