Après-midi avec un amant

J’étais un peu nerveuse mais tout était prêt. J’ai passé deux heures à me faire une beauté, chaque partie de mon corps était douce, tous les coins et recoins prêts à être utilisés au cas où sa langue viendrait se poser sur mon corps.

J’ai décidé de porter quelque chose de simple mais sexy, un haut rouge scintillant, des bas et une petite culotte noire et chaussée d’escarpins rose. Me sentant bien dans mon regard, j’ajuste le dernier maquillage et je me souris face au miroir.

C’est bientôt l’heure ou un amant que je ne connais pas va venir me rendre visite dans cette chambre d’hôtel qu’il a réservé pour moi.

J’attendais cet homme sur le lit en position de levrette, le dos cambré, le cul bien dégagé, un attrayant point focal quand il entrera dans la chambre. J’avais tout préparé comme il me l’avait auparavant demandé. La pièce était sombre, éclairée par une petite lumière et une musique lunch qui contribuera à créer l’ambiance.

De manière pratique, je lui ai placé une chaise devant le lit avec une vue directe sur mes fesses, exposées et prêtes.

J’entendais la porte s’ouvrir. La musique le guida pendant que je berçais mes fesses, les pas se rapprochant jusqu’à ce que je puisse sentir sa main chaude se poser sur moi.

« Bonjour ma pute », me dit-il.

Je sentais une étincelle immédiate et me ressaisissais encore plus, m’efforçant de m’assurer que chaque fraction de mon corps était offerte. Ses mains descendaient le long de mes jambes, cet amant adore la sensation de mes jambes enserrées qui me laisse une traînée de chair de poule quand il me caresse. De retour à l’endroit où il a commencé, l’homme a écarté la culotte que je portais et s’est arrêté une minute maintenant que j’étais exposé.

Mon cœur commençant à battre avec impatience.

Je sentis ses lèvres embrasser mes fesses et puis, doucement, sa langue léchait mon trou impatient. Mes yeux se révulsèrent et je gémissais à haute voix alors que je recevais la meilleure bouffe de chatte de ma vie, il ne se retint pas et j’étais en extase. Ramené sur terre par le toucher ferme de sa main et une petite fessée sur le derrière, il a ensuite commencé à me demander où il me voulait et comment il voulait que je pose.

J’ai adoré ça, rien n’est plus sexy qu’un homme qui sait ce qu’il veut et qui l’exige en conséquence ! À ce moment-là, je devenais folle, je voulais sa queue dans ma bouche.

Et, le moment que j’attendais est enfin arrivé. Me portant à genoux, un oreiller m’attendait alors que je m’installais devant mon objet de plaisir. Avec sa ceinture toujours attachée, il dégrafa son pantalon, et à l’intérieur tirant lentement son sexe et ses couilles glorieuses.

« Je vais te baiser ta douce bouche, tu vois comme je suis dur ? »

« Hummm, oui », ai-je répondu.

« Bonne pute » me répondit-il alors qu’il s’approchait un peu plus près sa queue, maintenant directement devant mes lèvres.

Épais et dur, il glissait lentement sa queue dans ma bouche, s’arrêtant une fois que sa tête palpitante était complètement à l’intérieur. Nous avons fermé les yeux et j’ai à moitié souri. J’aime sucer la bite, ça me rend tellement excitée et humide, l’un des moyens les plus intimes de se connecter avec une autre personne à mon avis. Le sentir dans ma bouche après tant d’anticipations, tout était parfait et j’y suis entré directement, suçant le bout avec ma langue, travaillant le manche puis prêtant une attention particulière à ses boules délicieusement façonnées. Je pouvais goûter des notes de délicieux pré-cum et cela me rendait encore plus excitée ! Douce et humide, profonde et chaude, sa bite remplissait chaque partie de ma bouche et de ma gorge. J’ai étouffé et bâillonné sur sa queue alors que je faisais de mon mieux pour lui plaire.

Après un long moment de succion sucrée, il m’a arrêté, me tirant vers le haut, il m’a ordonné de poser à quatre pattes pour lui sur la chaise sur laquelle il était assis à l’origine. Je faisais comme ordonné et attendais avec mon dos voûté, le cul relevé. Je pouvais l’entendre se masturber, puis, venant derrière moi, je sentis sa queue palpitante se presser contre ma chatte humide et impatiente.

« Oh oui », je me suis dit …

« Enfin, sa queue ! »

Et avec ça, il me pressait fort et profondément, je le sentais bien, pas du tout douloureux mais assez puissant pour le sentir réellement s’étirer et me remplir instantanément. Maintenant, je n’ai pas envie de me faire mal mais j’aime être prise, possédée, utilisée comme un jouet pour l’amusement et le plaisir sexuel de mes amants. J’adore être baisée intensément puis récompensée par un amant doux et chaud !

Et c’est exactement ce que j’ai. Commençant à me baiser, il me pilonnait la chatte avec ce type de baise profonde qui dit que je possède ton cul de salope. J’aime faire ma part aussi, alors j’ai gardé le dos voûté, le cul maintenu en position pour une profondeur maximale. Mon amant frappait sa cible avec précision et je l’aimais putain ! Vibrant à chaque coup mais à moitié retenu par ma culotte écartée, je fuyais avec plaisir, les fluides chauds ruisselant sur mes cuisses trempées alors que ses couilles me tapaient à chaque coup. Reprenant le rythme, il m’a averti qu’il était sur le point de jouir et, avec plusieurs poussées fortes, il a déversé toute sa semence en moi.

« Oh Oui, oui, oui !!! » ai-je pleuré en repoussant mes fesses pour correspondre à ses dernières poussées.

« Oh, putain oui » disait-il en haletant.

Les deux mains de mon amant tenaient fermement mes hanches, que je pouvais sentir sa queue palpiter au fond de moi et je réagissais en me dandinant. Nous avons attendu un moment dans cette position, puis il a lentement sorti son membre encore gonflé, le reposant sur le côté de mon cul.

« Putain qu’il est chaud » disait-il en regardant mon trou légèrement béant. Je savais qu’il y avait encore du travail à faire et je me suis tout de suite mise à genoux pour le nettoyer. De plus, je ne voulais pas perdre une goutte !

« Tu es vraiment une bonne pute » me dit-il en répondant gentiment à mon geste.

J’ai pris sa bite dégoulinante de foutre dans ma bouche pour la première partie de son bain de langue. Dégustant le jus sucré de ma chatte et sentant la chaleur de son foutre, j’ai commencé à le nettoyer. Très doucement, je donnais des coups de langue à sa queue encore palpitante, goûtant les dernières goutes de foutre qui restait.

Ensuite mon amant pris un verre que j’avais préparé et le mis sous ma chatte tout en me disant de pousser fort pour que toute sa semence tombe dans le verre. Je sentais tout ce liquide de plaisir ressortir de ma chatte baveuse pour maculer ce verre.

Après, je me suis retournée et légèrement inclinée en arrière. C’était si délicieux que je ne pouvais pas résister et avec les yeux fermés, j’ai ouvert la bouche et tiré la langue. Il tenait le verre au-dessus de ma bouche et me donnait ce que je voulais. Le retournant légèrement au début quelques gouttes tombaient sur ma langue, puis en s’arrêtant.

« Est-il délicieux mon foutre ? »

« Oui » répondis-je, puis j’ajoutais,

« Plus s’il te plait » en repoussant ma langue.

En dirigeant le reste de son foutre sur ma langue, il la regarda s’égoutter avant de couler lentement dans le fond de ma gorge avec un petit sourire. Je lui rendis mon sourire du mieux que je pouvais, la bouche toujours ouverte. Frappant mes lèvres et les avalant, je ne pouvais pas m’empêcher de me baisser et de me toucher. J’avais été sur le point de jouir tout le temps mais ces moments sont ceux où je suis le plus excitée mentalement.

Savoir que mon amant s’est complétement vidé et satisfait, ma chatte lâche et bien baisée.

« Puis-je ? »

« Allez bébé, j’aime regarder »

Déjà levée et poussée à mes limites, j’ai giclé sur mes jambes agenouillées. Mon amant a adoré voir mon sperme peindre mes bas sexy.

« Merci pour ce merveilleux moment, bébé »

Après qu’il soit parti, j’ai gardé un moment ce délicieux goût de sperme frais sur mes lèvres en attendant d’autres amants.

Je fais la pute au bois

Lorsque je vais passer la soirée dans un bois chercher des aventures avec des inconnus, c’est habillé en pute que les mecs me découvrent.

En général il ne se passe que très peu de temps avant qu’un, deux ou trois inconnus s’approchent pour venir prendre du plaisir. J’aime les mecs qui s’approchent et participent à me caresser pendant que suis occupée à sucer. Quand ils m’écartent le cul, ils aperçoivent une chatte bien ouverte et c’est des mots vulgaires qui rompent le silence.

« Quelle chatte de pute tu as, tu as dû en prendre des queues ma salope ! »

Ou alors,

« Allez, écarte bien ton cul de pute, et suce les mecs pendant que je te défonce ta chatte de lope ».

Et évidement en bonne chienne je m’exécute sans broncher et dis oui à tous, pour tous leurs désirs.

Ce soir-là, deux mecs la bite à la main se présentent devant ma bouche. Je me mets à les sucer. J’alterne entre les deux bites, au moment où je suce le premier l’autre se penche pour me doigter la chatte. Je lui tends ma croupe, direct, afin de lui faire comprendre que je suis aussi disposée à me faire baiser. J’ai de la chance, le mec ma l’air d’être un bon actif car il me travaille le cul de ses doigts avant de me prendre par les hanches et de m’enfoncer sa queue dans la chatte.

Il commence ses va et viens, il y va doucement et le plaisir qu’il me procure est intense.

« Ça va, c’est bon ? » me demande-t-il

« Oui…, vas-y continue »

C’est tellement bon que je commence à pousser de petits gémissements.

D’autres mecs m’entendent et d’un coup plusieurs bites se présentent devant ma bouche, je les suce à tour de rôle tout en me faisant baiser.

Le mec qui me baise accélère ses vas et viens, je commence à couiner comme une chienne.

« T’aime ça p’tite lope ? » me dit-il

« Mmmm, oui, c’est bon !!! »

D’autres inconnus viennent autour de nous, me regardent me faire piner comme une chienne. Je me fais caresser le dos, certains me prennent par la tête pour que je suce leur queue, il y en a même un qui me largue tout son foutre dans la bouche que j’avale et me dis avant de s’éloigner :

« T’es une bonne pute toi… »

La jouissance du mec qui me baise commence à venir car il accélère de plus en plus ses mouvements et envoie toute sa semence en plusieurs giclées tout au fond de ma chatte. Il se retire et me donne une gentille petite claque sur le cul avant de repartir. Un mec que j’étais en train de sucer prend la peine de mettre une kpote et s’enfonce dans mon cul bien lubrifié de foutre, là encore je me conduis comme une petite pute en haletant comme une chienne en chaleur. Visiblement très excité il ne tarde pas à jouir en retirant sa kpote et me largue de longs jets de sperme sur la fente.

Ce soir-là, je ne sais pas combien il y a de mecs autour de moi mais la seule chose que je peux dire c’est que les bites s’enchainent dans ma bouche et dans ma chatte. Il y en a même un qui après m’avoir fisté délicieusement, me remplis la chatte de pisse.

En fin de soirée, en marchant vers la voiture, mes bas étaient maculés d’un mélange de foutre et de pisse qui dégoulinait de ma chatte.

Baise dans les chiottes de l’hôpital

Suite à une annonce passée sur un site de cul, je reçois un email d’un homme me demandant mes disponibilités. Je lui réponds que je suis disponible généralement en fin d’après-midi après mon travail, ou bien en soirée ou bien certains week-ends.

waloou_001Il me répond, qu’il peut se libérer en matinée le dimanche et me fixe un rendez-vous dans le parc d’un hôpital parisien. J’ai trouvé le lieu un peu spécial, mais comme je suis assez exhib, certains lieux publics m’excitent énormément. De plus cet homme me parait être assez directifs et ce n’est pas pour me déplaire, au contraire.

Le dimanche matin, j’arrive au point de rendez-vous, il est là.

C’est un homme la petite quarantaine bien bâti, en blouse blanche. Après quelques échanges il m’invite à le suivre. Nous traversons quelques allées, divers couloirs, jusqu’à arriver sur une salle d’attente vide. De cette salle, un dernier couloir nous mène à deux toilettes. Il me dit d’aller dans celle de fond et l’homme me suit. Il ferme le loquet de la porte derrière nous, j’observe le lieu, c’est une toilette assez grande avec un petit lave-main contre le mur.

L’homme ôte sa blouse et baisse son pantalon. Ouah !! Sa bite est énorme, il bande déjà bien dur. Il m’ordonne de me déshabiller et de ne garder que mon string rose, ce que je m’empresse de faire rapidement tout en matant cette belle bite qui allait me défoncer le cul.

Je me penche sur cette longue et grosse bite super raide avec des couilles bien pendantes que je malaxe, l’homme me met directement un doigt dans le cul. Je me penche en avant pour lui faciliter le passage, puis un deuxième doigt et un troisième doigt viennent accompagner le premier doigt au fond de mon cul. Il écarte les doigts pour parfaire le passage ; entre nous mon cul se dilate assez bien et il n’a aucune difficulté pour s’introduire de se coté là.

waloou_002Je suce sa bite en faisant tourner ma langue autour de son gland épais, titille le méat. Je tète à fond sa bite qui tape dans ma luette en fond de gorge. Je sens qu’il apprécie cette pipe car ses doigts font des va-et-vient de plus en plus rapide dans mon trou.

D’un coup, il me dit « Tu m’as bien excité, j’ai envie de te la mettre dans le cul ». Je me retourne et me met en levrette sur le couvercle baissé des chiottes. Il enfonce sa bite d’un coup sec bien au fond de mon cul, déjà bien mouillé après la fouille de mon rectum. L’homme se met à me baiser sans ménagement en me tenant par les hanches jusqu’au moment où je sens plusieurs contractions qui signalent les giclées de sperme qui inondent mon rectum.

L’homme sort sa bite luisante et la vue du sperme chaud qui dégouline de mon trou vers mes couilles l’excite toujours autant. Je sens ses doigts s’introduire entre mes fesses et forcer un peu le passage de mes sphincters. Ça y est sa main est avalée entièrement par mon cul. Je suis en transe, le mélange de mouille avec son sperme graisse parfaitement mon trou et l’homme se met à me fister allégrement pendant encore un moment.

Après il me fait lécher sa main et relève son pantalon. Il sort des toilettes pendant que je me  rhabille. Après être sorti à mon tour, en marchant en direction de la cafétéria de l’hôpital pour aller me rafraichir, mon cul endolori me rappelle ce que je viens de vivre.