Récit de lailatvx – l’internat

A l’âge de 19 ans, j’étais en internat dans un lycée dans une petite ville de province, située assez loin de mon domicile. De ce fait, j’y restais pour les week-ends et les congés de courte durée. Pendant ces périodes, nous étions très peu nombreux et c’est le surveillant général qui assurait la garde des étudiants. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, assez trapu, à demi chauve et au visage sévère. Il avait la réputation d’être très autoritaire avec ses subordonnés et faisait régner l’ordre dans l’établissement.

J’avais remarqué qu’il me saluait et me regardait lorsqu’on se croisait au hasard des couloirs. Je n’avais pas trop fait attention à cette marque d’intérêt qu’il semblait me porter, cependant j’étais toujours un peu ému quand cela arrivait.

Pendant les vacances de la Toussaint, c’est lui qui assurait la surveillance des dortoirs. Le mien était en fait une grande chambre de quatre lits, avec une porte non fermée, pour en faciliter la surveillance. J’étais le seul occupant de la chambre.
A l’extinction des lumières, je me couchais. De mon lit, je pouvais voir les allées et venues dans le couloir et je remarquais que le surveillant passait et repassait souvent, qu’il ralentissait sa marche à proximité de ma chambre et que parfois il s’arrêtait près de la porte…J’étais quelque peu surpris et fis semblant de dormir.

Soudain, je sentis une légère secousse contre mon lit…j’ouvris les yeux et vis que le surveillant se tenait près de mon lit. Il me regardait fixement. Je le voyais distinctement, grâce à la lumière d’un réverbère situé à l’extérieur du bâtiment. Il porta sa main sur sa braguette, ouvrit son pantalon et sortit un sexe bien raide et de bonne taille. Il commença de lents mouvements de va et vient sur sa tige. Parfois, il décalottait son gland lisse et volumineux. Il passait aussi sa main sous ses volumineux testicules. Il les soulevait pour les exposer, pour bien me les montrer.
J’étais un peu gêné mais très excité par ce spectacle et par cette présence. Je respirais fort. Les mouvements brusques de la main du surveillant sur son sexe secouaient mon lit. Il savait que je le regardais se branler et que j’étais attiré par le spectacle qu’il m’offrait.

Il s’approcha encore plus du lit et vint présenter son sexe près de mon visage. Je respirais son odeur forte et regardais le gros membre surmonté de son gland lisse qui se dirigeait tout droit près de mes lèvres. L’homme prit fermement ma main et l’appliqua sur son gland…la sensation fut très forte, j’ouvris mes doigts pour saisir ce zob qui m’était offert. Mon excitation était à son comble…J’étais le jouet d’un homme qui me désirait, qui bandait dur pour moi.
Finalement, il poussa son gland contre mes lèvres qui s’ouvrirent pour l’accueillir. Ma langue s’affaira tout autour comme sur une glace qu’on lèche. L’homme se mit à gémir discrètement, puis je me mis à téter son gros gland lisse tout en branlant son membre délicatement.
Soudain, il sortit son membre de ma bouche, le remit dans son pantalon car il y avait du mouvement dans le couloir…. le surveillant s’éclipsa en me faisant un signe de la main….

J’étais très excité par ce qui venait de m’arriver, la sensation de m’être soumis ainsi à un homme sans chercher à lui résister. Il est vrai que l’homme était autoritaire et je m’étais laissé vaincre sans même tenter de combattre, de lui refuser.

Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, et un peu plus tard, je vis le surveillant pénétrer de nouveau dans la chambre, et d’un pas déterminé, s’approcher de mon lit. Il souleva la couverture et saisit mon pyjama qu’il baissa d’un geste brusque. Il me retourna sur le côté d’un geste. Il commença à me caresser les fesses que j’avais bien rondes, larges et profondes. Il fit pénétrer sa main entre elles jusqu’à titiller mon anus avec ses doigts. J’adorais cette caresse à la fois douce et ferme. Je relevais légèrement mes fesses pour lui en faciliter l’accès…il restait silencieux de peur d’alerter le voisinage…je gémissais doucement, la tête dans l’oreiller…il s’était penché sur mon dos et je sentais son souffle chaud me balayer la nuque.

Il avait bien écarté mes fesses. Je sentis que, maintenant, il faisait aller et venir son gland chaud tout le long de ma raie, de bas en haut…le lit était haut, l’approche en était facilitée. J’étais couché sur le côté, en chien de fusil, l’homme était debout, penché sur mon dos. Par moment, il appuyait fermement son gland contre mon anus, il forçait, tentait de le pénétrer…il se retira, mouilla son gland et mon anus avec sa salive, copieusement, puis recommença ses tentatives. Je me laissais faire, j’avais envie qu’il m’ouvre, me pénètre… J’avais assez mal et il forçait en donnant des petits coups de bite. Je sentais que, peu à peu, son gland pénétrait, que cet homme me prenait. Il m’avait saisi les hanches, me serrait fort comme dans une tenaille.

Enfin, son gland passa la porte étroite qu’il avait déjà bien dilatée. Je sentis son sexe bien raide rentrer profondément d’un coup, il coulissait en moi, glissait. Je sentais ses gros testicules frapper mes fesses. Je reculais pour l’avaler encore et encore…

Soudain, je sentis son sexe se raidir encore plus, il le sortit de mon corps et je sentis de puissants et abondants jets de sperme chaud m’arroser entre les fesses et jusque sur mon dos.
Il remit rapidement de l’ordre dans sa tenue et disparut prestement dans le couloir.

Je restais dans cette position sur le côté, sans bouger, de peur de rompre les sensations que cet homme m’avait procurées. Je passais mes doigts entre mes fesses toutes poisseuses, gluantes. J’aimais l’odeur forte de sperme qui régnait maintenant dans la chambre. Je m’endormis dans cette position, découvert.

Dans la nuit, je sentis que quelqu’un me saisissait par les hanches. Je me réveillais en sursaut et vis le surveillant accompagné par un autre homme, le chef de l’intendance. C’est ce dernier qui me tenait fort par les hanches. Il avait sorti son sexe et tentait de le glisser entre mes fesses offertes. Je ne cherchait pas à me débattre pour l’empêcher…je savais que c’était peine perdue, le surveillant était là, me tenant par les épaules…finalement, je me laissais bien faire, je remontais mes fesses pour l’aider. Je sentis son sexe dur appuyer sur mon anus dilaté et lubrifié par le surveillant et me pénétrer à son tour. Il glissa bien à fond et il me pistonna pendant plusieurs minutes bien profondément. Je sentis des soubresauts agiter son membre qui cracha de nombreux et abondants jets de sperme chaud. L’homme grogna de satisfaction et se retira en m’embrassant dans le cou.

Les deux compères disparurent dans les ténèbres, discrètement.

Depuis cette mémorable nuit, je suis devenu leur salope soumise et docile, leur « vide-couilles ».

Comment je suis devenu Laila

Histoire de lailatvx

Ça va faire plus de 10 ans maintenant que j’utilise le prénom Laila (et lailatvx sur le net), c’est celui qui m’a pris mon innocence.
Il s’appelle Najib, c’est un beau marocain comme moi, peut-être le seul homme que j’aie vraiment aimé jusqu’à maintenant. Je le côtoyais depuis peu de temps, on en restait aux bisous et aux câlins et, de temps en temps, je lui faisais une petite pipe.
Un jour, il m’annonce qu’il m’emmène en vacances chez lui, dans sa ville natale et j’étais tout excité car ça faisait longtemps que je n’avais pas pris de vacances, et surtout avec mon chéri, c’était la 1ere fois.
En arrivant à l’hôtel, je reste un long moment dans ses bras, à l’embrasser et je lui dis que, pour le remercier, je lui ferais tout ce qu’il a envie pendant ces vacances. Le lendemain, il me réveille avec de doux baisers et il vient me glisser à l’oreille qu’il aimerait que je fasse quelque chose pour lui : en effet, à 46ans, il ne s’était jamais marié et il rêvait de se balader dans la rue avec une femme à son bras.
Je décidais donc de jouer le jeu, je mis une djellaba pour femme avec un foulard sur ma tête en ne laissant apparaître que mes yeux pour ne pas attirer l’attention dans la rue. Et nous voila dans les rues comme un couple, je me force à marcher comme une femme en roulant du cul, il porte son bras autour de ma hanche. En arrivant dans son ancien quartier, on rencontre ses anciens amis Il leur explique que je suis sa femme, il me présente en leur disant que je m’appelle Laila, il leur raconte que je suis complètement soumise à lui, qu’il fait ce qu’il veut de moi et quand il me baise, je crie comme une chienne, et ainsi il leur confirme que les Marocaines sont bien les plus grosses salopes.
A ces mots, ses copains sont morts de rire en me regardant et moi, je fais semblant de sourire du coin de l’œil, comme si je ne comprenais pas.
En rentrant a l’hôtel, je me change vite fait et je lui dis que j’ai des courses à faire, je fonce dans les boutiques acheter de la lingerie, un string, un soutif, chose que je n’oserai jamais faire mais bon, comme je ne connais personne dans sa ville, ça craint rien, une minijupe et petit haut décolleté.
De retour à l’hôtel, je vais me changer dans la salle de bain et, en sortant, il n’en revient pas, il se jette sur moi mais je le repousse au début.
-« Tu sais Najib, tout à l’heure, j’ai entendu tout ce que tu racontais et je me suis sentie humiliée »
-« Non mon cœur, faut pas le prendre comme ça… »
-« Attends mon chéri, laisse moi finir STP : je me suis sentie humiliée mais j’ai surtout ressenti une grande excitation quand tu parlais, je m’imaginais en même temps en train de faire ces choses là avec toi et j’en étais folle. A partir d’aujourd’hui, je serai Laila ta petite chienne et ce soir, je m’offre à toi ! ».
Il s’est approché de moi et m’a longuement embrassé en me caressant les fesses sous ma jupe, il m’a ensuite plaqué contre le mur, m’a retiré mon petit haut et a commencé à se déshabiller lui aussi.
Je me suis levé et me suis dirigé vers le lit, je me suis cambré pour qu’il aperçoive mon string, il s’est approché, m’a retiré ma jupe et m’a allongé sur le lit.
Il s’est ensuite allongé sur le dos et j’ai commencé à le sucer tendrement comme je fais d’habitude, et lui semblait plus excité que les autres fois. Il me répétait que j’étais sa chienne, sa salope, que j’étais une putain de marocaine et ça me rendait de plus en plus folle. Quand son zob devint bien dur, il se leva et me demanda de me mettre à 4 pattes sur le lit, il commença par me mettre un doigt tout doucement et déjà, je sentais la douleur arriver, puis il en mit un deuxième et quand il fut décidé, il se pencha à mon oreille et me dit « prépare-toi ! ». Et là, j’ai senti sa grosse verge très épaisse forcer le passage et entrer au plus profond de moi, il commença ses vas et vient en accélérant, j’avais très mal, je criais, je pleurais et lui ne s’arrêtait pas, il me répétait que j’étais sa chienne, il me disait :
-« T’es trop bonne, Laila, ton cul de salope est trop bon ! »
Et moi, je finis par apprécier ; au bout d’un moment, je lui demandai d’y aller plus fort
-« Oui Najib, je suis ta chienne, baise-moi, déchire mon cul de salope, il est à toi ! »
Après plusieurs minutes de baise sauvage, j’ai senti son souffle s’accélérer et d’un coup, j’ai senti un chaud liquide en moi et Najib qui se couchait sur moi. On est resté un long moment allongé sans parler puis il s’est levé fumer une clope dans le balcon.
A son retour, il m’a dit que j’étais très bonne et qu’il avait de la chance d’avoir une salope comme moi. J’étais heureuse et je me suis levée pour l’embrasser.
-« Najib à partir de maintenant, je suis ta salope, considère-moi comme une femme, appelle-moi Laila ! »
-« Avec plaisir ma petite chienne  »

C’est ainsi que je suis devenu Laila, la petite chienne marocaine de Najib, puis celle d’autres hommes par la suite…