Drague nocturne sur un parking d’autoroute

En déplacement dans une ville de province, comme ça m’arrive régulièrement, j’aime en profiter pour faire quelques escapades sexuelles.

Lundi dernier, j’étais dans un état second, excitée folle de désir, j’avais envie d’aller faire la pute sur un parking de routiers.

Après avoir pris une bonne douche dans ma chambre d’hôtel, j’enfilais des bas rose, une culotte rose, une robe moulante noire, mes bottines beiges à talon, une perruque brune bien ajustée et un petit rouge à lèvres. J’étais enfin prête et désirable (surtout très excitée).

Je prenais ainsi la route en direction d’une aire de repos connue de la région comme étant un lieu où il pouvait y avoir de l’action.

Il était 21h00, il commençait à faire nuit, le temps était calme. 4 à 5 camions étaient garés, 1 voiture genre break familial apparemment vide.

Je me garais, éteint mes feux et patientais un instant. Dans le noir vers un talus, j’aperçus une lumière caractéristique d’une cigarette qu’on allume, signe d’une présence.

Je me disais qu’il est temps de descendre, on verra bien ce qu’il s’y passe. Je sortais donc avec mon p’tit sac à main (avec rouge à lèvre en réserve, gel, préservatifs en quantité, et m’avançais vers le talus, en direction du point lumineux. Là se trouvait un gars, debout faisant mine de pisser, je ne le voyais pas très bien car il faisait sombre. Je m’avançais, il remarqua ma présence et se tourna vers moi, la bite à la main. Je lançais la conversation :

Moi : « Bonsoir »

Lui : « Salut, tu veux me sucer ? »

Je ne me faisais pas prier et m’agenouillais à bonne hauteur, le mec doit avoir 40 ans, style père de famille. Je pris son sexe en bouche, il était semi mou, mais avec mes premiers coups de langue je le fis grossir, il atteignait vite une taille honorable, et ma langue se délectait de son argument. Ce monsieur a l’air d’apprécier, il me prit la tête avec ses mains et m’enfonça de plus en plus sa bite, il poussait de petits râles de plaisir.

D’un coup, il me dit : « Je vais juter »

Je le suçais encore plus fort tout en le branlant, il explosa son foutre dans ma bouche, une sacrée dose, il devait avoir les couilles pleines depuis un moment, il poussa un râle de plaisir, moi je pris soin de bien la nettoyer jusqu’à la dernière goutte.

Il remontait son slip rapido et se cassait sans rien dire.

Je suis satisfaite de ma première dose.

Je retournais en direction de ma voiture et m’aperçoit qu’une lumière dans la cabine d’un camion est allumée et la porte à moitié ouverte. Je m’approchais du camion, et je vis un routier en train de se branler, avec un regard qui en disait long sur son envie de sexe. Je m’approchais, il me fit signe de monter ce que je fis sans me faire prier.

On n’a pas échangé un mot. Le routier était jeune, moins de 35 ans avec des origines maghrébines, en tout cas, sa bite dressée était monstrueuse, je dirai un bon 22 cm mais surtout très large, sa main ne pouvait entourer entièrement sa bite. Une fois à ses côtés, il me prit le cou et me dirigea vers sa queue qu’il me força à gober. Elle était énorme, vraiment, son gland me remplissait la bouche et j’ai du mal à sucer ne serait-ce que la moitié de l’engin. Le gars m’a l’air très actif, vicieux et directif. Il me retourna, remonta ma robe, et enleva ma petite culotte. Il m’allongea sur le ventre et commença à me bouffer le cul d’une façon très violente, sa langue est musclée et j’ai l’impression qu’il me pénètre… J’étais aux anges… Il me retourna, me fait comprendre que je dois le sucer de nouveau puis me replaque sur le ventre. Là, il passa progressivement plusieurs doigts dans mon cul, puis je senti son gland, énorme, sur ma rondelle… J’étais super excitée… Il faisait pression avec son gland… Je serrais les dents et d’un coup de rein brutal, il m’enfourna son pieu à fond tout en me tenant les bras, j’hurlais de plaisir. Je n’ai pas le temps de souffler qu’il débute alors un va et vient d’une énergie bestiale, ma chatte est complètement dilatée, il s’amuse à ressortir et rentrer sa bite sans la toucher, je suis complètement à sa merci, ma chatte doit être béante… Il s’assied tout en me prenant la taille et me forçai à m’assoir sur sa bite… Putain je la sentais encore plus dans cette position, et  là, en me tenant par la taille, il me souleva et me fait assoir sur son pieu pendant 10 bonnes minutes. D’un coup, il hurla et je sentis alors sa semence me remplir littéralement la chatte.

Après avoir repris mes esprits, je réajustais mes vêtements et sortis de sa cabine et me redirigea vers les toilettes dans la pénombre. En marchant, je sentais son sperme qui coulait dans ma culotte et que mon trou était bien dilaté.

A peine arrivée au niveau des toilettes, j’entendis une portière claquée et un homme se dirigeait vers moi. Je vais dans les pissotières, et je fais semblant de pisser et sentis l’homme s’approcher et se mettre à côté de moi et faire aussi semblant d’uriner. Ses yeux étaient fixés sur mon clito et les miens sur sa bite.

Il me sourit et me demande : « On va dans les toilettes on sera tranquille ».

Je lui réponds : « Ok »

A l’instant où il ferma le verrou il se tourna et m’embrassa avec fougue. Il se frottait contre moi en me tripotant les fesses sous ma robe.

Il me dit : « Tu me suces »

Je souris et je le caressais avec ma main. Il bandait comme un taureau.

Il continuait en me disant : « Tu es une bonne cochonne »

Excitée, je m’accroupis et desserra la ceinture de cet inconnu et ouvrit sa braguette. Je voyais maintenant son sexe bien dur sous son caleçon, cette vision était magnifique. Je baissais son caleçon et son membre apparut droit comme un pic. Je le tenais dans ma main et déjà il frissonnait de plaisir, une goutte de jus sort du bout tout violet. Je le lèche en le regardant pour l’exciter. Son visage montre très nettement à quel point il est excité ce qui m’excite encore plus. Son sexe était un peu moins long que le sexe du routier de tout à l’heure mais il était bien dur et son gland ruisselait de jus. Je l’introduisis dans ma bouche et frénétiquement je le suçais. Pendant 10 min je léchais ce gland, sa bite et ses couilles en n’arrêtant pas de le masturber fortement. Il me tenait la tête de temps en temps et me baisait la bouche.

Enfin il m’arrêta et me dit : « Doucement ou je vais jouir trop vite »

Il me tourna et commença à frotter son sexe contre mes fesses tout en m’embrassant dans le cou.

Il remonta ma robe et enleva ma culotte toute mouillée d’excitation et de foutre.

Il me dit : « Tu es une belle salope toi ». Ces mots m’excitaient encore plus. Il me demanda de me pencher. Il s’accroupit et sans ménagement il écarta mes fesses et lécha du bout de sa langue mon intimité.

Je gémis de plaisir, un deuxième anulingus, que c’est bon… A présent il essayait de pénétrer sa langue dans ma chatte. C’est alors que quelqu’un frappa à la porte.

Nous stoppions tout bruit quand une voix nous dit : « Laisse-moi entrer je veux participer »

L’homme me regarda d’un air interrogatif.

Je lui dis : « Si tu veux, moi ça ne me dérange pas, au contraire ».

L’homme va près de la porte et l’ouvre. Derrière un gars de type magrébin sourit et dit : « J’ai entendu des gémissements je peux participer ».

L’homme avec moi répond : « Pas de souci on a de l’avance ».

J’étais debout quand le rebeu s’approcha et me tâta les fesses.

Il me dit : « T’as un bon fessier bien large de kahba, c’est la première fois que je te vois ici »

Je sens un de ses doigts rentrer dans mon trou.

Le premier homme dit : « J’étais en train de lui bouffer le cul »

Le deuxième : « Bien, elle va me sucer » en parlant de moi.

Sans attendre je me mis à quatre pattes. Le rebeu descendit son pantalon et me tendit son sexe bronzé et très poilu. Je sens le premier continuer de me préparer. Le plaisir en moi est au sommet. D’un côté une bite plutôt grosse remplit ma bouche de de l’autre une langue experte me lèche la chatte.

Je gémis sans m’en rendre compte et ce qui m’excite encore plus c’est plusieurs hommes.

Je sens maintenant deux doigts me chatouiller. Le premier homme humidifie de sa salive mon trou et fait maintenant aller et venir trois doigts dans ma chatte. Le rebeu lui n’arrête pas de me baiser la bouche en me traitant de salope. Il introduit tellement son sexe dans ma bouche que plusieurs fois je dois le repousser pour ne pas vomir. Le premier homme a mis sa main entière dans ma chatte et fait remarquer au rebeu que mon trou est maintenant bien ouvert. Il retire sa main et la remplace rapidement par sa queue.

Mon plaisir est au maximum, être prise des deux côtés.

Malheureusement il jouit en quelques secondes me laissant sur ma faim. Il s’excuse et se réenfroque en un éclair et sort des toilettes.

Le rebeu dit : « A mon tour ».

Il me retourna et d’un coup sec introduit sa queue. C’était trop bon, je ferme les yeux et me laisse aller au plaisir. Sa queue entre brusquement en moi et progressivement je jouis. Je ne sais plus où je suis et tout mon corps frémit de plaisir. Cela dure une bonne dizaine de minute quand je sens le rebeu accélérer la cadence et sa respiration augmenter. Il se retire d’un coup et me jouis sur les fesses à grand coup de jets. Je suis couverte de sperme chaud et je ne peux m’empêcher de me masturber. Le rebeu se réenfroque.

Il me dit : « Merci » et il partit.

J’étais à présent seule, j’étais debout et mes jambes tremblaient de plaisir. Il me fallut dix bonnes minutes avant de me rhabiller.

Je suis repartie en direction de ma voiture et repris la route… Super soirée à refaire.

Exhibition nocturne, une vocation de travestie

J’assume totalement un côté exhibitionniste. Toutes les occasions, en tous lieux, à tous moments, sont pour moi prétexte à m’exhiber. Il va sans dire qu’avoir un goût pour l’exhib omet volontairement dans sa pratique toutes atteintes à la pudeur.

J’en viens naturellement à mes envies liées à la pluralité.

Oui !!! j’aime me faire saillir par plusieurs mâles en rut, des mâles bien vicieux dans la quarantaine ou la cinquantaine obsédés par le « trou ». Si j’ai une préférence pour les groupes déjà constitués, j’apprécie aussi les rencontres improvisées, surtout nocturnes dans des endroits glauques ou les mâles en rut rodent à la recherche d’une chienne à saillir. J’aime être cette chienne qui ne demande qu’à être remplie, sentir une grosse queue s’enfoncer en moi, me défoncer et me dilater la chatte à grands coup de reins. Aussi, dès l’arrivée des beaux jours, je donne mes trous dans les environs de Paris, la nuit.

Exhibée et remplie au bois

Un soir d’automne, le thermomètre indique encore 25 degrés dehors. D’ailleurs je suis aussi chaude que de la braise car j’ai 5 jours d’abstinence et j’ai une grosse envie de me faire remplir sur un lieu exhib. C’est ce qui m’excite le plus.

J’arrive dans un bois connu pour les plans baise dans le 77, il est environ 21 heures.

Je décide de faire ma pute ; perruque courte, un léger maquillage, un top moulant une mini-jupe et des escarpins à plateforme. Rien d’autre, ni culotte, ni bas et porte jarretelles.

Une fois la voiture garée sur le parking, j’ôte mon plug anal qui m’a bien dilatée pendant le trajet. Ma chatte avait tellement faim que je suis partie avec ce plug en place. Mon clito mouille déjà bien.

J’aperçois du monde, ça bouge beaucoup dans le bois, du jeune minet au vieux vicelard. Du monde passe à coté de ma portière, hummm j’adore …

Je sors de la voiture et je me dirige vers le bois. La nuit vient de tomber et quelques phares éclairent mon passage. Tout le monde m’aperçoit, même ceux qui restent dans les voitures à attendre.

J’entends des portes de voiture claquer. Je souris et continue à marcher en direction du bois. Il fait de plus en plus noir, mais j’aperçois grâce à la lune une dizaine d’ombres. Je m’arrête appuyée contre un arbre, la croupe bien en évidence, les jambes bien écartées et la jupe relevée… J’annonce la couleur, ma chatte est offerte à tous les inconnus, sans voir qui va me baiser.

Je sens des mains se poser sur moi, des odeurs, de la transpiration, des boucles métalliques de ceinture se défaire, des mains qui branlent… Putain, ça s’excite grave derrière moi. Un moment j’entends « Elle a faim cette pute !!! », j’adore, ça m’excite.

J’entends des pas, à droite à gauche… En moins d’une minute un gland qui a l’air énorme se présente à l’entrée de ma chatte. Il mouille du gland, il est chaud et impatient, et en quelques secondes, le mec enfonce la totalité de sa queue d’un coup dans ma chatte lubrifiée. Je gémis et lui aussi. Il dit « T’aimes ça, sale pute !!! » en réponse je gémis encore.


Le cul foutré de la lope Waloou
Je kiffe me faire baiser devant tout le monde dans les bois. J’ai super chaud, je transpire. Il me bourre de plus en plus vite, il respire de plus en plus fort et ça attire du monde. En quelques minutes il se contracte et m’inonde bien profond de tout son foutre. Il gémit assez fort, j’adore. Plusieurs jets. Puis Il se retire et je sens un vide se creuser en moi.

Je ne bouge pas et une autre queue prend la place encore toute chaude. Le mec avait dû se préparer pendant que l’autre me défonçait. Il entre facilement et sa queue est plus fine mais je m’en fou.
Il me lime bien, la chatte lubrifiée par le sperme du premier. Je suis en pleine extase je ferme les yeux. Lui aussi se contracte et me remplit… Il sort sa queue et se casse.

Un portable éclaire ma chatte, je contracte mes sphincters et pousse un peu pour expulser et, du foutre sort de ma chatte. Ça coule le long d’une de mes jambes… Ça m’excite encore plus et également les voyeurs branleurs autour de moi.

J’en veux encore… J’attends et en moins d’une minute un autre mec arrive… Je sens un truc fin et chaud me pénétrer, puis ça ressort et ça rentre… Hummm, c’est des doigts. Il se colle à moi et me fais bouffer ses doigts pleins de foutre. Je vois un rebeu de 25, 30 ans. Hummm, je bouffe ses doigts, je les nettoie, je les pompe, je joue avec ma langue. Il ne dit rien. Il retire ses doigts et j’entends comme un short glisser sur des jambes. Je me cambre. Du jus sort encore de ma chatte. Le mec respire fort, il est assez tactile et ses mains prennent mes hanches et restent dessus. Son gland se glisse entre mes fesses. J’espère qu’il n’a pas mis de capote, je veux qu’il m’engrosse. Son gland à l’air énorme, mais je ne suis pas inquiète. Il entre comme dans du beurre… Je lui dit « Baise-moi !!! » il enfonce alors son gros pieu. Il commence alors à me baiser en me tenant les hanches ; un amour. Il y va doucement puis plus rapidement… J’ai très chaud, des gouttes de sueur tombent de mon front. J’ai envie qu’il me pilonne toute la nuit. Il continue pendant plusieurs minutes ses mouvements, on gémit assez fort et de plus en plus en symbiose. Comme les autres mecs il se contracte et envoi sa semence dans ma chatte, je cambre encore plus mon fessier et il continue de me saucer.

Il attend un peu et plaque sa tête contre mon dos, comme épuisé. Il reste en moi… J’ai chaud j’ai envie de le consoler… Il relève sa tête et retire son membre… du sperme à outrance sort de moi et coule le long de mes jambes, ça fait presque un appel d’air. Il enlève ses mains je les regarde et plus rien. Il s’en va, j’hésite à me retourner… me retourne et aperçoit une silhouette de bogoss s’éloigner. J’aperçois alors en même temps 5 mecs derrière moi.

Je me cambre à nouveau… le suivant s’est juste branlé et a envoyé tout son foutre sur mes fesses. Je me suis alors redressé, retourné et d’autres étaient là.

Je me mets à genoux… Un minet blanc d’une vingtaine d’années très fin un peu racaille me présente sa grosse bite. Je la gobe directe elle pue grave, mais j’adore. Il dit « T’es un gros sac à foutre, toi » il mouillait énormément ça devait faire un moment qu’il matait… Je gémis et du sperme s’écoule doucement de ma chatte. Il enfonce alors sa queue au fond de ma gorge, se contracte et envoie une sauce bien épaisse… j’avale tout et en redemande. Il se retire et se casse.

Le mec suivant me présente sa queue et m’inonde d’une superbe faciale. Après il me dit « J’ai envie de pisser, est ce que tu bois la pisse ». En guise de réponse toujours à genoux j’ouvre en grand ma bouche face à lui. Il se met à m’asperger le visage et la bouche, me rinçant de son foutre qu’il m’avait aspergé en faciale. Je bois tout ce que je peux pendant qu’il vide sa vessie. Il se réenfroque et se casse.

J’ai attendu quelques instants mais les autres avaient déjà dû se vider en matant ce spectacle.

Je me relève et réajuste ma jupe et ma perruque et marche en direction du parking.

En passant devant les voitures garées, un mec d’une cinquantaine d’années sort de sa voiture et m’arrête. Il a une grosse bosse dans son short. Il me dit qu’il veut me baiser là, direct entre deux voitures. Je me penche sur sa voiture, croupe à l’air. Il entre facilement et éjacule direct. J’aime aussi… il se retire et retourne dans sa voiture.

Je me dirige vers ma voiture au bout du parking, le trop plein de foutre coule le long de mes jambes. Pendant le trajet du retour je sens du sperme couler sur mon siège en cuir, et c’est une agréable sensation que de se trémousser les fesses dans tout ce jus.

Un moment très chaud sur une plage naturiste

Cet été je suis allé régulièrement sur une plage naturiste. A chaque fois, j’y ai passé des moments chauds, mais cette fois l’après-midi allait être « hot ». Tout a commencé en m’installant à côté d’un homme allongé qui était en train de se masturber en regardant un couple homo se faire des gâteries un peu plus loin sur la plage.

Rapidement ma main est venue remplacer la sienne en un mouvement de va et vient sur toute la longueur de sa queue. Après ma bouche est venue se substituer à ma main dans la quête du plaisir à donner à mon hôte. Pendant ce temps un homme accompagné de son chien est venu s’allonger devant nous. Lorsque j’ai levé la tête pour embrasser mon hôte, j’ai remarqué cet homme et son chien. Il était très bien pourvu par la nature et il était en train de sa masturber en nous regardant. J’ai laissé son excitation monter en alternant les caresses et les positions avec mon hôte afin qu’il remarque que je suis une bonne lope et qu’il puisse aussi apercevoir mes grosses fesses lisses et ma fente bien ouverte.

Il bandait déjà très fort et me fit un signe de la tête pour m’inviter à le sucer. Je laissais mon hôte pour me mettre à quatre pattes devant lui et le sucer goulument. Son chien était excité de me voir sucer son maître et se mit à tourner autour de moi en me reniflant le cul. Le chien se mit aussi à me lécher le cul et c’était loin d’être désagréable, au contraire ça m’excitait de plus belle. Le chien essayait aussi de me saillir mais sans y parvenir. Je sais de par mes expériences zoo qu’il faut aider un chien pour que son sexe puisse pénétrer un humain en position de levrette. Néanmoins, j’étais très excité et je gémissais doucement tout en continuant de sucer son maître.

Pendant que cette scène se déroulait devant le premier homme que j’ai sucé, un autre homme est arrivé. Ces deux hommes nous mataient debout la queue à la main. Le maitre du chien qui voyait sans cesse son chien me lécher le cul, me retourna et enfonça sa queue directement au plus profond de mes entrailles. Je me faisais prendre comme une chienne en levrette. Il me limait à fond. « Humm, que j’aime cette queue. » Il était en train de me baiser sans ménagement en me tenant par les hanches. Les 2 hommes qui se masturbaient sont venus présenter leur queue devant mon visage. Ils se sont vidés presque en même temps en une magnifique éjac faciale. Quelques temps plus tard, le maître du chien s’est vidé de tout son jus en inondant mon rectum de plusieurs giclées de sperme signalées par des râles assez bruyants.

Je restais un moment allongé sur le ventre, le visage et le cul maculés de sperme. D’autres voyeurs que je n’avais pas encore vus se sont installés près de moi, ayant bien vu que j’étais une bonne lope. L’un d’eux me caressait les fesses et y insérait un ou deux doigts. Il les ressortait et léchait le sperme qui était dessus. Je le laissais faire, je restais passif tout en écartant encore plus les cuisses pour lui faciliter l’accès à ma fente. Il continuait son exploration avec quatre doigts, puis y insérait sa main toute entière. Il y faisait quelques va et vient tout en se masturbant avec son autre main. Je sentais son excitation monter à la vitesse qu’il allait dans mon cul. A un moment il sortit rapidement sa main de mon cul et je sentis des giclées de sperme s’écraser sur ma fente. Il partit en me disant « Merci ». Et dire que je n’ai même pas vu son visage, mais peu importe, c’était un moment d’échange de plaisirs.